Chapitre 18
Mberry : entrez !!!
Gênée, Yacine entra dans la maison de mberry avec ibou.
Mberry donne-moi ton sac, et viens avec moi. Nous allons dans la chambre d’amis…
Ibou regardait sa femme accueillir cette parfaite inconnue pour elle. Mais il savait qu’elle n’allait rien faire de travers, il la connaissait très bien.
Après l’avoir installé, elle lui montra les toilettes et la laissa seul dans la pièce pour qu’elle puisse prendre ses marques. Elle ne savait pas comment et pourquoi, mais ce dont elle était sure c’est qu’elle devait parler à son mari.
Elle le retrouva dans leur chambre : ibou ?
Ibou : oui mberry…
Mberry : qu’est-ce que ça signifie ?
Ibou : assied toi je t’explique…
Elle obéit et il commença à l’expliquer. Plus il parlait et plus mberry comprenait ce qu’il en était vraiment. Bien évidemment, Doulaye n’avait jamais été son ami à elle, mais elle avait de la peine pour cette femme. Seulement, elle ne pouvait pas concevoir certaine chose, non. Elle ne pouvait pas laisser cette femme vivre dans sa maison. ; Et elle le dit à son mari.
Mberry : écoute ibou, tu n’es pas obligé de l’aider. Bien sûr, il le faut, car on a tous de la peine pour elle, mais laisse la trouver une solution, car je n’accepterai pas qu’une autre femme vienne vivre sous mon toit après ce qui viens de se passer.
Ibou : je sais ma belle, mais laisse-la être ici pendant au moins la semaine où je serai à la maison. Et pendant ce temps-là, Doulaye trouvera une solution vu qu’il est l’auteur de tout ce rafus.
Mberry : il est ou d’ailleurs ?
Ibou allait répondre quand son telephone se mit à sonner. C’était sa mère : allo maman ?
Maman Sally : mon fils, viens tout de suite, il y a des gens qui sont venu demander la main de ta sœur et tu sais que je ne vais pas les laisser repartir, ils risquent de ne plus revenir. Je voulais appeler ton oncle et quelques autres personnes du quartier pour être les témoins. Mais avant cela, je veux que tu me dises ce que tu en penses…
Ibou : maman, tu ne peux pas te précipiter pour la donner en mariage comme ça. Quand ils viendront tu leur diras t’attendre jusqu’au lendemain, c’est-à-dire dimanche et on viendra tous sceller leur union.
Maman saly hésita un moment avant de répliquer : tu sais mon fils je n’ai pas envie que cette fille reste encore longtemps dans ma maison. Elle devient vieille …
Ibou : rire maman, fais ce que je te dis et tu verras. Moi j’ai une urgence à régler aujourd’hui, mais demain matin je viendrai régler tout ça…
Maman saly : d’accord mon fils….
Ibou soupira puis raccrocha, il commençait à avoir la pression. Mais il se tourna vers sa femme : il faut que Doulaye vienne à la maison…
Mberry : tu sais très bien qu’il ne viendra pas. Il est comme ça, il est bizarre ton ami.
Ibou : tu as vu l’état de cette fille ? J’ai de la peine pour elle, en plus elle est tellement innocente.
Mberry : hum tu as intérêt à régler ce truc très vite, car je n’ai pas envie qu’elle reste ici encore longtemps.
Ibou sourit et l’attira à lui : tu es jalouse ?
Mberry : je ne suis pas jalouse, laisse-moi ibou. Tu n’es jamais sérieux…
Il captura ses lèvres et l’embrassa avant de se détacher doucement : je n’ai pas aimé quand tu m’as fait la tête hier soir. J’avais envie de te faire l’amour tu sais. J’ai failli mourir d’excitation…