chapitre 14

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Kaina restait toujours dans le coma et sa respiration de plus en plus lente. Ce qui fit inquiéter Célia. Elle l'avait de façon à lui faire un massage cardiaque. Cela faisait au moin quelque bonne minute que son coéquipier n'était toujours pas revenu avec le défibrillateur.
Célia commençais à fatiguée et s'inquiétait pour son ami.
Puis soudain un bruit accompagné de voix l'interpellais.

Célia: Théo? C'est toi. Dit-elle hésitante.

Théo: Ah tu est toujours là. Désolé j'ai eu du retard. Elle vas bien?

Célia: oui, elle peut s'en sortir.

Théo: Ah euh tient le défibrillateur. Dit-il en se grattant l'arrière de sa  tête...

Pvd kaina

Je me réveilla doucement et essaya de me relever mais je n'y parvenais pas.
Putains, il c'était passé quoi. Je suis où d'ailleurs?
Malgré mes douleurs je réussi à tourner ma tête et me aperçu une ombre massive dans le noir. Les volets était heuresement fermer mais je n'y voyait rien.

Moi: Tarik? Essai-je de dire. Ma bouche était extrêmement sec et dès que j'avalais ma salive ça me procurer un mal de chien.

Par pur reflexe humain, je mis ma main sur ma gorge. Je me mis à  chercher un verre d'eau ou quelque chose de liquide. Je commençais à avoir vraiment mal, à au limite de m'étouffer.
Putains, je vais mourir, j'ai beaucoup trop mal!
En voyant m'affoler, la grande masse bougea enfin et me tendit un verre d'eau que je pris à deux mains.

Tarik: ça va mieux?

Moi: oui, mais qus c'est-t-il passé?

Tarik: j'en sais rien. Tout ce que je sais c'est que un gars ta ramener ici. T'était dans un sale état mais il m'a dit de te surveiller.

Moi: c'était qui?

Tarik: chep et je veux pas trop savoir. Dit-il en s'affalant sur sa chaise.

Moi: tes jaloux? Di-je plein je sous-entendus.

Il me regarda de haut mais il ne dit rien.

Moi: oh ça va je rigole boude pas.

Tarik: qu'est-ce que c'était bien  quand tu dormais.

Moi: gngngn...

Tarik: oh ça va je rigole boude pas.

Vraiment irrécupérable ce type.

Tarik: non plus sérieusement, je pars aujourd'hui et je veux surtout pas que tu fasse pas d'autre conneries.

Moi: oh tu pars! Trop bien! A moi la cellule. J'étais une peu triste qu'il parte mais ça me fera sûrement des vacances de voir personne.

une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant