°Lucy°
-"Natsu!" gueulais-je comme un titan en entrant en catastrophe dans sa chambre.
Une brise douce et fraiche nous caressa les visages alors que mon regard fixé l'adolescent en calbute et trempé en face de moi.
Ma main s'étendit à l'oblique et mon index pressa l'interrupteur sans qu'un son ne traverse nos bouches, engouffrant la pièce dans le noir.
J'activai de nouveau la lumière et vit qu'il n'avait pas bougé d'un pouce. Alors de mon même air absent, j'éteignis de nouveau l'éclairage et le rallumait après un intervalle de temps.
Comme il ne bougeait toujours pas, je refis la même chose plusieurs fois mais avec des dates de plus en plus courtes.
Doucement, je me courbai et retirai ma sandale que je lui lançai à la joue, le faisant tomber et remettant le temps en marche.
Je bégayai des choses incompréhensibles avant de sortir en courant, toute rouge et les mains sur le visage pour me cacher.
Je saisis mes valises et sortis le plus vite possible, priant que cette image sorte de ma tête.
°^°
On peut m'expliquer pourquoi pleut-il en quasi hivers s'il vous plait?
C'est vraiment n'importe quoi le dérèglement climatique.
Pire que mon cycle menstruel.Les goutes s'abattent sur les vitres tandis que monsieur Ariston nous fait une dissertation sur l'effet papillon ou je ne sais plus trop quoi.
Ce que je sais, c'est que chacun de ses mots semble être un somnifère pour éléphants.
Une fille s'écroule et tombe parterre. Le bureau n'était plus assez confortable, elle a voulu tester le carrelage.
Alors que le professeur s'apprêtait à nous achever avec un argument sorti des animes, la cloche retenti et il n'a même pas eu le temps de cligner des yeux que tout le monde se ruait vers la porte.
Certains laissaient leurs affaires tellement ils en avaient marre, d'autres préféraient les attraper malgré la guerre qu'ils effectueront avec les autres élèves pour sortir de cette salle et il y a moi, qui ai sauté par la fenêtre.
Plus court, plus efficace... Plus douloureux. Mais au moins j'aurai un bleu et non une griffure comme si je m'étais suis avec madame Superficielle, notre prof d'histoire.
Ses ongles sont si long que ses doigts sont à dix centimètres de son visage quand elle se gratte la joue.
C'est en boitant que je me dirige vers la cafétéria. On dirait que j'ai glissé sur une crotte. Vaut mieux que je me justifie ainsi, sinon ils vont me dévisager quand je vais leur annoncer la vrai raison.
Je saisis un plateau et le place dans la file, très vite rejointe par Levy et Mirajane qui commencent leurs commérages sur les garçons.
Si je pouvais j'aurai enfoncer ma tête dans le parquet comme les autruches pour ne pas avoir à les entendre alors que je cognai ma tête contre le mur violemment espérant que celle-ci le traverse.
Ça n'a pas été une très bonne idée vu que le choc fut si puissant que je vis flou pendant trois secondes.
J'aurai une bosse et un bleu. Un bleu sur une bosse... Je vais finir handicapée.
Quand ma vue devint de nouveau normale je vis Mirajane et Levy me regarder hébétée, les sourcils froncés et la bouche entrouverte.
Le genre d'expressions faciales qui signifie qu'elles se demandent si mon cerveau n'avait pas explosé et qu'un haricot n'avait pas pris sa place.

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Catastrophe 2.0.
FanfictionÀ vous de voir. Moi, je trouve qu'elle déchire et qu'elle est l'une des meilleures histoires que j'ai pu écrire. Flemme de décrire. Lucy est conne, Natsu aussi. C'est super! Kissi kissi❤💋 👒Alice☀