Partie 34

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l'obscurité et le silence résidaient dans la maison des drames. Il faisait nuit. Pour ne pas arriver en retard et pas en forme demain au tribunal, tout le monde était déjà au lit, et dormait paisiblement sauf le couple dramé. Dans leur chambre tamisée d'une lumière lugubre, fatima était bouche bea fasse à ce qu'il lui faisait subir, son mari.

le lit défait à moitié, elle s'agrippait pourtant du drap pour ne pas crier, hurler aux sensations qu'elle recevait de la part de l'homme aux doigts magics, le magicien de plaisir. Celui ci,  punissait sa femme des quelques jours de prise de tête, il voulait lui faire du plaisir excessif comme jamais fatima n'a eu à le ressentir. Toujours sur sa femme, à quatre heures du matin, après de longues tortures sur les parages du corps de sa femme, il épousait ensuite le fast-track de l'amour à la vitesse de flash. Tous deux, en avait envie et c'était le bon moment pour percer l'un, et que l'autre se retrouve frissonnant. Une nuit mouvementée à la adulte, venait de se passer dans la chambre du couple amoureux. Ils se regardaient satisfait, épuisé, sommeil de juste, amoureux, et soulagé. Sueur repassant sur la forme de ses veines de tout son corps, Mounir déposa un baisé sur le front de fatima à moitié endormi, en prenant la peine de l'envelopper d'une couverture qu'ils partageaient à présent...

Six heures cinq. Il est tôt. Chérif pénétrait la cuisine en même tant que Marina et Carole. Il manquait deux autres personnes: Fatima et Mounir. En deux temps, trois mouvements, Il rejoins les escaliers pour réveiller ses parents. Très heureux, ils les ont quelques minutes après rejoins à la table de petit déjeuner d'où, leur bonne humeur taper à l'œil..

Ils arrivèrent au tribunal à l'heure, ni moins ni plus. Après, c'était au tour de Juliana qui, ça se voyait, était stressée.    Au coin d'un couloir, cherifa gesticulait devant Youssou diop. L'avocat était serein et très bien habillé dans un costume noir assorti d'une chemise blanche.

_ ce que tu es entrain de me dire me parait impossible. Nous en reparlerons après le procès d'accord?

_Youssou tu dois..

_Après le procès! fini-t-il de dire en déposa un bisou sur le front de cherifa avant de partir retrouver chérif à qui rien n'avait échapper d cela scène.

quelques minutes après, Édouard fit son apparition avec son avocate. Il était correct comme d'habitude. Il s'approcha de l'équipe défense et embrassa sa fille, il voulu faire de même avec sa mère, mais celle ci s'écarta et le tourne le dos, c'était une humiliation qu'il venait d'encaisser devant ses ennemies. Cela l'avait hirité. Voyant qu'il perdait son calme, Carole lui tira la main et l'entraina dans le couloir le plus proche.

_Papa, tu sais que je t'aime et que si ça ne tenait qu'à moi ce procès n'aurait pas lieu, maintenant je te demande de ne répondre à aucune attaque, stp.

_Je peux tout supporter sauf que ma mère me tourne le dos.

_Personne ne peut le supporter. Mais il faut que tu la comprenne. Aussi j'aimerai bien rester à tes côtés dans la salle, mais tu sais chérif est aussi mon frère, je n'aimerai pas qu'il pense que je suis entrain de le trahir, je dois être à côté de lui.

_Je comprends ma fille ne t'inquiète pas. Savoir ton coeur battre pour ton beau papa me suffit.

_Et tu n'es pas stressé?

_Du tout ma princesse. Vois-tu, j'ai prévu un dîner romantique avec mon avocate.

_Papaaaa! Déjà? ironisa Carole.

_Elle est bombante tu n'as pas remarqué? bref, allons nous installer il est bientôt l'heure de la vérité. fit-il en prenant la main de sa fille pour entrer dans la salle.

Il payeraOù les histoires vivent. Découvrez maintenant