une histoire innatendu- pnl [ademo]

chapitre 21

En apercevant la personne, je décida de restée cachée derrière le mur. Je me mit à observer la personne pour voire ce qu'elle veux. Visiblement elle était en colère et sortait de soirée.Elle était vêtu d'une robe rose plutôt courte et de long talons accompagné de son sac a main ridicule qui tenait sûrement son maquillage qui, parlons en, n'étais pas plus fameux que la nuit qu'elle a du passé. Au  bout d'un moment elle se mit à frapper la porte en criant:

La fille: EH NABIL! JE SAIS QUE TES LA, ON A UN COMPTE À RÉGLÉ! SORS SI TES PAS UNE PUTE!

Moi: c'est plutôt toi la pute non?

Elle se retourna , choquée par ce que je venais de dire et me devisagea de la tête au pieds avec la plus grande des arogance.
Toujours au coin du mur, mon épaule étais poser sur contre le mur qui me retenais de tomber. Seulement une de mes jambes me retenais, l'autre était sur la pointe des pieds.

La fille: non mais tu te prends pour qui? Regarde toi avant de parler.

Moi: justement, l'une de nous ressemble plus a une pute que l'autre.

Je me mis à avancer doucement vers elle.

La fille: tu as raison, je dirais toi. Fringue de Salope avec ton pantalon moulant et ta chemise qui dépasse de ton jeans. Et je ne parle pas de ta veste en cuir.

Moi: faux! Tu tes trompé, une pute ressemblerait plus à une fille qui par exemple,  s'habillerais en robe rose, grand talons et surtout qui se prends pour un pot de peinture. Disai-je innocemment avant de la regarder dans les yeux, voir si elle a compris mon allusion ou non.

Tout en discutant, j'avancais vers elle, les mains dans les poches l'air innocente et tournée autour d'elle, telle un prédateur avec sa proie.

La fille: ferme ta gueule, tu me connais pas. Son ton était soudainement plus dur.

Moi: exact, mais toi aussi. Alors dégage d'ici. Di-je avant de lui lançais un regard noir.

La fille: t'habite pas la alors c'est toi qui doit dégage. Elle me dit ca avait de me cracher dessus.

Je ferma les yeux essayant de contrôlait ma colère mais je les reouvrit pile devant sa tête qui abordait un sourire fier, fier de ce qu'elle venait de commettre.
Sans un mots je la plaqua sur le mur en face de moi avec mon bras sur sa gorge envahie par les suçons.
J'aimais ce sentiment de supériorité et de confiance face a l'autre, je savais que a forcé de me battre et menacer que au bout d'un moment j'en payerais le prix fort mais j'était addict a cette sensation.
Elle attrapa directement mon bras par réflexes en espérant avoir assez de force pour se dégager de moi et, peut être, répliquer.
Mon visage près du siens me fit remarquer par son haleine qu'elle était bourrée.

La fille: tu... tu est complètement folle.

Moi: peut être bien. Un sourire en coin fit son apparitions.

J'avais fait en sorte qu'elle puisse respirer assez pour éviter qu'elle ne tombe dans les pommes a cause de ce qu'elle avait du prendre à cette fête.

Une mains froide et forte m'attrapa brusquement la gorge m'empêchant tout filet d'air jusqu'à mes poumons.

...: lâche la.

Cette voix, je la connais, un peu trop même. Une voix ferme et dur qui ma toujours impressionné étant petite, c'était celle de mon grand frère.

J'était toujours dans la même positions qu'avant son arriver espérant qu'il arrête et que ce n'était qu'une préventions mais il continuait à resserer sa main tant que je n'avais pas desserer mon bras sur cette fille.
Je finissais pas sérieusement manquais d'air et lâcher ma prise pour mettre mes mains sur mon cou en espérant qu'il relâche sa force.
Ca avait l'air de marcher, et heureusement pour moi sinon je ne pense pas que j'aurais été capable d'aller au McDonald's a pieds.
Une fois toute sa main enlever je tomba à genou en tentant de reprendre mon souffle.
Mon frère ne broncha pas d'un pouce et ragarda la fille en attendant des expliquations.
Je repris enfin mes esprit, et ne remarqua que maintenant qu'il était accompagné de Tarik.
J'avais honte de mon montrais si faible devant lui, même si lui ne semblait rien ressentir a la situation plutôt tendu.
Je préférais restait par terre encore un moment avant de me faire défoncer par mon frère.