L'accident

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Quand on nous parle de ceux qui existait il y a près de 100 ans, peu d'entre nous était capable de répondre. Tout avait était brûler, les livres d'histoires, les écrits les films ou tous ceux qui aurait pu nous rappeler les civilisations antérieures. J'étais bien trop jeune pour me rappeler de ceux qu'il c'était passer et ils forçaient les personnes ayant ne serait-ce qu'un détail à se taire. Ils savaient tous et rentrés dans nos esprits comme dans du beurre. Peu importe, je suis Violet Garden, j'ai 19 ans et je suis banale au maximum si vous voulez savoir, j'aime ceux que tous le monde aime et fait ce que tous le monde fait. C'est ça qui me définit je crois.

- « Mill's, bouge on va être en retard. » elle prend toujours un maximum de temps avant d'aller à l'école.

- « Ouais, ça va je suis là. Je ne me sens pas bien je crois que je ne devrais pas y aller. »

Je la regardais, j'étais en retard et elle n'était même pas habillée, je levais les mains en l'air désespérer.

- « Très bien, demain t'as pas intérêt à me faire le même coup sinon tu dis adieu à ton gâteau d'anniversaire. » elle me fit son plus beau sourire puis couru se recoucher tandis que je me dirigeai vers ma voiture.

Je préparais tous ce qu'il fallait pour passer un meilleur voyage et une meilleure matinée, je montai le son de la musique le plus fort que mes oreilles le supportaient. Tandis que je tapotais sur mon volant en passant devant l'énième énorme maison caché dans la forêt qui mener au restaurant de monsieur Lambicks, je sentis ma voiture déviait de la route sur laquelle je roulais bien trop vite, j'essaya de freiner sans que cela ne semble avoir de conséquence, je ne contrôlais plus rien et en une fraction de seconde je sentis mon corps projeter et la voiture s'arrêter. J'ouvris les yeux après je ne sais combien de temps, cela me semblait quelques secondes mais quand je regardai sur mon téléphone maintenant brisé il semblait que cela faisait une heure que j'aurais dû être au travail.

Au moins j'avais une bonne excuse, je sortis de la voiture, ma tête sonnait et je n'entendais qu'un crépitement dans mes oreilles, je ne savais pas si c'étaient les oiseaux ou simplement ma tête.

Je regardais autour de moi pour ne rien voire appart des arbres et du vide. Ma voiture était fichue et vu son état il était certain que j'avais eu beaucoup de chance. Je me décidai à marcher pour trouver de l'aide, je savais que je ne trouverais pas de gentil humain ici mais simplement des vampires qui pourrait me tuer. Au point ou j'en étais je compter soit sur ma chance soit j'étais suicidaire. Je continuai tout de même ma marche, si je rester auprès de ma voiture je n'aurais rien pus faire de plus.

Cela faisait maintenant 20 minutes que je marchais sur le bord de la route et aucune voiture n'était passée. J'étais fatiguée et ma jambe me faisait mal, je n'avais même pas remarqué que j'étais blesser. Ça faisait un bon moment que j'avais perdu ma voiture de vue et j'essayais de marché le plus vite possible pour espérer voir la ville avant un vampire. Mais la chance n'était pas de mon coter.

- « Salut, vous avez besoin d'aide mademoiselle ? »

Je soufflai rapidement et avec de la douleur quelque chose comme

- « Non c'est bon merci. » ma jambe me faisait désormais souffrir tout comme mes poumons et ma tête, il fallait que je me pose ou j'allais m'évanouir mais je devais d'abord me débarrasser de ce mec qui peut être était humain. Enfaîte je n'en savais rien je n'avais pas osé regarder son visage.

- « Vous avez l'air mal en point que vous est-il arrivé je n'habite pas loin je peux vous aider. »

Je m'efforçai à lever mon visage afin de voir ces yeux, ils étaient rouges c'était évident. Il allait me tuer, ça aussi c'était évident. Les vampires n'avaient des yeux rouges uniquement lorsqu'ils avaient très envie de mordre quelqu'un ou lorsqu'ils allaient le faire sinon leurs yeux étaient normaux. Certains arrivait à contrôler cette couleur puisque cela leur était traitre, chaque émotion avait sa propre couleur mais il était vu un vampire avec des yeux différent que ces yeux normaux ou rouge. Je crois qu'une fois j'en avais vu un avec des yeux orange mais je ne savais pas la signification il avait l'air en colère peut être.

Je ne répondis pas à sa demande et laissé mes yeux plongés dans les siens. Je vis alors apparaître aux coins de ces lèvres un sourire et sans qu'il ne dise mot je le vis se jeter sur moi sans que je n'aie le temps de bouger. C'était fini, Millie allait devoir rester seule et moi j'allais mourir comme ça. C'est triste mais je crois que je me suis toujours dit que c'est comme ça que je finirais.

Je fermai les yeux le plus fort que je le pouvais et attendais ma sentence. Au bout de quelques secondes je ne sentie rien alors doucement je rouvris les yeux me demandant quel genre de connard me faisait une blague. Mais l'homme aux canines n'était plus la et petit à petit je repris mes esprits et entendu du bruit. Je tournai la tête et vis 4 hommes sur le corps inerte de celui qui avait tenté de me tuer. Mes yeux s'écarquillèrent et au moment ou un souffle apeuré sorti de ma bouche je vis un de ces quatre hommes me regardait. Immédiatement mes jambes se mirent à courir le plus vite possible, j'était essoufflée et je souffrais mais mon corps ne voulait pas s'arrêter même si toute ma cage thoracique me brûler et que mon cœur voulait sortir de ma poitrine.

Assez rapidement je sentis mon corps quitter la terre et être soulevé dans les airs sans que je ne puisse rien faire. Je sentis par la suite mon corps propulsé au sol et mon dos claqua si fort que ma respiration se coupa si bien que je n'arrivais plus à respirer. Je fermais les yeux aussi forts que possible sous la douleur qui ne voulait pas partir et tenter de reprendre une respiration normale mais mes poumons étaient en feux. Je n'entendais plus rien et ma tête tournais.

Après quelques minutes je réussi à reprendre mes esprits et mon corps se calma, mes gémissements petits à petits disparaissaient et lorsque j'ouvris enfin les yeux après ce qui me semblait être une éternité je vis 4 paires d'yeux me regardaient sans émotion et sans couleur particulière. Je repris mes esprits et réussi à m'asseoir sur le goudron dur tandis qu'ils se décalèrent comme si j'étais un dangereux lion qu'on venait de sortir de cage.

Je repris mes esprits secouant ma tête de droite à gauche et leva la tête vers les quatre hommes face à moi qui ne cessait de me regarder.

- « Y'a un problème ? » j'haussai les sourcils et je vis qu'un des trois bruns souris à mon agression. Alors je le regardai sans plus rien dire. Aucun d'eux ne semblait vouloir me répondre ou peut être ne savaient-ils pas quoi dire. Je me levai et commença alors à reprendre ma route tandis qu'ils ne bougeaient pas surement bouche-bée par tant de charisme.

Je n'eu pas le temps de faire un pas de plus que le brun avec son sourire bizarre m'attrapa le bras.

- « Attend, tu compte aller ou comme ça ? »

- « Chez moi peut être ? » il rigola tout comme ces compères, je crois qu'ils avaient d'autres plans à mon sujet. Un des bruns avec des grands yeux bleus me regarda en s'approchant doucement surement dangereusement d'ailleurs vu son allure, il était super flippant bien plus que celui qui me tenait le bras, je crois d'ailleurs que s'il m'avait touché j'aurais voulu m'enterrer vivante pour que ces orbes perçants ne brûlent pas mon corps.

- « On vient de te sauver tu pourrais au moins avoir la décence de venir avec nous boire un verre. »

Je sentis toute mon courage et mon âme sortir de mon corps, il me faisait carrément peur et je n'arrivais même pas à lui parler. Après quelques secondes mon courage ou ce qu'il en reste semblé revenir.

- « Je... Je... hum ouais ça aurait été avec plaisir, mais hum je crois que je dois allez travailler. Désolé monsieur. » je me gratter la tête durant la moitié de mon discours, c'est ce que je faisais toujours lorsque j'étais stressé où gêner, tout en mastiquant mes lèvres lorsque je devais réfléchir ou reprendre mon souffle lors de ma phrase.

- « C'est dommage. » je n'eus pas le temps de réaliser ceux qu'il me disait que des bras encerclèrent ma taille et je ne pus même pas voir a qui ils appartenaient que mon corps se retrouva propulser sur une épaule. Tout avait si rapide que je ne m'étais même pas défendu. Parmi les milliards de questions et d'idée qui traversait mon esprit une sembla ce détachait me demandant ce qu'il allait maintenant m'arrivais et dans quel bourbier je m'étais fourré.

Violet BloodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant