chapitre 9

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Choquée par ce qu'il venait de dire je me décalais avant de me poser sur une des chaises au milieu de la pièce.

Moi: tu sais si il habite encore à corbeil?

Tarik: chep. Mais sa m'étonnerait qu'il ai déménager.

Moi: attend, tu habites aussi là-bas?

Tarik: tu te fois de ma gueule ou tu le fait exprès? J'avoue question bête. Forcément qu'il y loge.

Moi: bon si il te demande si tu m'a vu, tu dit non. Tu ne me connais pas. On a rien fait.

Tarik: pourquoi?

Je tournais mais tête vers lui et le regardait comme si il venait de dire une énorme bêtise.

Moi: peut être parce que de 1: il m'a prévenu de ne pas traîner avec ses gars de 2: j'ai déjà été dans la drogue et si il me revoit traîner avec des dealers, vu comment il est parano, il va s'imaginer des choses. Donc voilà pourquoi.

Tarik: alors la j'ai 2 remarque. De 1: ton frère est un peu trop collant. De 2: toi, dans un réseau? C'est qu'il se fout de la gueule ne plus.

Moi: c'est la miff, toi même tu connais et oui dans un réseau et je me suis fait démonter par mon frère.

Tarik: ok, je dirais rien, t'inquiète pas.

Moi: merci. Bon si tu as rien d'autre à rajouter je vais dormir . Dis-je toute en baillant.

Tarik: si, encore un truc.

Moi: ok,mais rapide.

Tarik: tu sais où tu logera après que tu sera sortit?

Moi: euh... peut être je retournerais cher mes darons, si j'ai encore la force de les regarder dans les yeux. Pourquoi cette question ?

Tarik: pour savoir. D'acciord. Très bizarre ce gars.

Moi: ok, bon bah bonne nuit.

Je soufflait un bon coups pour le donnait la force de grimper jusqu'a mon lit. Enfin arrivée dedans je m'affala sur celui-ci.

BOUM!
Mais qu'est ce que c'est que tout ce raffut?! La porte venait d'être fermée  violemment. J'en aurais presque eu de la peine.

Moi: Tarik? Ma voix était presque inaudible à cause du froid de l'hiver qui arrivé doucement,mais sûrement.

Personne ne répondu. C'est qu'il venait de partir. N'empêche pour réõussir à claquer ces porte il faut être sacrément balèze. Je me levais difficilement, et m'habilla de mon habituelle vêtements de prison.
J'ai un mal de tête pas possible par contre. Je me regarda dans l'unique miroir de notre cellule et regarda le carnage que causa le stress. Mes cernes étaient de plus en plus imposante et impieter sur mes joues. Mon teint était devenu plus pâle car je ne sortait plus beaucoup. Mes cheveux devenait de plus en plus un long, alors je fit une espèce de chignon bizarre au dessus de ma tête.

une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant