|TERMINÉ| L'homosexualité était taboue, aussi bien au lycée qu'à la maison. L'inconnu qui m'a envoyé ces textos le savait et s'en est servi pour m'obliger à suivre les règles de son jeu.
En parallèle, mon petit frère et moi subissions la folie de no...
Ce matin, je me suis réveillé après avoir passé la nuit la plus torride de ma vie. C'était encore plus intense que dans le rêve que j'avais fait avec Dylan. Conny est un expert. Il m'a donné du plaisir comme personne ne l'avait fait. Nous avons...Nous avons fait l'amour avec un grand « a ». J'en tremble encore, j'ai les jambes en compote et des douleurs dans le dos, mais je n'ai aucun regret.
Lorsque j'ouvrai les yeux, à 7 heures, Conny n'était plus dans le lit. Je me levai, pris une douche et ramassai mes vêtements, qui avaient été jeté au quatre coin de la pièce. Après m'être habillé, je descendis les belles et grandes marches de l'escalier en marbre verni, à la recherche du pro des relations charnelles. Je le vis de dos, en train de préparer des crêpes. Son dos musclé, légèrement bronzé et sa nuque étaient marqués de plusieurs griffes. Mes joues rougirent quand je fis le rapprochement avec la nuit que nous venions de passer.
J'avançai vers lui et le surpris en laissant glisser mes doigts sur son dos, tout en le questionnant : « Ça fait mal ? » Il m'adressa un sourire radieux en me rassurant : « Pas du tout, au contraire, j'ai hâte que tu m'en fasses d'autres » Mon pouls accéléra, je le regardai, bouche-bée. Il ajouta, avant d'éteindre les plaques électriques : « Pas toi ? »
Ce mec...Je n'ai jamais été autant attiré sexuellement par quelqu'un. Bien sûr que j'ai envie de recommencer, tout de suit même !
Je pris son visage dans mes mains et enfouis ma langue dans sa bouche.
Il marqua un temps d'arrêt, comme s'il prenait un moment pour réaliser ce que je venais de faire. Il enleva son tablier, posa la poêle dans l'évier, et me saisit sauvagement les cuisses, pour m'assoir sur la table. Il m'embrassa comme la veille, comme un fou, glissant sa main dans mon pantalon pour y caresser mon attribut. Il allait déboutonner ma chemise quand un bruit nous fit brusquement tout arrêter. Conny retourna vers l'évier et moi je fis mine de chercher quelque chose dans le frigo. Un mec avec une gueule de bois phénoménale fit son entrée dans la cuisine, ne remarquant pas les bosses sous nos pantalons, ni nos joues rosées. Il demanda un médicament pour les maux de tête et quitta la pièce.
Conny et moi soupirâmes en même temps, soulagés de ne pas avoir été surpris puis, la pression redescendit grâce à nos rires. Nous l'avions échappée belle et nous en avions conscience.
Mais nous ne primes pas le risque une seconde fois. Nous nous contentâmes de nous échanger un baiser passionné avant de prendre un rapide petit-déjeuner et de faire sortir tout le monde de chez Conny. Après avoir ramassé quelques verres qui traînaient, nous nous sommes dit que nous finirions le nettoyage plus tard, après les cours. Alors que nous allions quitter la maison, Conny resta planté devant la porte, et au lieu de l'ouvrir, il se tourna vers moi en me confiant : « J'ai bien envie de sécher pour reprendre où nous nous sommes arrêtés tout à l'heure » Je rétorquai immédiatement : « Dis pas n'importe quoi ! Il faut qu'on y aille ! » Il me prit et me plaqua contre la porte d'entrée. Il leva mon menton avec son index et me questionna, pendant que son autre main tenait ma hanche : « Tu n'as pas envie de retenter l'expérience ? Là tout de suite, au lieu d'aller au lycée...On a toute la journée, et je suis sur qu'on ne va pas s'ennuyer » Avant que je ne puisse répondre, ses lèvres bloquèrent les miennes. Ses mains déboutonnèrent ma chemise et vinrent saisir fermement mes fesses, sous mon pantalon et mon caleçon. Il mordit ma lèvre inférieure et s'arrêta, attendant mon approbation pour continuer.
Est-ce bien raisonnable ? Déjà que j'ai couché avec lui alors que j'en aime un autre..Je vais recommencer en séchant les cours en plus ?
Je le regardai, prêt à refuser, mais je n'y parvint pas.
Ses grands yeux turquoise ont le don de me déstabiliser. .. Oh et puis merde, j'ai pas envie de voir Dylan de toute façon
Je lui adressais un sourire avant de l'embrasser. Il saisit le haut de mes cuisses et me porta jusqu'à sa chambre. Il me jeta dans le lit et me retira mes vêtements après s'être débarrasse des siens
Quel sauvage ! Mais ça ne me déplaît pas J'ai l'impression d'être dans un film où tout se passe tellement vite que le héros n'a pas le temps de réaliser ce qu'il se passe.
Il mordilla la peau de mon cou, en descendant vers mon torse, où il déposa d'innombrables baisers. Il continua sa descente jusqu'à mon attribut dont il prit soin avec sa bouche. Je me tordis de plaisir, mes mains agrippant fortement son drap. Il en joua en accélérant la cadence. Mon corps frissonnait de plaisir. Il s'arrêta au moment où j'allais atteindre l'orgasme et me chuchota, en enfilant un préservatif : « Pas si vite Jackson » Sa voix rauque et son souffle profond m'existèrent encore plus. Il écarta mes jambe, et se stoppa quelques instants pour me regarder. Je le questionnai : « Q-Quoi ? ». Il caressa tendrement l'intérieur de mes cuisses en m'avouant : « Aucun mec n'a jamais réussi à me faire bander comme tu le fais ». Mon visage devint rouge vif et je le cachai instinctivement avec mes deux mains. Conny les retira en même temps qu'il pénétrait en moi, en me chuchotant : « Tu n'as pas à avoir honte avec moi ». Un petit cri s'échappa lorsque son membre entra totalement. Je vis ce sourire sur son visage, qui montrait qu'il aimait entendre ma voix. Il m'embrassa et ses va-et-vient m'emmenèrent au septième ciel.
Conny et moi sommes vraiment sur la même longueur d'onde sexuellement parlant. Nos corps donnent l'impression qu'ils sont faits l'un pour l'autre. Je ne pensais pas rencontrer mon âme-sœur corporelle un jour. Bien sûr, cela n'a rien à voir avec les sentiments. Conny m'attire et nos ébats sont justes hyper jouissifs, mais... C'est ça le problème, il y a un « mais »... Dylan ne veut pas sortir de ma tête.
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