chapitee 27

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Un silence de mort reignait depuis la dernière phrase de Tarik.
Elle résonnait en boucle dans tête.
Je ne pouvais pas lui en vouloir car il avait raison.
J'avais du mal à exprimer de l'affection aux personnes gentil avec moi alore j'ai pris cette mauvaise habitude d'insulter les gens proche de moi par manque de confiance en moi et en eux.
Frapper et insulter sont dans ma deuxième nature.
Les gens avec qui je traînais étaient des personnes peu recommandable et je le savais pourtant je restais avec eux car je pouvais tabasser sans qu'on me reproche d'être trop violente.
J'me rappels, au lycée je traînais la moitier de mon temps avec les mecs, je m'étais faite une réputation de tête brûlée. Et surtout j'hésitais pas à chercher la merde.
Mais je m'était calmée.
Pourtant ce n'était pas assez. Je faisais quand même souffrir les gens sans m'en rendre compte.
C'était pourquoi je devais changée cette vielle habitude.
Ma tête continuait de tourner et a cogner.
Comme si mon cerveau voulait sortir de ça boite crânienne.
Horrible.
On avaient réussis à passés les premiers étages en se tenant l'une à l'autre mais les derniers c'était une toute autre histoire.
Tarik était partis à son appart, Nabil lui a préféré veillé sur nous encore bien amoché.
Enfin rentrés dans l'appartement, Nabil ne resta pas plus longtemps avant de partir.
Manon coucha sur le canapé et moi dans mon lit.
On avaient à peine enlever manteaux et chaussures qu'on étaient déjà affalée dessus.
Un pure plaisir.
Mes draps chaud et propre me tendaient les bras que je pris volontiers avant de m'endormir comme un bébé.
Voila comment c'était terminer cette soirée.

La lumière du soleil était venu déranger mon sommeil profond et me ramena à la dure réalité.
Ma bouche sèche et pâteuse me demandais de l'eau et ma vessie a se vider au plus vite.
Une flemme intense de me lever me pris.
Mais javais pas le choix.
Un pieds posé puis l'autre, le parquet froid me donna des frissons sur toute ma jambe.
Ma tête réagis immédiatement en faisant revenir mon mal de crâne.
Mes mains avaient pris le réflexe de malaxer mes tempes pour atténuer la douleur.

Moi: plus jamais je bois...

Ma voix... j'avais oubliée son intonation après une cuite.
C'est vrai que la prison m'avais fait comme une sorte de cure.
Enfin pas trop à cause de ce soir mais bon javais perdu l'habitude et l'endurance que javais acquise.
Mon envie présente de me soulager commencer à devenir intense.
Je me leva avec beaucoup de difficulté et m'accrocha à tout ce que je trouva.
Après mon passage au toilettes, je partis dans ma chambre pour me mettre en sous-vêtements.
Je portais un short avec une brassière de sport grise très confortable.
Une fois passé le couloir j'aperçus une main dépassé de mon canapé.
Je resta bloquée un moment au même endroit essayant de savoir qui était allongé dans mon salon.
Ma main se promenais  dans mes cheveux brun mêlés.

Moi: fait chier ! Tes qui?

Je préférais chuchotait à cause de ma  voix casser et pour pas la réveiller car c'était une main de fille.
Je pris la peu de courage que javais et avança à pas de loup.
A peine avais-je vu son visage que tout mon corps se détendit.
C'était Manon.
Elle tapais son meilleur somme sur mon canapé en tout cas.
Mais je ne savais pas du tout comment elle a atterri ici.
A vrai dire je me souviens juste que l'on c'était incrusté dans une soirée, c'est tout.
Je pus donc allez boire un verre d'eau tranquillement.
Je ne sais pas ce que je vais faire de ma journée par contre.
Enfin si mais Netflix mais faudra bien que je trouve un boulot pour déjà rembourser mon frère, payer le loyer et tout les autres trucs chiant.
Je m'installais sur le bar de ma cuisine et réfléchissais à un petit boulot simpa.

Manon: atchoum!

Moi: ah déjà ?!

Manon: elle son ou les toilettes ?

Moi: dans le couloir à gauche.

Elle se précipita la main à la bouche pour aller vomir ce quelle avait vu hier.
Ce  bruit m'avait pas manquée.
Je le retourna pour faire face au frigo. Je l'ouvri sans grande espérance et j'avais eu raison car il était vide.
Les bruit de vomissant s'était enfin stoppé.

Moi: ça va mieux?

Manon: devine.

Moi: j'prends ça pour un oui.

Manon: ta pas un truc pour la tête la?

Moi: jai rien meuf. Faut que je fasse les course.

Manon:...

Moi: désolé.

Je me dirigea vers les toilettes pour sa pire comment elle allait.
Elle était accroupi sur le sol juste a coté des toilettes.
Je me mis à sa hauteur avant de lui tendre un verre d'eau.

Manon: merci.

Moi:de rien. Tu dis si ta besoin d'un truc.

Manon: merci le reuf.

Moi:tu rentrera comment chez toi ou tu redre ici ?

Manon: non, j'ai un dîner ce soir.

Moi: ptdr avec qui? Je le connais ? Il est beau ? Il est comment ? Tu le connais depuis combien de temps?

Manon: calme toi c'est avec mes parents.

Moi: ah. Je suis déçu là.

Manon: et toi ? Le mec beau la ?

Moi: qui?

Manon: le gars baraqué qui t'avais accompagner au kebab.

Moi: ah oui lui. Non, il se prend pour mon père.

Manon: ouai bah tu lui remerciera de nous avoir ramener hier.

Moi: hein ? Comment ça? Il s'est passé quoi hier ?

Manon: tu te souviens vraiment de rien ?

Moi: rien.

Manon: je t'expliquerais quand jaurais pris un truc pas avant.

Moi: va te faire.

Manon: bref, faut que je bouge.

Moi: ouai. Tu rentre comment ?

Manon: avions.

Moi:...

Manon: je vais appelé ma sœur.

Moi: tu lui passera un bonjour de ma part.

Manon: ouais t'inquiète pas.

Je l'aida à se relever et la ramena sur le canapé elle appela sa sœur.
Je partis chercher mon téléphone mon tour histoire de voir si jai pas fait de conneries.
Je regarda sur chacune des applications ou jaurais pus faire quelque chose mais rien même pas une photo.
Je regarda la dernière application que je n'avais pas vérifié: message.






une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant