Recueil d'OS (Manga x Reader) |TERMINÉ|

|Kuroko No Basket| Daiki Aomine x Reader #2

Hiya~ Voici ton avant dernière commande Karma Akabane-E ! J'ai jamais écrit autant de fois un pseudo de ma vie XD J'ai essayé de faire quelque chose d'un peu différent que le premier OS sur Aomine vu que j'ai déjà fait une Reader sœur de Kagami dans l'ancien. Cet OS ne parlera donc pas de basket ! J'espère qu'il te plaira~ ^^
Désolé des fautes d'orthographes et bonne lecture !

Je suis censée prendre mon petit déjeuner en compagnie de mon frère or je n'ai vraiment pas faim. Le roux face à moi engloutit tout son repas américain sous mes yeux dégoutés. Mes prunelles contemplent sans envie mon assiette devant moi. Je la repousse légèrement.

- T'as pas faim, (T/P) ? Demande Taiga, mon frère, assis en face de moi.

- Non, je...ne me sens pas bien...

- Qu'est-ce que tu as ?

- Problème de fille. Dis-je avec une véhémence non dissimulé.

Je sors de table puis monte dans ma chambre à l'étage. Je croise Alex mais ne lui adresse pas la parole, juste un regard agressif. Là, je ferme la porte et me retrouve dans le noir puis m'allonge dans mon lit, la main sur mon bas-ventre meurtrie. J'ai l'impression que l'on me déchire de l'intérieur...

Je ramène mes jambes vers ma poitrine puis place un coussin entre-elles. J'essaie de me mettre dans différentes positions pour faire passer la douleur mais elle persiste et reviens plus violemment. J'ai des bouffés de chaleur, je transpire énormément. J'entends vaguement mon téléphone vibrer à plusieurs reprises sur la table de nuit.

Pourquoi est-ce aussi douloureux ?

Sans que je m'en rende compte, ma conscience s'évapore dans la noirceur de l'inconscience d'une sieste sans rêve.

Une chose rafraîchissante se pose sur ma tête, j'ouvre mes prunelles (C/Y) encore légèrement endormie.  Je vois la silhouette accroupi de mon copain tenant quelque chose de frais et d'humide contre mon front.

- Daiki..?

- (T/P), tu as encore mal ? Tu veux un médicament ?

Sa voix... C'est la chose la plus belle et mélodieuse que j'ai entendu de toute ma vie. Le voir face à moi, inquiet, magnifique, toujours au petit soin est déjà irrésistible mais si il se met à acquérir une voix aussi mielleuse... Mon cœur et mon corps vont complètement fondre. La peau mate de ses doigts touche délicatement ma joue.

- Réponds moi bébé au lieu de me regarder comme si tu allais me sauter dessus. Rit-il, les yeux pétillants.

- N'inverse pas les rôles... C'est toi qui me cherche à parler comme ça...

- Oh et je parle comment ?

- Avec une voix sexy, mielleuse...

Le bleuté rit de bon cœur avant de se reprendre.

- D'accord, bon, ma voix sexy te demande si tu voudrais un médicament.

Je hoche lentement la tête, ne quittant ses lèvres des yeux sous aucun prétexte. J'ai les hormones en ébullition, il semblerait... Il se redresse pour aller chercher mon anti-douleur sur mon bureau. J'ai donc la possibilité d'observer son corps d'athlète de dos. De l'arrière de son crâne en continuant sur ses larges épaules puis descendant le long de sa colonne vertébrale ainsi que sur ses avant-bras aux muscles saillant. Mon exploration se prolonge dans le bas de ses reins, ses fesses, ses cuisses et ses mollets. Les tissus de son t-shirt et de son short me permettent de déduire ce que j'ai déjà vu par le passé tend ses vêtements le moule tel une statue de héros grec. Daiki revient vers moi, le sourire aux lèvres, mon médicament dans une main et ma bouteille d'eau dans l'autre.

- Tiens, ma belle.

Je prends ce qu'il me tend, me redresse légèrement en grimaçant : la douleur revient me donnant la nausé. Je me rallonge une fois le cachet prit et la bouteille posé à terre, il me sourit de toutes ses dents en caressant ma joue.

- Ton frère c'est un con, il sait même pas comment t'aider avec ça !

- Je t'ai entendu abruti d'AHOmine ! Crie Taiga d'en bas.

- J'm'en bats les coquelicots, BAKAgami !

Je ris faiblement pendant que Daiki se lève pour fermer la porte de ma chambre. Je le regarde, complètement sous son charme. Il a toujours été aussi sexy ou..?

- Pourquoi tu me regarde comme ça ? Dit-il, les mains sur la taille sans se départir de son sourire.

- Parce que je t'aime.

- J'en connais une qui est d'humeur câline...

Il me regarde, un sourire en coin, puis enlève son t-shirt mettant ses abdominaux à nu. Je le détaille, ses muscles saillants me donne envie de le toucher... Il baisse son pentalon _il est donc désormais en boxer_ puis il vient s'allonger à mes côtés. Je souhaite me tourner vers lui mais il n'est pas de cet avis. Mon basketteur se colle contre mon dos puis passe ses mains autour de moi, les laissant reposer sur mon bas-ventre et effectuer de faible rond sur ma peau.

- Ne te retourne pas, (T/P).

- Pourquoi ça ?

- Je suis bien là... À regarder dans ton t-shirt ample. Ouais, c'est cool...

Je pouffe de rire. Ce mec ne changera jamais... Aujourd'hui, je suis d'humeur joueuse _on se demande pourquoi_ alors je me colle davantage à lui, mes fesses contre son abdomen, mes omoplates contre ses pectoraux, ma tête à l'arrière. Sa vue est dégagée sur mon t-shirt ample qui me sert de pyjama.

- Tu veux que je te saute dessus, (T/P) ? À force de jouer avec le feu, tu vas te brûler...

- Hm... Peut-être mais que veux-tu, je suis joueuse aujourd'hui.

- Hm... Intéressant... Seulement, je préfère m'abstenir pour les jours à venir. Je te promets qu'on jouera comme des fous quand tu ne les auras plus.

- J'ai hâte de faire une super partie de Monopoly avec toi !

Daiki rit fortement puis me retourne vers lui. Il enserre ses bras autour de ma taille et roule sur le dos. Je suis à présent allongé sur son torse. Mes yeux (C/Y) s'ancrent dans ses prunelles bleu, je pose ma main sur sa joue en caressant sa pommette.

- Je t'aime Daiki.

- Moi aussi je m'aime !

Je grimace légèrement et tape sur son torse.

- “Romantique”, c'est un mot qui te qualifie tellement...

- Je sais, je sais. Le seul qui puisse être plus romantique que moi, c'est moi-même !

Je soupire puis m'allonge à plat ventre sur lui, la tête sur le côté. La seule fois où il a dit qu'il m'aimait, c'est quand il m'a demandé de sortir avec lui. Depuis, il se contente de répondre seulement qu'il s'aime aussi... C'est frustrant...

Ses mains parcourent mon dos de caresses, c'est agréable. Il passe sous mon t-shirt et laisse ses doigts courir sur mon épiderme dorsale. J'apprécie ces cajoleries au point où je soupire d'aise. Ma respiration se fait plus faible, mes paupières s'alourdissent et mes muscles se détendent. Avant de sombrer dans un sommeil réparateur, je sens que Daiki pose un baiser sur ma tampe. Puis il susurre :

- Je t'aime ma belle et sexy petite (T/P). Dors bien.