Le prince du tableau

8.un reveil compliqué ✔️

Pdv Di

Je me réveille et ma tête me fait un mal de chien, comme par hasard. J'essaie de me remémorer les évènements qui se sont passés dernièrement mais manque de bol, je ne me rappelle plus de rien. Je commence alors à me masser les tempes pour essayer d'apaiser mon mal de crâne mais malheureusement cela ne produit pas l'effer escompté. Je décide alors de me rendormir, ce qui ne s'avère pas très difficile vu que les bras de Morphée m'acceuillent à l'instant même .

*****

Je me réveille pour la seconde fois de la journée, enfin j'espère que l'on soit le même jour puisque maintenant il fait nuit, et Dieu soit loué, je n'ai plus cet atroce mal de crâne. Je commence alors à examiner cette chambre gigantesque. Elle est assez basique avec le strict minimum si on ne compte pas bien sûr la bibliothèque géante collé au mur à ma droite et la vingtaine de tableaux fixés au mur en face de moi et qui encadrent une porte. Je ne sais pas si c'est une coïncidence ou non, mais tous les tableaux qui sont ici sont ceux que j'ai rénové. Sur le mur à ma gauche, deux grandes fenêtres font entrer la lumière de la lune, ce qui donne un air moins glauque à l'endroit.

Je me lève après ma petite contemplation des lieux et décide de sortir de cette chambre. Au moment où je me lève, je remarque qu'il y a deux portes de chaque côté de mon lit .

Au moment où j'allais poser ma main sur la poignée de la porte qui est a droite du lit la porte d'en face s'ouvre sur nul autre que l'ultime. Il arrive à ma hauteur à vitesse éclair puis il m'enlace tellement fort qur je n'arrive plus à respirer.

Moi : Ma...ma...majesté , je...je...peux ...pas ..respirer !

À la fin de ma phrase, il déssèrre sa prise et prends me visage en coupe tout en plongeant son regard plein d'inquiétude dans le mien .

Ultime : Excusez moi Adriana. N'ayez pas peur de me le dire si je vous fais trop mal ou que je fais quelque chose qui pourrait vous offenser.

Moi : Non ne vous inquiétez pas ça va.

Ultime : Dieu merci !

Il continue à me fixer avec toujours cet éclat d'inquiétude dans le regard mais on dirait aussi qu'il veut poser des questions mais qu'il se retient. J'éprouve aussi des réticences à lui poser des questions mais je ne sais pas c'est comme si un fil doré se tissait entre nous et que ce même fil nous rapprochait sans que nous n'en soyons réellement conscient. Il me fait m'asseoir sur le lit mais je me tourne en m'asseillant en tailleur question de le voir .

Ultime : Pose les !

Moi : Pardon ?

Ultime : Tu as des questions à poser alors n'hésite pas les poser.

Co... comment il sait que n'ai des questions à poser ? Mais comme il me dit de me lancer alors go !

Moi : Depuis quand est ce que je dors ?

Ultime : deux semaines pas plus .

Moi : Quoi ?

Ultime : Flo a dit que tu allais te réveiller dans quelques heures mais quand j'ai vu le lendemain que tu ne t'étais pas encore réveillée j'ai vu rouge mais Alexander m'a dit que tu n'avais pas assez dormi ces derniers temps te concentrant totalement sur le tableau.

Moi : D'accord.

Note à moi même, tuer Xand à la première occasion.

Moi : À qui appartient cette chambre ?

Ultime: Cette chambre est la mienne Adriana. Je n'ai pas voulu vous laisser dans la vôtre avec une poignée de gardes que Mara et ses sbires auraient facilement mis à néant .

Moi : Hum. Bon, quand vais-je rentrer chez moi ?

Son visage s'assombrit à la seconde où j'ai terminé ma phrase.

Ultime : Adriana, je pense qu'il est préférable de ne pas partir d'ici.

Moi : Mais...

Ultime : Il n'y a pas de mais Adriana, Mara ..

Moi : Mara ? Mais qui est cette Mara pour que vous vous servez d'elle comme d'une excuse pour m'empêcher de partir d'ici ?

Ultime : Écoutez moi s'il vous plaît Adriana. Vous êtes mon âme-soeur. Si quelqu'un veut me faire du mal, il devra passer par vous. Cela est aussi valable dans l'autre sens . Mara est l'une des nombreuses sorcières qui veulent ma mort et maintenant qu'elle connait ton existence, elle fera tout pour te mettre la main dessus en prétendant que tu n'est autre que leur reine.

Moi : Quoi ?

Ultime : Vous voyez, ce ne peut pas être vous vu que vous même vous avez dit à Alexander que vous considériez les dévoreurs comme d'affreux monstres sans coeur. Comment peut-elle croire un traître instant que tu sois liée d'une quelconque façon à ces traîtres de Milano ?

Face à ça je ne prends pas la peine de répondre . Serait-il à cet instant entrain de douter ? Même moi je ne suis pas absolument sûre de mes origines sachant que mes racines du côté de ma chère et tendre mère sont assez floues.

Ultime : Adriana, je vous demande de ne pas partir d'ici , la distance nous tuerait tous les deux ...

Moi : Écoutez moi, je ne peux pas rester ici, j'ai besoin de repartir chez moi même si vous ne semblez pas du même avis que moi.

Ultime : Le dôme est maintenant chez vous.

Moi : Je ne devais rester ici que pour restaurer le tableau afin de vous faire sortir. Mais maintenant, j'aimerais reprendre ma vie d'avant et ne plus me préoccuper de cela.

Ultime: Je vous pries de me comprendre Adriana, je ne peux vous laisser partir d'ici. Vous devez rester d'une part à cause de Mara et d'autre part parceque vous êtes mon âme-soeur, ma moitié.

Moi : Comment pouvez vous savoir que je suis réellement votre âme-soeur ?

Ultime : Dès l'instant que je vous ai aperçu, je ne pouvais plus décrocher mon regard du votre en plus je ressens une trop grande attirance envers votre personne et ajoutez à cela que je ne peux être éloigné de vous pendant trop longtemps au risque d'y laisser la vie, je pense que vous même ma chère vous avez ressenti comme une attirance envers ma personne .

Une attirance envers lui ? Bien-sûr que j'en ai ressenti une et très forte même. Cet homme est le symbole même de la beauté et de la grâce en mon point de vue mais maintenant que j'y pense en l'entendant parler j'ai même cru qu'il me proclamait comme sa future femme .

Ultime : merci beaucoup pour le compliment et je vous veux bien sûr comme ma femme Adriana.

Moi : Ne me dites pas que je pensais à haute voix .

Ultime : Non, je peux lire dans vos pensées.

Moi : Quoi ? Mais c'est une violation de ma vie privée ça ! D'abord vous m'empêcher de rentrer chez moi, ensuite vous me proclamez comme votre future femme et dernièrement, vous faites un tour dans mes pensées, je pense que les motifs sont suffisants pour que je doive m'éloigner de vous.

Hello , ça fait un bon moment que je n'ai pas publier mais la raison est que j'ai été assez occupé et je n'ai pas pu écrire mais je vais essayer de vous mettre plusieurs chapitres pour me faire pardonner . Et joyeux Noël à tous même si c'était hier.