chapitre 30

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Après avoir enfin acheté tout ce qui me fallait pour environ quelques jours je passa en caisse.

Au moment de payer avec ma carte je doit bien avouer que j'ai prier en mon fort intérieur à ce moment précis.
Heureusement mon ange gardien garde un œil sur moi.
Je pus partir du magasin au fruit trop chère  en mettant mes course dans mon sac, trop petit d'ailleurs j'avais galérée à tout faire rentrer.
Par contre les pizzas ne voulaient pas passer donc je me trimballait mes pizzas sous mon bras dans Paris.
Heureusement qu'il n'était pas trop tard.

Je regarda mon poignet pour voir l'heure mais je ne l'avais pas sur moi.
Le fait de ne pas avoir de montre me perturbait beaucoup.
J'ai toujours eu ce vieux réflexe depuis très longtemps.
J'accélèra donc le pas pour rentrer au plus vite.

Je m'étais retrouvé dans Paris avec un sac a dos plus un sac carrefour remplis de bouffe et de quoi vivre.

Vraiment si je me faisais agresser je ne suis pas sur de m'en sortir.

Et merde, pourquoi je recommence encore à penser au pire.
J'arrivais à me faire flipper toute seule dès fois surtout que ça partais loin dans mon imagination.

?: EH TOI !

Mon cerveau: je t'avais prévenu, faut pas faire confiance.

Je me retourna, les sourcils froncés déjà saoulés par le situation et à mon plus grand plaisir je vois Nabil, le petit frère de Tarik.

Je m'approchais avec assurance car je le connaissais et surtout que son sourire me rassurais. Je lui sourit en retour.

Mon coeur : t'avais dit quoi le cerveau déjà?

Moi: Putain, j'ai pas reconnue ta voix ducoup j'ai cru que c'était encore un autre relou qui m'appelait.

Nabil: non ne t'inquiète pas je suis pas ce type de mec.

?: mon cul ouai.

Nabil: ferme ta gueule toi. Lui criais le conducteur.

Moi: c'est qui ?

?: excuse moi, j'ai oublier de me présenter. Je suis Yanis leurs demi-frère. Ravie de rencontrer une femme aussi belle que vous. Dit-il avec une voix de dragueur tout droit sortis des années 90.

Il sortis de la fenêtre passager du conducteur avec la tendu pour me le serrer

Moi: ravie de même cher monsieur.

Je décida de rentre dans son petit jeu et lui sera là main tout en soulevant la robe imaginaire avec ma main gauche comme salutation.

Nabil: vasy bouge, ta 15 ans qu'est ce que tu veux baiser.

Yanis: cette jolie demoiselle.

Je rigola du culot de ce jeune garçon qui ne manquait pas d'imagination.

Nabil: t'a pas l'âge et la beauté d'un vrai Andrieu.

Moi: bien trouvé.

Nabil: ah tu vois. Tes moche.

Moi: mais j'ai jamais dit ça !

Nabil: non mais tu le pensais très fort.

Moi: non plus, j'ai juste voulu dire que les andrieu on un certain charme.

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⏰ Dernière mise à jour : Jan 07, 2021 ⏰

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une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant