🏹Chapitre 127 : Morte à ses yeux.🏹

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Hey !😊

Voilà la suite les amours !😝

Bonne lecture !❤️

.

~Non, je les apprécie bien trop pour que ça arrive...~

Ma journée est passé, tout c'est bien passé que ce soit avec mes amis ou les patients. Calvin et Rio ne sont pas restés longtemps car ils ont dû aller travailler mais j'ai pu passer un bon moment avec Peyton et Trina. Je me suis sentis bien vivante aujourd'hui en présence de mes amis et même travailler m'a fait énormément de bien. Je suis contente de ne pas être resté à la maison mais j'espère que ce soir Kairo rentrera tôt.

Je suis sur le chemin pour rentrer, il est 18h00 seulement. Je ne suis pas loin de la tour, et la je lève les yeux et j'aperçois mon oncle.

Mon oncle...

J'avale difficilement ma salive et je me précipite vers lui à grande vitesse.

- Tio !

Aucun mouvement, aucun geste, rien, il trace, oui il continue à tracer sa route.

- Tio !

Je hurle son prénom encore et encore, mais il ne me calcule pas une seule fois. J'arrive vers lui et il marche de plus en plus vite.

- Mais bordel réponds moi ! Lui criais-je dessus.

Ses mains sont dans ses poches, il continue à marcher sans même me regarder une seule fois et je m'arrête à bout de souffle. Je le regarde, il s'éloigne de plus en plus. Et c'est là que je me rends compte que je n'existe vraiment plus pour mon oncle...

Je suis comme il a dit bien morte à ses yeux, et je suis à présent qu'une inconnue pour lui...

Mon cœur se sert et je me tourne pour courir jusqu'à la tour...

Ce n'est qu'un putain de gamin !

Kairo

Je sors de la voiture, le grand jour est arrivé celui où je vais tout balancer à James. J'avais hâte que ça arrive, j'ai hâte de voir sa tête.

J'entre et comme toujours je désactive les pièges. Je m'approche de lui en souriant et je m'exclame haut et fort.

- Alors mon frère, on dirait que je n'ai pas été tué par les mains de notre père ! Que ressens-tu en me voyant ici, devant toi, encore vivant et en sachant que ton vieux est mort ?!

Je le regarde et je peux voir qu'il est dans un état pitoyable. Il est toujours attaché sur sa chaise mais il est pâle, on dirait qu'il ne va pas tarder à taper un coma à son tour. Je ne sais pas pourquoi, mais une grande joie m'envahit en le voyant ainsi.

La pilule ne doit pas vraiment passer, après tout il vient de perdre son pauvre petit papa qu'il aimait tant.

Quelle tristesse !

- Fiches moi la paix ! Espèce de petit enculé ! Tu as osé tué nôtre père ! Tu n'es qu'un monstre assoiffé de sang !

Je souris.

- Oh arrête, je ne suis pas un vampire non plus. Le provoquais-je joyeusement.

Sans que je m'y attendre son pied part dans mon tibia. Dieu sait à quel point cet os est sensible.

Chef de Rocinha : Plus grosse Favela de Rio de Janeiro. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant