CHAPITRE 7

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-Salut Man'. Je te présente Grégoire.

Je voulu passer entre eux deux et partir retirer mes vêtements tremper. J'avais mal à la tête.

-Mhon Tali qu'as tu fait?!

Je posais la main sur mon crâne. Une douleur intense me lança pile à l'endroit que je venais de toucher. Mes doigts étaient rouge. Je saignais.

-Attend Tali je vais te soigner.

-Ne vous inquiétez pas Madame je m'en occupe. Enfin si vous m'y autorisé bien sur je ne voudrais pas m'imposer.

-Je t'en prie Grégoire.

Je suis montée Grégoire Derrière moi.

-Je vais chercher la trousse attends moi.

Il m'a rattrapé par la main. Il a posé sa main sur ma joue. Il carressa délicatement ma joue avec son pouce. Le sang ruisselait sur ses doigts. Et puis la douleur disparu.

-qu'as tu fait?

-Les anges ont des dons. Chacun à des dons différents et l'un des miens est celui-ci.

-Tu en a s d'autre?

-Oui.

Il est redescendu. Je suis parti me changer. J'enfilais une chemise en jeans, un legging noir et mes converses. Quand je suis redescendue, à ma grande surprise ma mère parlait avec Grégoire. Mais elle ne faisait pas que parler. Elle rigolait. Je n'avais jamais vu ma mère comme ça.

-Je vais vous laissez madame.

-Oh appelle moi Sophie. A tout à l'heure Tali amuses toi bien!Nous sommes sorti. Je n'avais pas remarqué, mais le voile de ses ailes était levé.

-Et bien! Tu la conquise dit.

On a rigolé et nous sommes parti.

- Raconte moi tout sur les anges.

-Que veux tu savoir?

-Et bien d'abord pourquoi je vous vois?

-Seuls les créatures autre qu'humains nous voient.

-Mais je suis humaines...

-Justement. Voilà pourquoi je ne comprends pas.

-Ok. Qui a t-il comme particularité? enfin à part les dons et les ailes.

-Ce n'est pas assez?

-SI mais je pense qu'il y a autre chose.

-Tu as raison.

Nous nous sommes assis sur le banx et il m'a tour raconté. Les anges pouvait choisir à quelle genre ils appartenaient. Lui faisait parti des guerriers, anciennement. Guerriers pour quoi il n'a pas voulu me dire. Ils vivaient dans d'immense ville dans ce qui pour nous est le "paradis". Personne ne savait mes dons. Et il ne le dirait pas. Je n'était pas censée voir ça... Quand il a laissé sa phrase en suspent un frisson m' a parcouru. Et puis il m'a dit quelque chose qui m'a intrigué. Si deux anges possédaient les mêmes dons, la plupart du temps ils étaient fait l'un pour l'autre. C'était un peu comme des humains et ils vivaient avec nos âmes quand on meurent. Ils meurent aussi et revivent en tant qu'âmes, comme nous. Tout ça était lourd à digérer mais je voulais toujours savoir plus. une fois que j'eu posé toute les questions qui me passait par la tête il était temps que je rentre faire mes sacs. Je partirais demain matin. Je ne reverrais plus Grégoire.

Il m'a raccompagné en dessous du perron.

-Ah dieu Grégoire...

-Au revoir Tali.

Je savais que nous ne nous reverrions plus. Je suis rentrée et j'ai fait mes sacs. Je suis partie dormir et j'ai rêvé que j'étais un ange et que moi aussi, je vivais au "paradis".

Je suis rentrée chez moi et j'ai atte'du les quelques jours qui me séparaient de l'école. Je n'avais aucune nouvelle de Grégoire. J'y pensais tout le temps en sachant que je ne le reverrais plus.

C'était la rentrée. J'étais avec mon éternelle rituelle du jeans, sweet et converse. Mes cheveux était lisse et je portais une bague discrète. Au coin du couloir j'ai apperçu des ailes. Alors j'ai suivi l'ange dans tout le bâtiments. Quand je suis arrivée, les ailes n'étaient pas blanches nacrée comme celle de Grégoire. Elles étaient noir comme le charbon.

Il c'est retourné et m'a fixé.

-Alors tu vois mes ailes?

Je n'ai rien répondu et je suis restée bouche bée. J'ai voulu partir, ma farde serrée contre moi.

Il m'a saisi par le cou et m'a collé contre le casier.

-Ou compte tu allez comme ça?

Il avair un sourire mal-sain, vicieux, sadique...et un regard noir et rempli de haine.

Personne ne me voyait. Ni lui, ni moi. Je sentais l'air ne plus atteindre mes poumons. De moins en moins. Puis son étreinte c'est relâchée. L'air affluait dans mes poumons et j'observais ce qui l'avait fait éloigner de moi en moins d'une seconde.

-Tout ce passe bien, ici?

Il était là serrant l'épaule de la personne qui aurait pu me tuer. Il était là, avec le contraste de ses ailes immense, blanches nacrée. Grégoire.

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