Love me If you dare

Chap 16 : Sonic

[N'oubliez pas la musique (★≧▽^))★☆]

Je me marrais tellement, face à sa petite bouille qui se décomposait. J'étais moi aussi surpris qu'elle soit dans mon équipe. Pourtant en étant totalement honnête avec moi-même, je n'étais pas sur mes nerfs à cause de ma conversation avec Shadow, ni le fait qu'elle soit dans mon équipe. Non, ce qui m'a bizarrement irrité c'était de la voir si proche et complice avec Shadow. Je sais que ces temps-ci je suis particulièrement facile à irrité mais je sais que j'en veux parfois à ce ténébreux d'attirer les femmes comme un vendeur de glace avec les enfants. Mais, ça m'a quelque peu déranger de voir qu'elle s'était rapproché de lui en même pas 48h! Ils allaient même "manger ensemble" alors qu'il y a une atmosphère glaciale autour de nous. Ce n'était pas de l'amour, je n'éprouverai pas ça pour ce machin rose. Mais sûrement mon côté jaloux qui s'est montrer vis-avis de la popularité de Shadow. Après tout il est le plus apte à avoir la place du PDG. Peu importe, je pense que j'avais réussit à faire dissipé toute ma colère en faisant vivre à la vit une vie d'enfer. Même si il est vrai que pour une débutante, elle a eu le courage de me faire part des imperfections. Bien-sûre elles sont évidente mais, j'avais autre chose en tête et personne parmi l'équipe ne serait capable de me faire face comme elle l'a fait encore moins de m'insulter. Quelque part j'admirais son courage. Mais cette peste ne m'avait pas manqué pour me faire faire passer une mauvaise soirée auprès de Silver. 

Je soupirais, ce Silver, comment faisait-il pour être si heureux, sans même avoir un baisé de la femme qu'il aime m'était-je dis. Je n'étais mentalement plus avec Amy et Silver a table, Elle hantait mes esprits..de nouveau, C'est vrai..je comprends Silver, parfois je voulais juste passer du temps avec Sally, juste la regarder faire son travail ou juste lui tenir la main. Des choses simples de la vie de tout les qui remplissaient mon cœur de bonheur. Enfin...ça l'était avant. Maintenant elle me rappelait juste à quel point je la méprise ou j'aimerai la mépriser. 

Je secouais la tête négativement. Il faut définitivement que je me mette au travail. J'avais encore 10 feuilles entière a étudier pour la veille. La semaine était passer en un éclaire. J'avais évidement continuer à faire mon tour de passe passe et embêté cette Amy jusqu'au bout mais j'était plutôt déçu, je n'avais pas le droit à son fameux regard noir. Non, seul un regard vide, triste pratiquement en dépression m'a été présenté. Je me rappelle bien de ce moment où un de ses collègues essayer de faire connaissance avec elle, mais elle n'avait dit un mot. Cela ne m'a pas empêché de l'enquiquiner. Raison pour laquelle j'ai perdu du temps sur mon emplois su temps et me retrouve à 00h27 en train d'étudier les dernière feuilles. Demain, c'est vendredi. Une fois le projet présenté je pourrais partir tranquillement et me reposer. Enfin j'espère, Silver m'avait dit qu'il a une nouvelle "terrible". Je ne prenait pas ses propos au sérieux. Qu'allait-il me dire? Qu'on lui a spoile "GamesEnd" de Merval?  Enfin, je me dis que c'est pas trop grave. 

1h58, Il me manque 2 pages et je pourrais rejoindre le paradis. Mais avant ça, j'ai besoin d'un arrêt de fonctionnement cérébrale. Je sortais de ma chambre m'étirant. Qu'est-ce que ça fait du bien de se lever après avoir été assis pendant des heures! J'allais dans la cuisine, et je tombais nez à nez sur la reine des abrutis. Elle regardait par la fenêtre de la cuisine. Mais qu'est-ce qu'elle fait à une heure pareil en regardant par la fenêtre? Peut-être avait-elle vu un fantôme..dans quel cas je crois que c'est son reflet. Je m'avançais prêt du lavabo et me servit. Elle ne m'a pas vu ou quoi ? elle ne s'est même pas retourné? Elle continuait à regarder par la fenêtre. Ses yeux vert vide, ses cheveux roses détachés les trois mèches qui tombe sur son magnifique visage, ses lèvres naturellement rosé tout comme ses joues. Son petit nez qui s'accordait très bien avec le reste de son visage. Il y avait cette espèce de mur de glace qui m'empêchait de lui dire à quel point elle ...n'était pas si laide. Enfin avec ou sans jamais je ne lui dirais ça.