le filet de l'oiseleur

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Chapitre 8 : Le Filet de l'Oiseleur

Jérôme sortait de la douche quand Virginie entra dans la chambre à coucher . Jérôme qui avait passé une excellente journée eut envie de sa Femme des qu'il la vit .

Il lui sourit d'un air carnassier il ne vit pas qu'elle semblait troublée et ailleurs .
Virginie : chéri je dois te parler
Jérôme : ah bon ? Mais déjà il l'embrassait dans le cou et la tenait par la taille . Virginie ne savait plus quoi penser elle sentait le puissant désir de son mari à travers sa serviette.
Avant qu'elle ne puisse protester il avait avec gourmandise pris ses lèvres. Tandis que ses mains retroussaient sa jupe et cherchaient à lui ôter sa petite culotte.
Virginie se laissa faire elle aussi emportée par le désir de son mari . De toute façon peut être c'était la dernière fois qu'il lui ferait l'amour. Elle refoula les larmes qui venaient à ses yeux
Elle aimait tellement son mari . Ça remontait à quand ? La dernière fois qu'il lui avait sauté dessus ? Elle se laissa dévorer par son mari elle était à la fois dans la douleur et la peur de sa future réaction et en même temps elle s'agrippait de toutes ses forces à ses larges épaules .
Son mari prit sa forte étreinte pour la manifestation de son puissant désir qui répondait au sien . Comment pouvait il
Deviner que sa femme était divisée en deux qu'un combat acharné entre son Coeur et son corps avait lieu .
Elle décida de laisser son corps gagner de profiter de chaque seconde de l'étreinte de son mari , elle choisit de s'enivrer de son odeur d'homme . Elle voulait qu'il lui fasse mal, qu'il l'a blesse qu'il marque sa chair . Elle se mit à lui parler de manière crue pour qu'il la prenne avec sauvagerie .
Pendant que son mari s'échinait sur elle virginie se demandait comment elle aborderait le sujet , par où commencerait elle ?
Son corps finit par lui faire oublier toutes ses questions . Les caresses et les lèvres de son époux sur ses seins , les intrusions longues et profondes finirent par rendre ses sens exacerbés. Bientôt l'atteinte des monts de la jouissance fut le seul sujet de son cerveau à son plus grand soulagement.

La jouissance les laissa essoufflés l'un et l'autre et Jérôme embrassa longuement sa femme avant de se retirer et de basculer sur le côté .

Il plaça un bras sous elle et l'Attira à lui il était content de la tenir contre lui , sa colère envers elle était en train de s'estomper. Il se disait qu'ils surmonteraient ensemble cette épreuve . Que cela renforcerait leur mariage que d'ici un an ou deux il entendrait les cris d'un enfant dans cet appartement.

Jérôme : De quoi voulait tu me parler mon ange ?
Virginie : .................
Jérôme : virginie ? Virginie tu dors ?
Virginie : non
Jérôme : mais tu pleures chérie remarqua t'il incrédule
Virginie : je .......... je ........je dois te parler de ce qui à cause ma stérilité secondaire, je n'arrive plus à gérer tout ceci .
Jérôme se redressa intrigué .

Virginie : je te demande pardon Jerome je t'aime tellement que j'ai voulu te cacher toute ses choses je veux que tu trouves en toi la force de me Pardonner .
Elle se leva du lit et nue comme un ver elle se mit à genoux et commença son récit .
Elle lui parla de l'avortement de l'abandon de son gars de sa résolution de son emprunt elle ne parla pas de Vanessa mais parla d'une fille du lycée proxénète. Elle s'arrêta à la partie du remboursement elle n'osait même pas lever la tête pour croiser le regard de son Mari .

Virginie : j'ai contracté cette syphilis avec l'un des clients auxquels ma créancière m'avait livré .
Jérôme : il y en a eu combien ?
Virginie perdue par le ton calme de Jérôme :
Jérôme : COMBIEN ????? Sale pute !!!!!
Virginie encaissa la gifle brutale que Jérôme lui mît . Il avait frappé si fort qu'elle sentit sa lèvre supérieure se déchirée et le goût du sang envahit sa bouche.
Jérôme n'avait jamais au plus grand jamais levé la main sur elle . Avant qu'elle ne réalise les coups se mirent à pleuvoir .
Jérôme : Tu n'es qu'une prostituee une pute qui a multiplié Les avortements !!!! Comment as tu pu me tromper? Avec ta matrice abîmée !!!! Tu n'es qu'une usurpatrice ma mère avait raison !!!! Quand je pense que je t'ai choisie toi !!!!!

une femme désespérée.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant