° Chapitre 10 °

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/!\ Scènes pouvant heurter la sensibilité de certains
Sexuelles /!\

LEMON

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221B Baker Street

John's point of view

Après l'avoir poussé en arrière sur le lit, je me mis à califourchon sur lui. Il continuait de me fixer avec incrédulité.

—  Te faire l'amour idiot ! Avouai-je d'un sourire béat, avant de me pencher sur lui et poser mes lèvres sur les siennes.

Il poussa un gémissement de surprise quand j'attrapai ses poignets et les plaquai de chaque côté de sa tête, non sans lâcher ses douces et chaudes lèvres. Sherlock répondit bien évidement à mon baiser, l'intensifiant même.

Je me souvins en avoir rêvé durant plusieurs nuits mais je m'étais borné à les ignorer, pensant que c'était une simple fantaisie de mon esprit. En fin de compte, il s'agissait de messages envoyés par ma conscience. Je passais tellement de temps avec mon colocataire que s'en m'en rendre compte j'en étais tombé amoureux. C'en était devenu une banalité de m'occuper de lui, de vivre avec lui, d'être son meilleur ami.

Et pourtant, j'étais en train de l'embrasser sur mon lit. Que le temps passait vite, je ne remercierai jamais qu'il m'ait ouvert les yeux. Je serais passé à côté de tant de choses. Sherlock était, est et restera ma raison de vivre.

<<  John  ! >>

Je sursautai, ouvrant les yeux et découvris mon détective au dessus de moi.

—  John, tout va bien ? Demanda-t-il, inquiet, moi, maintenu par ses mains aux côtés de ma tête.

—  Oui, ne t'en fais pas, Sherlock... Le rassurai-je avant d'être coupé par sa bouche s'écrasant sur la mienne.

 Le rassurai-je avant d'être coupé par sa bouche s'écrasant sur la mienne

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Je souris et montai une main dans son dos pour le caresser. Il ne se raidit pas à mon plus grand bonheur.

—  Sherlock...

—  Je n'ai plus mal quand je suis avec toi. Assura-t-il, son regard ancré dans le mien. Tu es le remède de mes blessures.

Ses pupilles étaient dilatées et ses lèvres rougies. J'étais ravi de le voir beaucoup mieux, j'avais tellement eu peur pour lui.

—  John, tu es constamment dans tes pensées. Remarqua le brun, embrassant tendrement mon cou.

—  Excuse moi de penser à toi ! Me defendis-je, les joues rougies par le désir.

Il arbora un doux sourire et remonta jusqu'à ma mâchoire. Je penchai la tête en arrière, l'invitant à embrasser ma chaire. Sans se faire prier, il se pressa contre moi et du bout de la langue, goûta à ma peau déjà brûlante. Aspirant fortement, je caressai d'une main son dos et son épaule de l'autre.

I need your help (Sherlock BBC) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant