Lorsque le bip final se fit entendre dans l'entièreté du grand gymnase à la fin du temps imparti, les joueuses s'arrêterent donc dans leurs mouvements alors que la foule acclamaient l'équipe gagnante. Bien évidemment, il s'agissait de Rakuzan.
Elles avaient gagnée Karasuno 110 à 25, et sans grandes difficultés.
Essuyant son front afin d'en enlever la sueur, Aiko se tourna ensuite vers Nami, qui regardait toujours le score, les yeux écarquillés. Son regard coléreux se tourna ensuite vers la figure plus petite qu'elle qui appartenait à la mauve et remarqua avec haine l'air faussement triste qu'elle abordait. Son regard violets fit rapidement le tour des joueuses de Karasuno, la regardant elles aussi.
Aiko: Oh! Comme c'est dommage, vous avez perdues. J'avais cru, comme une certaine Nami m'a dit, que vous alliez nous écraser. Pourtant, je constate que c'est plutôt l'inverse là.
Elle voulu rajouter une autre phrase dans le but de les énerver encore plus mais se fit plaquer au sol par ses coéquipieres, qui criaient de bonheur alors que les joueuses adverses s'éclipsaient non sans leur envoyer des regards perçants, auxquels les joueuses de Rakuzan répondirent aussitôt avec des sourires narquois. Ces dernières durent ensuite se relever de leur capitaine car cette dernière était la plus petite en taille et devoir supporter des plus grandes et plus lourdes personnes qu'elle allait la tuer. Elles l'aidèrent à se relever, et l'emmenèrent en ligne, afin de saluer l'autre équipe comme il était obligé de faire, avant de se diriger vers leur vestiaire, en chantonnant. Les joueuses allèrent toutes se doucher, pour ensuite se changer en survêtement de Rakuzan. Les garçons entrèrent alors et jamais il n'y eu un vacarme pareil dans les oreilles des coachs.
-Yuki et Eikichi se sautèrent dessus afin de s'embrasser et de crier de joie à leurs tour,
- Mina, Hinata regardèrent la scène d'un air amusé avec un Mayuzumi qui leur parlait calmement,
-Akashi regardait désespéré le trio infernal,
- Et enfin, Reo, Aiko, et Kotaro, le trio infernal, se sautèrent dessus afin de se frapper amicalement, et foutre un vacarme sans pareilles dans les vestiaires.
Évidemment, Aiko s'amusaient beaucoup avec ses deux acolytes mais elle sentit bien vite la fatigue arriver ce qui la calma peu à peu. La jeune femme était entrée dans la zone durant le match, ce qui l'avait lessivée.
Le coach de l'équipe masculine arrêta bien vite le vacarme infernal avant que celui de l'équipe féminine ne félicite ses joueuses de l'excellent score et félicitait au passage Aiko pour s'être calmée, et de n'avoir commis aucune faute. Il la questionna alors sur ce soudain changement, auquel elle répondit simplement par un haussement des épaules.
Alord que le coach continuait de s'exprimer, la capitaine croisa malheureusement le regard d'Akashi et détourna le regard, bien trop embarrassée pour tenter une bataille de regard. Les deux, complètement à l'arrière du regroupement étaient l'un à l'opposé de l'autre. Cela changea bien vite lorsque le capitaine se décida à s'approcher discrètement de la mauve, et se mit derrière elle. Les yeux de cetre derrière s'écarquillèrent légèrement lorsqu'elle sentit un souffle chaud taper contre sa nuque, la faisant se retourner. Elle se crispa en voyant le capitaine et voulu s'éloigner en silence mais il l'attrapa par la taille et la remit dos à lui, face au groupe de lycéens qui ne les remarquaient même pas car ils étaient à l'arrière. Le visage de la mauve prit feu tandis qu'elle commençait à bouger en espérant s'extirper de sa prise en vain. Le lycéen aux yeux vairons l'immobilisa en posant doucement ses lèvres là où tapait son souffle quelques instants plus tôt. Voyant ensuite qu'elle s'était calmée, il serra doucement ses mains dans les siennes et écouta la fin du discours du coach.
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L'empereur et son impératrice
FanfictionAiko Yoshida est une jeune fille qui rentre d'amérique après avoir fuit ses anciens amis, la génération miracle. En faisant sa rentrée à Rakuzan, elle ne s'attendait pas à revoir une certaine personne qu'elle aurait voulu oublier. Ps: C'est une hist...