°Home Sweet Home°

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NDA: Qu'il est beau Natsu sur mon média.(づ ̄ ³ ̄)づ

°Lucy°

Des cafards dansants ayant étrangement mon visage se tiennent sur le deux pattes arrières et me sourient alors que je plisse des yeux au maximum, intriguée.

Un énième insecte mais cette fois ci une fourmi à la tête de Natsu sortie de sous mon lit, portant des lunettes de soleil, un casquette rouge et une chaine en or avant de se mettre à rapper.

Là, j'eus l'impression d'halluciner quand les cafards-Lucy se mirent à danser autour de Natsu-fourmi comme dans un clip américain.

Mais je ne semblais pas si affectée que ça vu que je me mis à danser avec eux en secouant la tête au rythme du son.

°^°

Une grosse quinte toux sortie du tréfonds de mon gorge et me retira brusquement des bras de Morphée alors que j'ouvris péniblement les yeux.

Mon nez qui coule et picote me prévint que je ne me suis pas assez couverte la nuit dernière et que je devrais m'inquiéter.

Avec difficultés et les membres engourdis, je le dirigeai vers la salle de bain en reniflant maintes et maintes fois avant de me figer devant la glace.

Un hoquet d'effroi se bloqua dans ma gorge en voyant mon visage à en réveiller un mort, voire si je ne le suis pas, le mort.

Mes yeux sont gonflés comme si j'ai passé la nuit à pleurer devant des Novelas, mes oreilles et mon nez sont rouges comme dans les dessins animés et j'ai la gorge qui me picote.

C'est définitif. Pas besoin d'aller chez un expert pour remarquer que j'ai choper la grippe.

...

-"OUUAAAAAIS!" hurlai-je dans la maison en glissant sur le sol comme le ferai un footballeur. "Je ne vais pas au lycée! Je ne vais pas au lycée!..." chantonnai-je en imporvisant une danse avant de courir dans les escalier et de dégringoler.

Mon visage se frotta contre le parquet alors que je jurai d'avoir une autre catastrophe sur mon visage dans pas longtemps.

-"J'ai mal... Mais au moins je ne vais pas au lycée!"

°~°

J'ai passé toute la journée à glander sur le canapé en mangeant des cochonneries, des sucreries et en suivant la télévision, fraîchement couverte de mon plaid bien chaud.

Quand mes connaissances me contactaient pour me demander pourquoi je suis absente, je répondais la même chose sur un ton lamentable et piteux.

«Je suis malade et ma fièvre est trop forte pour que je vienne, c'est dommage. Ce sera pour une autre fois

Je mens si bien.

Je regarde l'heure sur le téléviseur et constate qu'il est dix-sept heure, soit une heure après la fin des cours.

Quand je pense que j'ai raté ça, je ne regrette rien! J'ai manqué trois heures de monsieur Ariston, à croire qu'on a cours avec lui tous les jours.
C'est juste que c'est un professeur tellement fatiguant qu'il en devient populaire tant on parle de lui dans cette fiction.

Je devrais peut-être le mettre en sourdine ? Ça fera du bien à tout le monde je crois. Je devais parler de monsieur Biceps, le prof de sport au gros bide ou de madame DuBœuf, la prof de cuisine.

Pourquoi on fait cuisine? Parce que le directeur a tout compris à la vie.

La sonnette retentit et je fronce les sourcils me demandant qui peut bien être l'énergumène qui vient me rendre visite dans ma maladie.

Catastrophe 2.0.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant