chapitre 4

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Moi: nooon.

Tarik: entre. Il le dit si sec que je m'exécuta, je compris directement qu'il était énervé et que j'allais prendre cher. J'ouvrit la porte doucement et il était là, assis sur sa chaise avec une clope. Je me dirigea directement vers mon lit pour pouvoir me réfugier sous ma couette mais pas il m'interpella avant de pouvoir atteindre mon matelas.

Tarik: j'espère que tu sais pourquoi je suis énervé.

Moi: oui.

Tarik: je ne veux plus jamais que tu te bats, c'est compris.

Moi: oui mais je fais quoi si on m'agresse? Je les menaces d'appeler la police? Tarik on est dans une prison. Je marque 1 point.

Tarik: tu viens me voir.

Moi: sérieux tu crois vraiment que j'aurais le temps de venir te voir. J'avais augmenter ma voix et il le remarqua. Il me regardais enfin.

Tarik: je suis jamais loin est tu le sais très bien. Il le dit avec une voix irritante. 1 point partout

Moi: plus pour longtemps.

Tarik: peut être mais tant que je suis la tu ne te bats pas, je te surveille.

Je préférais ne rien dire sinon sa va partir en couille.

Moi: bonne nuit. Je le dit sèchement.

Ont passa notre soirée de notre côté avant de nous coucher. Je mit du temps à m'endormir et ne faisait que me tourner. Puis je trouvais enfin la position adéquat pour m'endormir.

Élispse de 2 semaine

En 2 semaine tout allais mieux et les 2 cons et sa bande son pas revenu me faire chier, et puis Tarik sort à la fin de semaine ducoup il a des rendez-vous à gogo. J'étais en train d'effectuer mes traction quotidien. J'avais remarquer que mes journée se résumer à: me lever, petit déjeuner , sport, midi, sport, souper et dormir. J'ai vraiment une vie de merde en faite. Mais quand je sortiras, c'est à dire dans 1 mois et des poussière, je pense pas que je ferais grand chose non plus. Je travaillais dans la medecine mais sa m'énervais alors je me suis reconvertis dans le commerce, sa ma plus. J'ai donc pus quitter mes études à 24 ans et sa fait maintenant 2 ans que je travaillais comme caissières dans un magasin de vêtements: cache-cache. J'avais un bon train de vie jusqu'à l'accident.

Avant j'habitais la Bretagne avec ma mère bordelaise et mon père espagnol. Ouai j'ai des origines bizarre mais bon il en faut pour tout les goûts. J'ai déménager à Paris, dans les tarteret, la où ma famille m'avait rendu visite pour la dernière fois. Je pense que dès que je sortirais de cette foutu prison j'irais les voir, si j'en ai le courage bien sûr. Une voix extérieur me sortit de mes pensées.

une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant