- hein? Mais quelle explications?
Maeva: bah comment vous vous êtes regardés.
- On s'est pas regardé wesh, vous délirez la.
Tamara: tfacons c'était trop intense, ptetre que t'a oublié.
Maeva: jsuis sure que t'as eu des papillons dans le ventre.
Émilie: vous nous cachez des trucs la c'est sure.
Raffaela: jsuis sure que vous avez déjà fait des bails. C'est pour ça que vous vous êtes regardés.
- nan mais vous vous entendez les filles sérieux?
Tamara: c'est bon pourquoi tu te vexe. Faut te décoincer un peu sinon tu...
- Je vais jamais trouver de gars? J'en ai rien à foutre Tamara. C'est pas parce que vous vous baiser à gauche à droite que moi je dois le faire.
Tamara: mais...
- tsais quoi je vais rentrer. Bye.
Franchement j'ai ai ma claque d'elles. Je commence vraiment à saturer. J'ai rien contre le fait qu'elles couchent à gauche à droite mais le fait qu'elles m'inspirent à le faire me met vraiment hors de moi.
Le lendemain.
C'est samedi matin, 7h30 je suis de mauvaise humeur aujourd'hui mais bon, il fait plutôt beau pour un début d'automne donc je vais laisser tout ça de coter et profiter du bon vent matinal. Je me lève et je vais dans mon balcon. Quand je sent une odeur de joint.
- Qui fume dès le matin sérieux. Puré.
x: c'est moi !
- j'aurai du m'en douter.
Gabriel: t'es bien matinale toi dit donc. Même le samedi tu te lève tôt.
- et toi alors? T'es debout aussi nan?
Gabriel: j'avais besoin de fumer.
- bien sur. Sauf que là tu vois, ton odeur va rentrer dans ma chambre donc s'il te plaît.
Gabriel: Rien a foutre.
- t'es vraiment chiant hein. Tu sais que tu te bousille les poumons avec ce truc? T'es jeune et tu te nique déjà la santé c'est fou. En plus c'est haram.
Gabriel: t'es musulmane toi?
- ouais.
Gabriel: vraiment?
- Bah oui.
Gabriel: ah... pardon excuse moi je savais pas.
Il écrasa son joint sur le rebord de son balcon et le jeta.
- oh, très gentil merci. Mais pourquoi juste quand je te dis ça tu la jette?
Gabriel: parce que la religion c'est important.
- donc... tu respecte une religion qui n'est pas la tienne mais tu ne respecte pas ta propre santé?
VOUS LISEZ
Let me come to you. I
Genç Kurgu« J'espérais au fond de moi qu'il me dise ce que je voulais entendre, pourtant aucun son ne sortait de ma bouche. Cette pression qu'il y avait depuis quelques secondes devenait de plus en plus insoutenable. » L'histoire vient de commencer...
