Enceinte d'un bad boy

Il me coule complètement

Coucou, avant le chapitre j'aimerais vos idées, c'est TRÈS important ! Je veux changer le titre de l'histoire et j'aimerais savoir si vous pourriez me donner des idées ne comportant pas les mots : bad boy et enceinte. Oui, c'est dur j'en conçoit mais je compte sur votre avis ! Bonne lecture :)

Je regarde Tayler en essayant de lui faire comprendre qu'il faut qu'il parte car ce n'est pas vraiment le moment adéquat mais monsieur ne semble pas comprendre. Ok, rappelez moi qu'il faut que je m'entraîne au langage des signes pour la prochaine fois.

- Avec plaisir monsieur, sourit-il à son tour.

C'est quoi ce bordel ? Re-réctification, il ne me fout pas encore plus de le pétrin, là il me coule complètement. Mais dans quelle situation me suis-je encore fourré ?

*PVD Tayler*

Je crois que j'ai bien fait de sonner, après mes longues réflexions entre entrer malgré les cris ou bien les lui rendre demain. Je pourrais peut-être l'aider après tout, non ? A voir sa tête, je n'en doute même pas une seconde. L'homme, son père je présume, me laisse assez de place pour que je puisse pénétrer à l'intérieur. Les murs de l'entrée sont gris, un meuble à soulier ainsi qu'un porte-manteau se situe sur la gauche, à droite trône un miroir assez ancien vu le bois qui l'encadre. Son père me regarde toujours avec un sourire radieux laissant apercevoir ses dents parfaitement blanche. Bah tiens ça me rappelle quelqu'un qui n'en a pas des s'y éclatante,  prenons notre sérieux. Je veux prendre la main d'Amber mais celle-ci la claque violemment,  me regardant d'un regard a fondre la glace. Des pas résonnent, une femme, sa mère j'en déduit, fait irruption dans le hall, un petit bonhomme de deux ans dans les bras. Je hais les gamins. Elle me lance un regard interrogatif avant de commencer la conversation.

- Tu es qui toi ?

Sympa l'accueil

- Le petit-ami de votre fille.

Il n'en faut pas une et ma petite-amie m'envoie un coup de coude dans les côtes. J étouffe un petit aie mais ne fait comme si rien ne venait de se produire.

- Tu ne m'avais pas dit.

Son regard passe sur Amber qui vire au rouge.

- Euhm c'est parce que...euh..je, brouille-t-elle.

C'est mignon comme elle galère à trouver une excuse, bon laissez Tayler entrer dans la place.

- C'est parce que c'est tout récent, la suivai-je.

Sa mère nous regarde confuse,  un long silence s'en suit.

- Oh, comme je suis navré,  je ne suis même pas présenté ! Je m'appelle Denis et, comme tu as pu le deviner,  je suis le père de...

- La ferme ! , coupe Amber pleine de rage. Je t'ai déjà dit, tu n'es pas mon père,  tu n'es rien et tu ne seras jamais rien pour moi !

Outch ça fait mal ça, je crois commencer à comprendre pourquoi ça gueule ici.

- Assez crier, intervient sa mère,  venez-vous asseoir à table, on mettra toute ces choses au clair.

Amber essaie de partir dans sa chambre mais je la retiens par le bras et lui souffle:

- Hey, ne pars pas, je suis là. Et si ça dégénére, je t'emmène loin d'ici promis.

Ses yeux verts se déposent sur moi et elle me glisse un léger sourire, on va prendre ça pour un oui.

Nous marchons donc jusqu'à la fameuse table ronde où six chaises sont dispensées autour. Je m'assied à côté donc d'Amber, en face de sa mère. Que le débat commence.

- Pourquoi es-tu revenu ?

Je regarde Amber qui vient de poser cette question d'une voix froide, elle fixe Denis.

- Je veux rattraper le temps perdu, explique-t-il, je me suis rendu compte que ma vie c'est vous et que j'ai fait une grave erreur. Tu sais, je vous aime...

- Stop, si tu nous aimais, tu ne serais pas parti comme un lâche !

Une larme s'échappe, je la comprends, j'ai vécu des événements similaires. J'attrape sa main sous la table et la cajole du pouce. Pourquoi je donne soudainement tant d'affection à une fille ? Je n'en sais rien. Pour une fois, je veux prendre mon temps et lui prouver que je ne suis pas le mec a qui on a collé l'étiquette bad boy mais que j'ai bel et bien un coeur et que je ne suis pas forcément celui qu'on croit. Tout c'est passé très vite mais je ne comprends toujours pas ce qui me pousse à ces actes. Je suis mon instinct, vera bien où ça me mènera.

- Que ça te plaise où non, jeune fille, ton père et moi avons décidé de nous remettre ensemble.

- Je me casse d'ici alors.

Cette fois c'est sa mère qu'elle regarde, tristement et complètement confuse.

- Pfah, lâche sa mère.  Et tu comptes aller où ? Tu n'es qu'une bonne à rien, personne ne voudra de toi.

- C'est faux !, tous braque les yeux sur moi, appelé moi Dieu après mon pseudo discours,  moi je suis là. Votre fille n'est pas une bonne à rien, c'est quelqu'un de bien qui mérite le bonheur dans sa vie après tout ce qu'elle a traversé. Olivia vient de mourir et vous,  vous enchaînez les événements comme ça. Lui avez-vous déjà demandé comment elle se sentait ? Non, je pense.

Gros vide, je sais même pas pourquoi j'ai dit ça.

*Flash back*

- Tay'...ne m'abandonne pas ici.

Une larme perle sur sa joue, la laisser ici me fait un mal fou.

- Je reviendrais, ne t'en fais pas.

- Promets moi une chose.

- Oui ?

- Ne laisse jamais quelqu'un vivre ça, et surtout si tu aimes quelqu'un ne le lâche pas pour ça...

- Promis.

Je lâchai sa main puis m'en vais.

* Fin flash back *

- Tu y tiens tant ?

- Oui madame.

- Et bien allez vivre ensemble tient !

On se regarde en moment de panique, que faire.

- Des vrais parents ne feraient pas ça, dit Amber en se levant.

- Ah tiens tu t'es enfin décidé à lui parler de ses parents, soupire Denis à sa femme.

- De quoi ? Mes parents ? C'est quoi encore ce bordel ?

Je ne sais pas où j'ai atterri mais le décollage va être rude.

Bon, je suis désolée pour ce chapitre, il est nul, je sais mais il fallait bien cette partie. J'écris la prochaine dès maintenant comme ça,  je peux vous promettre qu'elle sera beaucoup mieux ^^

Éxcuser moi encore, j'ai passer un long w.e j'ai galèrer à écrire :$

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