Chapitre 15
Mberry était déjà prête quand ibou entrait de nouveau dans la maison. Il sourit nerveusement avant de lui lancer : on dirait que tu es plus impatiente que ce que tu veux montrer…
Elle ne sourit pas : où est le pain ?
Ibou : on va petit déjeuner la bas allons y…
Elle fronça les sourcils : on va ou ?
Ibou ne répondit pas. Il se dirigea dans la chambre et vit que sa femme avait déjà préparé ses affaire à lui il sourit devant tant de diligence mais après tout, il n’avait pas besoin de tant d’affaires. Il prit les deux sacs et sortit pour se diriger au salon. Elle y était toujours et regardait la télé : on y va mberry…
Quand elle se leva, il vit qu’elle avait porté une robe trois quart un peu moulante. Il fronça les sourcils : c’est quoi cette robe ???
Elle soupira et se précipita à sortir. Mais il l’attrapa par la taille : attend tu comptes aller ou comme ça ? Vas me changer cette tenue.
Elle soupira mais voulu lui tenir tête. Ibou devint soudain sérieux : j’ai l’impression que tu me tiens tête ces temps-ci. Mberry va te changer.
Elle soupira puis se dirigea dans sa chambre, mis un jean et un haut puis descendit de nouveau et trouva ibou déjà dehors. Ils fermèrent tout à clé et entrèrent dans la voiture.
Pendant tout le trajet ibou était clame et silencieux. Mberry se tournait de temps en temps pour le regarder mais ne voulut rien dire ; En plus de cela, il roulait à vive allure ce qui lui faisait un peu peur.
Mberry : pourquoi tu fais cette tête ?
Ibou : j’ai envie de toi et je ne peux plus me retenir…
Elle se sentait flattée mais ne voulait pas aussi qu’ils se tuent.
« Conduit doucement au moins. »
Il ne l’écoutait pas, se content juste de conduire. Elle sourit devant cette agressivité et en une heure seulement, ils arrivent devant une grande maison, toute belle avec une construction antique. Elle voulut lui demander, mais à peine descendu de voiture qu’un homme vint vers eux : bonjour Mr et madame sow, Bernard m’a prévenu de votre arrivé. Laissez-moi les clés je vous mets la voiture dans le garage et vous emmène vos bagages.
Ibou acquiesça le salua courtoisement avant de prendre mberry par le bras et de l’entrainer dans la maison. Elle attendit qu’ils soient dans une des chambre pour se détacher : ibou on est où ???
En guise de réponse il l’a plaqua au mur et plongea ses lèvres surs les siennes. Elles étaient chaudes et humides en même temps mais surtout, elles étaient avides de désir. Mberry ne pouvait s’empêcher de gémir et de répondre à son baiser de la même façon. Elle ne savait pas où ils étaient, elle ne savait même pas quand ni comment ibou avait préparé tout ça avec Bernard… il fouillait son corps, il fouillait ses seins et sans difficultés, il les avait enlevé de son chemisier. Il les pressa doucement Avant de se pencher légèrement et d’engloutir le sein gauche de mberry et de continuer à presser celui de la droite. Elle releva la tête en arrière gémissant en même temps. Elle ne tenait même pas sur ses jambes et avait toujours son jean avec elle. Mais ibou ne comptait pas la mettre sur le lit non. Il avait bien trop envie d’elle pour attendre.
Quand il voulut enlever son pantalon, sa frustration monta d’un cran et il arracha le bouton ; Mberry voulait rire, mais n’eut pas le temps car ibou venait de plonger sa main dans son intimité, la faisant fermer les yeux. Elle n’avait plus la notion du temps et sentait que son mari faisait pression sur son clitoris qui était un point très sensible en elle. Elle gémissait elle se tordait et s’agrippait à ibou qui ne voulait pas la lâcher…
