🧸Chapitre 84 : Destinée.🧸

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Hey tout le monde !

🙏🏼Avant toutes choses, je tiens à vous souhaitez à tous bon courage pour cette dure période que nous vivons avec ce virus ! Tout est tellement vite allé, c'est horrible...
Prenez bien soin de vous et de vos proches en respectant les règles ! Limitez vraiment toutes sorties, on doit absolument stopper cette propagation. Plus vite on fera les choses biens et plus vite on retrouvera une vie normale ! On est tous ensemble contre ce virus, on va tous le combattre ensemble ! J'espère fortement que très bientôt ce ne sera qu'un souvenir ! 🙏🏼

Voilà, la suite est là.

Bonne lecture les amours. ❤️

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~Et oui, moi aussi je hurle sur lui. Il a qu'à continuer à faire son énervé, il a qu'à continuer à faire ce qu'il veut mais je ne bougerais pas d'ici tant que je n'aurais pas d'explications venant de sa part !~

Il continue encore à tout briser, je le regarde je ne dis plus rien je le laisse simplement faire sa crise et je pars me promener dans l'appartement à la recherche d'une pelle et d'une balayette. Il ne fait pas attention à moi, j'arrive dans la cuisine et je vois que c'est aussi un désastre ici. Toutes les assiettes sont complètement fichues, il n'y est pas aller doucement bon sang ! Je remarque que je ne vois pas ce que je cherche. Je me dirige vers sa chambre, je regarde partout mais je ne vois rien non plus. Je vais cette fois dans la salle de bain, qui est vraiment juste parfaite putain ! Elle m'impressionne, elle est tellement grande et magnifique ! La salle de bain que toutes les filles rêveraient d'avoir ! Je balaie du regard le pièce mais il n'y a rien non plus. Bon sang, il est obligé d'avoir ça quelque part ! Je ressors de la pièce, je vois à ma droite une porte, je m'avance et je l'ouvre. C'est un petit cagibi, une pelle et une balayette se trouvent enfin devant moi. Je souris de toutes mes dents comme si j'avais trouvé un trésor. Je les prends et je retourne dans la cuisine. Je fouille dans les meubles et j'attrape un sachet poubelle. Je retourne premièrement dans le salon.

Je vois dans mon champ de vison Kairo, assit sur le sol. Les poings serrés, la tête droite et les yeux fermés. On dirait qu'il a fini sa crise de nerfs.

Ce n'est pas trop tôt !

C'était la meilleure idée que j'ai eu de le laisser se calmer tout seul comme un grand.

Je me mets accroupît et je commence à ramasser tout ces dégâts partout. Le bruit de verre lui fait ouvrir les yeux. Il a le regard sur moi, il soupire et se relève. Le sang de ses poings dégouline sur le sol, du ménage en plus, c'est super !

- Laisse ça, ce n'est pas à toi de le faire. Me dit-il.

Sa voix est pâteuse, il est plus calme mais je peux remarquer qu'il y a quand même encore une pointe de colère.

Il s'approche soudainement de moi.

- Il faut bien que quelqu'un ramasse tes dégâts.

Il pose ses mains sur mes poignets et sert doucement sans me faire mal pour autant mais me faisant lâcher tout ce que j'ai dans les mains. Il me tire vers le haut et me fait me relever rapidement. Je me retrouve face à lui, je soupire et il relève ma tête avec ses doigts pour que je le regarde dans les yeux.

- Tu vas finir par te blesser et je répète ce n'est pas à toi de le faire.

Je hoche la tête, il prend mes mains dans les siennes.

- Je suis désolée, je n'aurai pas dû régir comme ça avec toi.

Le fait qu'il s'excuse est assez surprenant. Avec sa grande fierté, je n'aurai pas pensé qu'il serait capable de le faire un jour mais ça m'épate venant de sa part et j'en suis heureuse qu'il l'ait fait. Ça me prouve qu'il a remarqué que son comportement envers moi n'était pas celui qu'il aurait dû avoir.

Chef de Rocinha : Plus grosse Favela de Rio de Janeiro. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant