Je me réveille, Ikram dors contre moi avec son doudou entre nous, si elle devait choisir entre moi et son doudou elle choisirais son doudou, en connaissance de cause. Je vais me doucher doucement tranquillement sans me prendre la tête et m'appeler d'un col roulé blanc et un pantalon pincé marron Je vais dans mon bureau je demande à mon assistant de me faire un débriefing de ma journée et vais voir si tout le personnel est prêt a commencer une nouvelle journée. Je n'ai jamais été très exigent avec mon personnel sauf au début de ma «carrière » et lorsque de nouvelles missions commencent. Je me mets à travailler et prends mes affaires pour m'en aller vers une salle de réunion.
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Pendant toute cette réunion je me sens nauséeux, j'espère de tout mon cœur que ce n'est pas l'une de mes crises qui se rapproche parce que je n'ai plus fais de crise depuis un moment. Après cette réunion je m'en vais vers le salon principal. Je sais pas trop comment vous expliquer la structure de la maison, c'est un peu comme une maison familiale au premier abord puis tout un bordel professionnel, c'est mon père qui a fait l'agencement enfin non ça date mais avant que mon père ne se fasse assassiner et bien c'était pas du tout comme ça.
De retour dans la peau d'Ikram.
Je vais dans la salle de bain pour mettre du savon et tout parce que Mansour venait de m'annoncer que j'irais à une nouvelle « Réunion » mais j'entends la porte de ma chambre s'ouvrir je savais que c'était Mansour je sais pas pourquoi mais je le savais et puis qui va rentrer dans la salle de bain alors que je suis à moitié à poil. . Il entre dans la salle de bain et la je sens une pression violente, il m'a attrapé d'un coup il m'a posé sur le lavabo, il me tiens par les côtés mais fort.
Moi:..Mansour...c'est quoi ton soucis?? Mansour, lâche moi tu me fais mal.
Meme si je lui est dis ça il a continué à serrer ses maisons autour de moi, et il a remonté ses mains sur mon cou avant de réellement m'étrangler là
Mansour : Ikram.
Moi:ma-mansour, s'il te plaît.
Mes jambes elles se mettent à trembler, je n'arrive plus à parler ni même à bouger. J'étouffe tout est de trop je n'en peux plus.
Mansour me regarde puis me lâche, il me fait un bisou sur la joue et il se barre, je comprends plus rien, je bois de l'eau et pars vers le salon pour dire bonjour.
Moi:coucou mes bwelles.
Hakim:ferme ta gueule.
Moi:
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Moi: c'est quoi ton soucis??
Hafid: on prépare un truc vite fait.
Hakim: oui bah attends.
Je me rapproche du centre du salon, merde ils ont découvert les médicaments que je prenais, je fais quoi?? Est ce que je pars sans rien dire ou est ce que je leur explique tout. De toute façon je pleure pas. Mais J'ai peur je vais me faire tuer, surtout que Kheli il m'a caché depuis, je pense il a mentit en vrai, donc je vais rien dire du tout et garde le silence histoire de garder ma vie en sécurité.