(Johnlock & Mystrade ❤️)
Histoire fictive, avec les personnages de la série Sherlock BBC.
Post saison 3 de la série.
COVER CRÉÉE PAR @Lun_atique
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John et Sherlock, amis très proches, vivent en coll...
/!\ Certaines scènes peuvent heurter la sensibilité de certains. Violences. /!\
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Unknown location, London
Sherlock's point of view
Mes yeux s'ouvrirent lentement et aussitôt, la douleur s'initia dans mon corps. Debout, collé à un mur froid, mes mains pendaient piteusement, enchaînées, les bras relevés de chaque coté de ma tête. Mes jambes, également étaient attachées ou plutôt clouées au mur. Étions-nous toujours au XXI ème siècle ?
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Ils n'y avaient pas été de mains mortes : je pus entrevoir, tête baissée difficilement, les nombreux hématomes parsemant ma peau nue. En vérité, je me trouvai torse nu, simplement vêtu d'un pantalon, pieds nus. Puis des entailles un peu partout, certaines peu profondes, d'autres encore fraîchement ensanglantées. Mon dos frottait la paroi dure et cela me faisait extrêmement souffrir. Que m'avaient-ils faits ?
Soudain, mes yeux se fermèrent pour apercevoir derrière mes paupières un souvenir. Celui de la période simulation de ma mort. Sous couverture afin de faire tomber les nombreux hommes associés à Moriarty, j'avais été capturé et battu, jusqu'à ce que mon frère également sous couverture parvienne à me retrouver et me faire sortir.
— Ah, la belle au bois dormant est réveillée ! Lanca une voix.
J'ouvris les yeux et posai directement mon regard dans celui de l'homme.
— Ça fait deux jours que tu dors. Ça devenait long, mais bon on a pu s'occuper. Reprit-il sans me quitter des yeux.
— Il s'est tiré lui-même la balle, je ne suis pas responsable. Je me suis jetée de l'immeuble, pour laisser vivre le docteur et mes amis. Dis-je insensiblement.
— Et justement, tu n'es pas mort puisque tu es la, mon cher Holmes.
Je ne dis rien, ne lâchant néanmoins pas son regard méprisant. Je savais que tenir tête à ce genre d'hommes c'était courir à une mort certaine. Au moins, John ne serait plus menacé. Depuis que je l'avais rencontré, il était constamment en danger, à partir du moment que j'arpentai la Terre.
John. Oh John. Je t'ai déjà fait souffrir à cause de Moriarty et cela recommence. Cette fois, il n'y aura pas de Mycroft ni de machinerie pour simuler ma mort.
Cette fois, ce sera pour de vrai. Enfin, ce n'est pas encore le cas. Mais quand je vois dans quel état je suis... Cette drogue me rend incapable de réfléchir. J'ai déjà grand peine à penser...
John, je t'en prie, pardonne moi. Mon ami, excuse moi.
— Eh bah alors, tu as perdu ta perspicacité et ton enthousiasme ? Pouffa celui qui m'avait laissé la.
