Chef de Rocinha : Plus grosse Favela de Rio de Janeiro.

❄️Chapitre 47 : Deuxième fois.❄️

Coucou !

La suite est la ! 😝

Bonne lecture les loulous !

Bisous !💗

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~Il n'y a vraiment rien de mieux à cet instant qu'une bonne détente après cette longue journée affreuse...~

•Kairo•

Une chose de faite, je suis ravi que Calvin m'ait écouté. Je suis ravi d'avoir vu toute cette rage prendre le dessus. Voilà ce que j'appelle un homme ! C'est ce que je veux dans ma favéla, des hommes près à tuer n'importe qui sans aucune pitié ! Des hommes qui n'ont plus toute leur humanité ! Cet endroit n'a pas de place pour les faibles. Je suis vraiment fier de ma réussite, je suis vraiment fier de tout ce que j'ai accomplis ici !

Je retourne près de Calvin, je lui tape sur l'épaule pour lui faire comprendre que je suis satisfait de lui.

- J'ai pris la meilleure décision grâce à toi, je n'aurai jamais pu laisser Melya se charger d'une telle chose. Merci Kairo. Me dit-il fièrement.

Je suis content de l'entendre dire ces mots, c'est exactement ce que je voulais entendre sortir de sa bouche. Il se réveille enfin. C'est là que je reconnais Calvin.

- Tôt ou tard elle te détestera pour ce que tu as fais ce n'est qu'une question de temps ! Hurle Marcelo pour faire à nouveau culpabiliser Calvin.

J'entre à nouveau dans la cellule, je regarde Marcelo diaboliquement dans les yeux. Je sers mes poings et je lui envoie un coup dans la mâchoire. Il crache du sang mais continue à rire comme un imbécile, il me casse les couilles !

Je me tourne vers Calvin et je soupire d'agacement.

- Ta sœur ne peux désormais qu'être heureuse grâce à toi, n'écoute pas les conneries qu'il dit.

Il hoche la tête le sourire aux lèvres l'air soulagé des mots que je viens de prononcer. Normalement je n'encourage jamais mes hommes, normalement j'en ai rien faire s'ils souffrent ou autre mais quand c'est un élément essentiel, je n'ai pas trop le choix. Je ne veux pas le voir déprimer et rater toutes les missions prochaines que je lui donnerai. Il est la surveillance de cette favéla, j'ai besoin de ses yeux, de son talent et de son bon travail !

- Bien, tu peux y aller maintenant. Dis-je en le regardant.

Il lève les yeux sur moi faisant une sorte de grimace. Je fronce les sourcils et je l'interroge du regard.

- Et lui ?

Il pointe Marcelo du doigt, le problème c'est qu'il ne peut pas rester. L'histoire avec Marcelo me concerne personnellement à présent, je refuse que qui que ce soit puisse savoir quelque chose sur ma vie et encore moins avec toutes les informations que ce dossier avait sur moi.

- Va t'en je t'ai dis. M'exprimais-je sèchement.

Il soupire et baisse la tête. Il ne dis rien de plus, il ramasse juste l'arme qu'il avait faite tomber, il me l'a tend. Je la saisie et il finit par tourner ses talon, il m'obéit en s'en allant vers l'ascenseur. Il ne doit sûrement pas comprendre mes sauts d'humeurs comme toujours mais il en a prit l'habitude c'est bien pour cela qu'il ne bronche plus quand je lui dis quelque chose.