chapitre 24

333 10 0
                                    

Il était 0h39 quand j'avais reçu le message de Kaina, son frère était partis la cherchée depuis au moins  20 minutes.
Je devais bien avouais que son message me faisait flipper. Pour qu'elle demande de l'aide c'est qu'elle était bien dans la merde.
Je déverrouilla mon téléphone et décida de l'appeler.
3 sonnerie retentir avant d'entendre sa voix mélanger a une intonations que je connaissait si bien que j'avais déjà compris ou se situé le problème.

Kaina: ...AllO...?

Moi: combien de verres?

Kaina: De BouTEillEs plUtOt. Elle rigolait comme si c'était normal.

Moi: oh putain...il se passe quoi?

Kaina: j'Ai vU mOn frèRe pasSer et Il fauT paS qU'il me troUVe COMMe ça.

Moi: demande à ta pote de te ramener.

Un rire s'échappa du téléphone.

Kaina: c'esT À peinE si elLe pEut MArchEE.

Moi: attend, vous vous êtes bourree la gueule sans penser à comment rentrer?!

Kaina: je...

Moi: tu te démmerde.

J'allais décroché mais sa voix avait totalement changée de ton ce qui m'avais convaincu.

Kaina: exCuse MOi, j'en Ai fAiT Qu'à ma têTe lA proChaIne fOis je T'EcOuteraIs

Sa voix...elle pleurait, son reniflement me le confirma. J'étais partagé entre 2.je voulais l'aidée mais ca reviendrais à mentir encore à son frère et surtout m'occuper des affaires qui n'étais pas les miennes.

Moi: Kaina, écoute je peux pas m'occuper de ce qui ne me regarde et surtout je te l'ai prévenu.

Kaina: trÈs biEn, Je COmpreNds. Un ton ferme et froid s'était accaparé de toute bonne humeur qui régnait encore dans sa voix de toute a l'heure.

Elle raccrocha immédiatement après.
Je m'en voulais à mort de l'avoir encore fait pleurer.
Un sentiment de regret m'avait envahie comme la dernière fois en prison.
Je reregarda les messages qu'elle m'avait envoyer.
Raaah! Jpeux pas la laisser comme ça putain.
Et puis merde, son frère m'avait dit de la protégée.
Je jeta mon mégot en fin de vie par terre avant de l'écraser et dévaler la pente pour rejoindre  ma voiture mais a mi-chemins je me rendait compte que j'avais oublié quelque chose.
Les clés. Merde. Chez moi. Fait chier, si j'avais pas agit comme un con je serais pas la à courir partout.
Je remonta tout le parking pour atteindre les escaliers exigus que je connaissais si bien.
Une fois arrivé devant la porte je remarqua qu'elle n'était n'étais pas fermé à clé.
Pourtant Nab' ne devrais pas rentrer avant demain.
Des bruits de pas se rapproché de la porte. Je me mis à écouté a ma propre porte et découvrit que les pas qui avançait était des talons.
Rassuré de savoir que ce n'étais qu'une de ces autres conquêtes j'ouvrit le porte sans pitié pour la poignée.

La fille: eh! FAIT GAFFE!

Moi: tagueule.

Je ne lui avait addrese aucun regard, trop pressé de retrouver ces fichu clés .
Toujours quand on avait besoin d'elle elles sont pas là.

Moi: Nabil t'aurais pas vu les clés de voitures?!

Nabil: c'est tes clés, pas les miennes.

Je cherchais toujours mes clés dans tout l'appart mais rien.
L'idiot qui me servait de frère était à présent derrière moi et me regardé avec un malin plaisir de me voir galéré.

Moi: aide moi au lieu de me mater le cul.

Nabil: mais j'en ai rien à foutre de tes clé moi. Rigolat-il.

Je me retourna pour lui faire face et lui défoncer la gueule mais je me stoppa quand je  remarqua qu'il était en putain de calbute.

Moi: habille ta bite jsuis la! Sale clochard.

Nabil: va te faire foutre. Il avala d'un trait son café et partis s'habiller.

Nabil: pourquoi tu en a besoin?

Moi: la p'tite a besoin de moi.

Nabil: laquelle?

Moi: Kaina.

Nabil: oh okay j'ai compris pourquoi!

Je m'étais retourné perplexe qu'il comprenne réellement pourquoi je chercher les clés.
Il me regardait en train de faire un clin d'oeil grossier en sous-entendent des centaines de choses.

Moi: tagueule, elle est vraiment dans la merde.

Nabil: eh ! J'ai trouvé tes clés!

Je me précipita vers lui et lui fit une tape sur le dos en signe de remerciement et couru vers la porte.

Nabil: j'arrive.

Moi: quoi?

Nabil: tagueule et avance.

Ce que je fit.

Pvd Kaina

La fête avait a peine commencé pour moi que j'étais déjà déchirée. Faut croire que j'ai perdu toute résistance a l'alcool en même temps avec les 4 mois faut avouer que ca a été extrêmement dur.
J'étais à ma 2 ème bouteille quand j'ai aperçu la voiture de mon frère. Il était la a l'intérieur en train de chercher quelqu'un. Je sais pas si c'etais moi ou non mais en tout cas cette personne risque de passer un sale quart d'heure. Je m'étais caché dans un buisson du jardin en attendant qu'il parte malheureusement il faisait des tours.
J'étais pas rassurée et une boule au ventre commencé à se former en moi. Déjà que j'avais mal au ventre la je vais vomir.
Toujours assis adossé sur le buisson j'avais eu la merveilleuse de fouillé mon téléphone.
Par instinct mon index se dirigea sur :message.
Une très mauvaise idée me disait ma tête par expérience mais je m'en fiché.
Une ribambelle de messages non lus m'explosait les yeux qui était habitué à au noir.
Je pris la 10e conversations.
Je n'arrivais pas à trop à distingué les mots de cette personne mais j'ai pus quand même distingué le mots "pute".

Moi: PardOn?! QUi osE m'INsuLtaIs? IL vAs pAYEr PouR ce Qu'Il a OsEr FaIre!

Alors prête à lâché tout ma haine envers l'encule qui m'avait insultais ma sonnerie de téléphone m'empêcha de faire quoi que ce soit.

Moi: OuaIs?

Manon: t'Es oU?

Moi: daNs Un buIssOn.

Manon: qUoI?

Moi: J'ARrivE.

Manon: nOn, j'arRive.

Moi: oK.

Satisfaire de ne pas avoir a me déplacer je pris une autre gorgé de ce liquide si précieuse a mes lèvres.
Un bruit de gravier me fit tourner la tête. Une figure que je connaissait bien.
Il m'a trouvé?
Fait chier.
Je m'étais réfugié encore plus dans le trou du buisson mais quelqu'un d'autre arriva au même moment.

une histoire innatendu- pnl [ademo]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant