Doutes Et Inhibitions

Dans ton regard

J'ai vu dans tes yeux ce qu'il y a de plus beau en moi, j'ai vu dans ton regard le meilleur de moi même. J'évolue chaque jour, pour toi et avec toi et je ne veux pas que ça s'arrête là. Épouse moi Sakura.

Ce sentiment de bien-être, elle le connaissait tellement bien, le sourire aux lèvres, les yeux qui brillent, le cœur qui bat d'appréhension. C'était tellement beau de savoir que ces sentiments sont partagés, c'etait tellement beau de pouvoir l'appeler son mari. Couchée dans leur lit conjugal, Sakura attendait patiemment le retour de son époux.

Elle entendit la porte d'entrée s'ouvrir et réajusta sa nuisette, si on pouvait appelé ça comme ça. Elle l'entendit gravir les marches, son cœur battait de plus en plus vite, elle avait des papillons dans le ventre. Ce n'était pourtant pas une première mais à chaque fois qu'elle lui fesait ce genre de surprise c'etait comme ça.

Plus que trois marches.

Deux.

Une.

La porte s'ouvrit, la lumière était éteinte alors il ne la voyait pas vraiment. Elle savait exactement ce qu'il allait faire, déposer son classeur, enlevé sa veste et sa chemise, ses chaussures et venir déposer un baisé sur son front. Justement il se dirigeait vers elle toujours dans le noir, il vint se placer au pieds du lit et tapa deux fois dans ses mains pour que la lumière s'allume.

- Hey, salut, dit-elle simplement.

Il la regarda quelques secondes avec incompréhension puis sourit en se grattant le menton. Elle savait qu'il adorait quand elle le surprenait comme ça. C'était leur truc à eux, se retrouver juste tout les deux sans aucune retenue, sans rien d'autre eux... Eux et la luxure...

Elle se mit à quatre pattes et avança doucement vers lui en exagérant ses mouvements de hanches, sa nuisette fluide dévoila déjà des dessous rouge sang, la couleur préférée de Sasuke. Dès qu'elle fut devant lui elle se redressa sur ses genoux et mit ses mains sur son torse. Il commençait à chauffer. Elle pouvait voir dans son regard tout l'effet qu'elle avait sur lui, ses pupilles étaient dilatées et ses yeux vairons lançaient des éclairs. Le noir et le gris s'intensifiaient et la fesaient frissonner de la tête aux pieds.

Que ça allait être bon, putain...

- Que me vaut cette surprise ? Ma femme aurait-elle quelque chose à fêter?

- Oh tant de choses si tu savais, elle entoura son cou de ses bras en levant le regard vers lui. Je n'ai pas droit à mon bisou?

- Et bien plus encore même, il se baissa  pour que leurs lèvres se touchent, se saluent, se veulent, s'embrasent. Il la fit se coucher sur le lit et se mit au dessus d'elle.

- Comment a été ta journée, demanda-t-elle pour le taquiné.

- On n'en a rien à foutre.

Et là, elle le senti contre elle, demandant, dur et complètement à sa merci. Il revint l'embrasser avec une telle fougue qu'elle en eu le tournis. Tout allait trop vite comme d'habitude, pantalon et nuisette avaient volés dans les airs sans qu'elle ne s'en rende compte pendant que sa bouche continuait de la ravagé.

Passionné.

Fougueux.

Oh ciel.

Elle aimait tellement cet homme que parfois ça l'effrayait, c'était si intense qu'elle ne savait pas si elle aurait pu en vouloir un autre.
Il baladait ses mains partout pendant que sa bouche les suivait de près, il était sur sa poitrine, sur son cou, son ventre ses hanches, son dos, ses fesses et là plus bas...