Pdv Di
Un an plus tard
Ça fait un an jour pour jour que j'attends le jour où j'irai exterminer moi même cet homme qui se dit roi et qui a osé me berner. Dire qu'il a osé me prendre ma virginité sans compter qu'il m'a marqué. Il a joué avec les sentiments de mon ancêtre et cela avant de la convaincre de trahir son propre peuple.
Mais au fond mon coeur est en miettes et j'ignore pourquoi. Plus les jours passent plus j'ai envie d'être aux côtés d'une personne dont j'ignore l'identité. J'ai besoin de cette personne mais elle semble si lointaine sans oublier qu'elle se trouve probablement dans le camp adverse ... Argh, sûrement une autre ruse du roi des vampires. Ses manières sont vraiment déplorables.
Sans m'en rendre réellement compte, je vois Jahan rentrer sans toquer dans mes appartements. Cela me semble bien étrange vu que même Mara sait qu'il est interdit d'entrer dans ma chambre sans permission, et pourtant, elle est bien plus puissante que cette blondasse. Cette dernière ne prends pas en compte mes yeux qui la foudroient et pars s'installer non challement sur mon lit. Si elle veut me faire chier, eh bien, elle finira avec la tête sous le bras.
Après un long moment où elle n'a fait que critiquer mes goûts ainsi que tous les mouvements que j'ai effectué en sa présence, elle se décide à parler sérieusement, me lançant un regard qui pourrait tuer
Jahan : Jess, ça te dit quelque chose ?
Moi : Crois tu que j'ai mémorisé toutes les personnes que j'ai croisé dans ma vie entière ?
Elle se lève, vivement agacée par ma remarque et s'avance vers ma personne.
Jahan : Je te rafraîchi la mémoire. Grande, brune avec le tatouage des dévoreurs dans le dos.
Je la regarde déjà fatiguée de son comportement.
Moi : Je réitère ma question. Crois tu vraiment que j'ai retenu tous les dévoreurs par coeur ?
Elle se met dans une colère noire et me projette sur le mur, qui évidemment se fissure sous l'impact. Ça me fait vraiment pas mal sans compter que je suis entrain de me forcer pour ne pas la tuer.
Jahan : Ma soeur a été déchiquetée par les loups de ton soi disant meilleur ami il y a de cela presque deux ans.
Moi : De un arrête de me hurler à la gueule et de deux, tu vas me faire un plaisir de baisser ton sort..
Jahan : Ou sinon quoi ?
Moi : J'invoquerai la faucheuse elle même pour qu'elle vienne te dépouiller de ton âme.
Jahan : Je pense que tu as la mémoire courte. Je n'ai plus d'âme depuis longtemps.
Je rigole nerveusement avant de la plaquer violemment sur le mur, les yeux luisant d'une rage que je ne m'étais moi même jamais soupçonnée d'avoir, mais ces vrais qu'en ces temps ci, tout peut arriver et surtout qu'un pétage de plomb de ma part est assez fréquent. Je m'approche le plus lentement possible d'elle, bloquant un minimum sa respiration, avant de poser ma main sur le mur et de la regarder droit dans les yeux pour que mes menaces aient plus de sens dans son esprit.
Moi : Écoute moi bien ! Si tu veux continuer à vivre, tu devrais sérieusement ne plus jamais me parler de la sorte. Est ce clair ?
Elle se contente de me fixer sans rien dire. Ses yeux lancent des éclairs et visiblement, ce n'est pas prêt de s'arrêter.
Quelqu'un toque malheureusement à la porte au moment même où je m'apprêtais à mettre un terme aux jours de la blondasse en face de moi. Cette personne même parle pour me justifier sa venue.
?? : Reine Milano, tous les généraux vous attendent dans la salle du trône. C'est urgent.
Rargh, dire que cette salope va s'en sortir saine et sauve ! Je lance un d'accord à la servante et redirige toute mon attention vers Jahan.
Moi : Tu as de la chance. La prochaine fois, tu ne t'en sortiras pas à si bon compte, mais, je vais quand même te laisser avoir un avant goût de ce que je te réserve...
Ni une ni deux, je lui lance un sort qui lui grille les neurones, avant de me diriger vers mon dressing pour troquer mon short et mon débardeur contre une robe et des talons hauts.
Une fois arrivée dans la salle du trône, je m'assoie directement sur le trône et regarde toutes les personnes dans la salle. Bizarrement, les voir tous la tête baissée et le genou à terre me donne un sentiment de bien-être. Tous se relèvent après un raclement de gorge de ma part. Et c'est parti pour une longue et ennuyante réunion.
Ça fait longtemps que je n'écoute plus ce qui se dit dans la salle. Tous sans exception parlent de trucs légers comme par exemple des sujets d'éducation des jeunes sorciers mais aussi de trucs assez important comme des sujets d'entraînement, d'armements, du combat qui se livre à ce moment.
?? : Grande prêtresse Mara, le roi des vampires est non loin des portes de la citadelle.
Entendre parler de lui fait annormalement battre mon coeur,me procurant une joie incommensurable qu'il soit près de moi, tandis que ma conscience me rappelle que ce n'est qu'un monstre.
Mara : Comment est ce possible ?
?? : Nous avons réussi à faire reculer la majeure partie de leur armée mais on dirait qu'il soit parvenu à passer à travers les mailles du filet, embarquant avec lui quelques soldats.
Mara explose de colère et se dirige vers lui. Il la voit venir et s'apprête à reçevoir un sort en pleine face. C'est sans compter sur mon intervention. Je donne quartier libre à tous ceux qui étaient présents dans la salle sauf à Mara, après que j'ai "sauvé" la vie de cet homme.
Mara : Mais c'était quoi ça ?
Je ne lui réponds pas tout de suite et marche en direction de la sortie. Une fois que les portes me sont ouvertes, je lui balance avant de sortir.
Moi : Nous sommes en guerre Grande prêtresse, nous ne pouvons nous risquer de perdre des hommes pour un oui ou pour un non.
Saluuuut à tous. Ça va ? Bon, je vais aller à l'essentiel. Tout d'abord, je voulais m'excuser par ce que je pense que je ne pourrais plus poster aussi régulièrement. Sans compter que j'ai un milliard de choses à faire ainsi qu'un autre livre à écrire. Bref, j'espère que ce chapitre vous aura plu et à la prochaine 😘
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Le prince du tableau
VampirosElle , une jeune artiste totalement banale aux premiers abords. Elle est poussée à participer à un stage si on peut dire. Jusque là ça a l'air totalement normal jusqu'à ce que le pseudo maitre des lieux lui confie un tableau. Un simple tableau qui r...