Je me change avec les vêtements que le chien de Sofiane m'a passé, elle est trop belle je rigole pas, en plus ça moule les fesses j'ai envie de voir Mansour dedans. C'est pas une blague j'ai déjà vu les jumeaux et Brahim avec et j'ai maté hein... Je descends en courant parce qu'ils m'ont appelés.
Mansour : ça te va bien princesse.
Fahim:
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Sabri: hmm on va faire comme si on avait rien entendu.
Sofiane : allez on y va.
On arrive dans un entrepôt je crois, il était vide de monde ( enfin presque)mais rempli d'armes blanches et armes à feu, hehe j'ai envie d'en essayer une.
Sofiane :on a une personne à faire parlé, tu nous montrera comment tu t'y prends. J'attendrais le temps qu'il faut.
Moi: et il est où ?
Sofiane : ramène le.
Il le ramène c'est quoi ces sauvages il l'a porté sur son épaule et il l'a dépose par terre. Les garçons sont sortis de l'entrepôt me laissant seul avec lui.
Ryad:tu veux quoi ?
Il est bête ou quoi?
Moi: ouvre ta gorge, j'ai pas le temps.
Ryad:je dirais pas.
Moi: ah t'es sûr de toi? *se lève et tappe sur la table avec la main* deux semaines ils t'ont laissés assez de temps. Dans deux heures tu seras enterré mort ou vivant .Alors je te donne deux choix sois tu dis où est le matériel et tout se passe bien soit tu rejoins les morts bien avant l'heure. Et je rigole pas.
Ryad: tu me fais pas peur.
Moi:regarde moi dans les yeux lorsque tu le dis.
Ryad : J'AI DIS QUE TU ME FAIS PAS PEUR.
Je l'ai frappé, écoutez j'ai gardé mon calme pendant toute la discussion alors qu'il me reluquait sans retenu.
Moi:tu as 3 minutes pour me le dire.
Ryad : ils sont dans la villa C chez Hichem.
Moi: c'est pas suffisant.
Ryad: mais c'est tout ce que je sais.
Moi: te fous pas de ma gueule. Ça m'énerve.
Ryad: ils sont dans le moteur d'une voiture je sais pas laquelle je vous jure.
Moi : bien joué, merci.
Je crois que toutes ces émotions, m'ont un peu retourné je me sentais pas bien en plus Sofiane il parle trop j'ai envie de lui couper la bouche. Tout le trajet il me parlait de ces affaires, de sa vie etc il est putain de bavard. Il aurait dû faire journaliste.
Le lendemain matin.
Je m'étais réveillé avec un Mansour qui dormait comme une masse à côté de moi. Je me suis douché puis vint l'étape de mettre la crème sur mes blessures et hématomes. Mon corps prend un temps un temps énorme à cicatriser et c'est hyper handicapant, j'entends Mansour parlé au téléphone un peu fort, il se met à crié trop fort ça m'interpelle donc je mets un haut en vite fais pour aller voir, à peine j'ouvre la porte que Mansour m'attrape par la gorge.
Moi: Mon-monsieur...
Il était bizarre, son regard était bizarre ça manière d'être était bizarre tout était bizarre, il semblait avoir changé en quelques instants. Il finit par me lâcher au bout de quelques secondes, je reprends ma respiration et le laisse seul dans la salle de bain, je descends dans le salon pour saluer tout le monde.
Brahim: Ikram c'est quoi cette marque sur ton cou?
