James Sirius Potter

4-La balade

« On va se faire coller James. »
« Je le suis déjà. »
« Et tu comptes nous amener où ? »
« Tais toi tu parles trop. »

Après une demie heure de marche, tous deux arrivèrent enfin, dans un champs remplis de tournesol, de blé, de fleurs.
James continuait à marcher suivît de Altais ou ses cheveux ne ressemblaient plus à rien.
Au loin il y se trouvait deux personnes, arrivé devant eux ils sourirent.

« Salut James, tu nous ramène une nouvelle. »

Des septièmes années aussi, un venait de poufsouffle et l'autre de serpentard.

« Ouais c'est Altais. Donc euh le serpentard c'est Lio et le poufsouffle c'est Paco. »
« Euh salut ? »
« Et mais t'es là sœur de Elliot ! » s'écria Lio.
« Ouais malheureusement ouais.. »

L'après midi se passa très bien, tous s'amusaient. Ils riaient, hurlaient, les garçonsOui se jetaient des sorts. Ils avaient même fait une bataille de fleurs. Mais tout jolie moment à une triste fin. Après deux heures et demi à s'être amusés dehors, les futurs adultes devaient rentrer pour leur plus grande peine.

Une fois arrivé à l'école des sorciers, le concierge les attendaient de pieds ferme. Il était remonté, après tout il avait passé son après midi à les rechercher partout. En les apercevant il se rua sur les adolescents.

« VOUS ! VOUS VOILÀ ENFIN ! »  hurla le concierge.

Tous les quatre ils s'arrêtèrent, ils n'avaient pas peur après tout ils avaient l'habitude.

La directrice McGonagall arriva derrière le concierge désespérée, elle les regarda un par un sous un soupire de colère.

« Jeunes gens, je vous conseille d'aller voir vos professeurs et tout de suite ! »

Sans plus attendre les jeunes adultes se dispersèrent dans les couloirs à la recherche de leurs salle de cours.
Tous ils eussent une colle, deux heures chacun excepté James qui en avait trois.

•••

Altais se promenait dans les couloirs de l'école. La jeune fille avait une heure de trou, elle était donc libre de faire ce qu'elle voulait. Elle ne faisait pas vraiment attention ou elle marchait, elle se remémorait sa belle après midi, puis elle imaginait comment serait sa colle.
Le couloir qu'elle empruntait menait à la volière, elle écoutait le bruit sourd que faisait les chouettes. La jolie brune ne remarquait pas qu'on marchait derrière elle; d'un coup soudain elle se fit plaquer contre le mur arrondi de l'escalier peu éclairé, le mur était glacial tout comme les mains dangereuses qui la tenait.
Le garçon faisait trois tête de plus que elle, son teint était pâle et ses cheveux aussi noir que la nuit. Les yeux verts du garçons la regardait dangereusement. Sa main gauche, était recouvert d'une rose noir tatoué.

« Tu t'es faites collée ? » dit-il froidement.

L'atmosphère était tendue. Le cœur de la jeune fille battait à toute allure. Elle avait peur de lui. Elle aurait pu tombé sur Sasha où Liam mais non, c'était lui qui la surveillait comme toujours.

« N-non.. Je... c'est juste un malentendu. » dit-elle souriante.
« Altais. Je le sais. Tu étais avec Lio, il me l'a dit. »
« Oh et alors ! Ça change quoi à ta vie ! Rien non ! »

Altais regretta aussi tôt ses paroles. Il lui fit son regard qu'il s'apprêtait à faire quand il voulait blessé intentionnellement quelqu'un, mais elle lui avait montré de l'assurance, elle ne pouvait pas baissé les yeux, pas maintenant.

« Te faire collé le premier jour. Tu me soule. »
« T'es pas un exemple non plus. Tu fais peur aux premiers années, tu insultes tout le monde tu te crois le meilleur. Ah oui mais tu as de bonnes notes. »
« Et toi ? Les premiers années aussi ont peur de toi. Tu as de mauvaises notes. Tu arrives toujours en retard. Tu te fais collé. Et tu sèche. »
« Je me bourre pas la gueule tous les soirs et baise tous les soirs. »
« Tu me surveille ou quoi ? »
« Tout comme toi. Je peux y aller maintenant ? »

Altais passa à côté de son grand frère, sans oser le regarder, lui, par contre la regardait, ses yeux étaient aussi glacial que la neige de décembre, son regard était si mauvais et remplis de haine. Une fois qu'elle savait qu'il ne pouvait plus la voir elle commença à courir doucement, sans aucun bruit pour qu'il ne le sache pas puis elle laissa échapper un long soupire et elle se laissa glisser contre un arbre dans la cour de l'école.