Mon réveille sonnait. Il indiquait 8h00. J'étais décidée, j'allais savoir ce que cachait le ciel au milieu de la colline. Je me suis habillée. Jeans converses et mon t-shirt préféré : Superman. J'ai pris mon sac à dos bleu. Je l'avais préparé la veille. Bouteille d'eau, de quoi manger -plutôt grignoter-. La batterie de mon gsm était pleine. J'avais une carte et je m'étais mise des points de repère. À moins d'un kilomètre du "ciel au milieu de la colline", il y avait une statut. Si je la retrouvais je pourrais retomber sur un sentier. Je suis descendue sans faire de bruit. Je laissais un mot sur le frigo. "Coucou ! Euh...bah celui qui le lit quoi. Je vais me promener (je sais je suis matinale). J'ai besoin de me changer les idées. Je vais faire une randonnée dans les bois. Je devrais être rentrée pour le début d'après-midi. Bref bisouuusss"
Je sortais et refermais derrière moi. La route allais être longue jusque là. J'allumais mon Ipod, mit mes écouteurs. Je mit "Sur ma route de Black M". Je trouvais ça plutôt bien approprié. Je suis partie direction le sentier qui menait au bois. Il y avait un banc à l'entrée et deux parcours. Je devais prendre tout droite. J'avais retrouvé une boussole dans un tiroir. J'espérais qu'elle irait.
La pente était rude. Il était 11h00 et mon ventre commençait à crier famine. J'avais reçu un sms de Johanna qui me disait que j'étais folle mais qu'elle m'aimait quand même. Je n'ai pas pu répondre car mon réseau était mort. Je me suis assise sur un arbre dont le tronc ressemblait à un siège. Le soleil tapait et j'étais morte de chaud. Je bus une gorgée d'eau et mangeais un Snikers. Je recommençais à marcher. Si mes calculs étaient bon, et que je ne m'étais pas trompée je devrais bientôt être arrivée. J'étais griffée partout. De petite bêtes m'avaient piquée. Je connaissais la "dure loi de la jungle". Je rigolais seule à ma blague débile. Et puis je le vis. Quand je voyais le ciel au milieu de la colline je m'attendais à une réponse logique. Et bien non. C'était une sorte d'immense clairière. Sauf que c'était une sorte de... Et bien je ne savais pas donner de mots à ce que je voyais. J'aurais pu dire que c'était un lac mais il n'y avait aucune plage, aucun rebords, et l'eau était bleu ciel. Bleu uniforme. Des sortes de gros nuages était à l'intérieur. Je pris un cailloux que je trouvais par terre. Je le lançait dans l'eau. Rien. Le cailloux étais disparu. Aucune éclaboussure, aucun bruit. Je me suis approchée. A deux centimètres du bords, je me suis mise à genou et j'ai touché l'étendue d'eau. Ce n'était pas de l'eau. Ce n'était...rien. Comme si j'étais vraiment dans le ciel. Je glissais ma main un peu plus loin à l'intérieur du trou. Un vent violant frottait contre la paume de ma main et mon bras. Je me tendais un peu plus. Le vent s'éleva. Il m'entourra complètement. Je senti mes genoux se soulever du sol. Je lévitais au dessus du trou. Au dessus du ciel? Je me suis mise à tombé. Les alentours étaient toujours bleus. Et puis plus rien. Il fait noir.
-Tali!
C'était Johanna. Que faisait Johanna ici? J'ouvrais les yeux. La lune était pleine, les étoiles illuminaient le ciel. Il faisait nuit ! Depuis combien de temps étais-je là? Je me redressait. J'étais remplie de terre et de feuilles morte, sans doute de l'hiver dernier.
-Johanna!
C'était la voix de ma mère.
-Je suis ici!!
J'ai entendu des branches craquée. J'ai vu ma mère, Johanna et Samantha débarqué en courant.
-Tali! Tu nous a fait une peur bleu.
J'ai voulu me relever mais je suis retombée sur les fesses.
-Viens, on va t'aider.
Ma soeur à passé son bras autour de mes hanches, Johanna de l'autre côté et elles m'ont aidée à marcher.
-Elle est ici!
Je vis débarquer Mathias. Il était paniqué et quand il me vit son visage s'apaisa.
Je suis rentrée au bungalow. J'ai dormi. Demain je devrais raconter ce qui c'était passé. Moi-même je ne le savais pas. Je devrais trouver une excuse
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Opposée
Teen FictionJe m'appelle Tali. Je vois un ciel au milieu de la colline. "un trou de ciel bleu". Je suis la seule à le voir, alors je pars voir ça de plus prés. Quand je reviens tout change. Je les voie. Je vois les anges. Entre réalité et ce qui lui semble irré...