Futur et mésaventures (FINI)

Chapitre 08 : Action... Réactions !

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Chapitre 08 : Action... Réactions!

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NDA : Les dialogues entre // se font dans une autre langue... Laquelle ? Ben, lisez, vous verrez ! loll !

Ginny éclata de rire, se remettant avec peine.

«Et vous lui avez renversé la carafe sur la tête ? A Dumbledore ?»

Et elle se remit à rire, tenant son ventre avec ses mains. Rien que d'imaginer Dumbledore, sa longue barbe et ses cheveux dégoulinants de jus de citrouille, elle en pleurait.

Le jeu de piste avait commencé depuis déjà deux heures et, à plusieurs reprises, Pompom et Ginny avaient du mettre des élèves dehors, ceux-ci venant leur demander leur aide. Mais les deux jeunes femmes s'en tinrent à leur décision, c'est-à-dire de les laisser se débrouiller, et les mirent dehors. Et entre les nombreuses visites des élèves, elles parlaient, se racontant l'une à l'autre leurs anecdotes. Ginny avait raconté à Pompom les nombreuses blagues qu'avaient fait Fred et George (en modifiant légèrement les lieux et victimes...) et l'infirmière, entre deux éclats de rire, l'avait supplié de ne pas les dire aux Maraudeurs où Poudlard risquait de ne jamais s'en remettre.

Histoire de ne pas être battue par Ginny, Pompom lui raconta que, lorsqu'elle était élève à Poudlard, elle avait renversé une carafe de jus de citrouille sur la tête du directeur, par accident, bien sûr, mais elle l'avait tout de même fait.

«Par Merlin, dit Ginny. J'aurai voulu voir ça !»

Elle repassa ses bras autour de son ventre, mais cessa tout de suite de rire. Autour des deux infirmières, les flacons de potions, fioles, verres, et même le sol, tremblaient avec force. Effrayée, Ginny tourna autour d'elle, cherchant un endroit sûr ou trouver refuge pour elle et ses enfants. Mais, sous un bruit d'explosion qui faillit la renverser, les tremblements cessèrent. Les deux jeunes femmes se regardèrent d'un air effrayé. Alors, venant de loin, des cris et des pas précipités se firent entendre.

«Mais que se passe-t-il ?» demanda Pompom, blême.

Ginny se sentait tremblé de la tête au pied. Quelque chose n'allait pas. Mais pas du tout.

«Harry !» cria-t-elle.

Et sans attendre, elle partit de l'infirmerie en courant.

Parcourant les couloirs à toute vitesse, elle dut s'arrêter quand elle vit arriver vers elle des élèves de septième année, blessés. Les yeux ampli de terreur, ils la regardèrent comme la représentation même de leur salut.

«Oh, non, murmura-t-elle en voyant d'autres élèves arriver, certains avec des blessures qui demandaient des soins immédiats. Pas ça ! Pitié, tout sauf une attaque.

– Ginny !», cria alors une voix derrière elle.

Elle se retourna, espérant que Jonathan (elle avait reconnu sa voix !) saurait où était Harry.

«John ! Où est Harry ?»

Le professeur de potions sembla hésiter, puis, voyant son expression désespérée :

«Tous les professeurs se battent dans le parc. Une attaque de géants ! Ecoute, je n'ai pas beaucoup de temps. Katia est dans la Grande Salle avec la plupart des élèves, ceux qui sont blessés arrivent, mais certains ne peuvent pas se déplacer... Il faut que... Ginny !»

La jeune femme, véritable furie, se précipita vers la sortie de Poudlard. Mais Jonathan la rattrapa et l'empêcha de sortir.

«Ça suffit ! cria-t-il, calmant la jeune femme d'un coup. Ce n'est pas en allant là-bas que tu l'aideras ! De plus, des blessés graves t'attendent dans la Grande Salle et...