Épilogue

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*LES MÉDIA NE M'APPARTIENNENT PAS*

Bonjour/Bonsoir.

C'est la fin. Et drôle de coïncidence, ce chapitre qui parle d'une maman est publié le jour de la fête des mères. J'espère que vous n'avez pas oublié de leur fêter et de leur dire combien elles sont géniales! Surtout qu'elles nous supportent à longueur d'année, même quand nous sommes imbuvables.

 J'espère que vous n'avez pas oublié de leur fêter et de leur dire combien elles sont géniales! Surtout qu'elles nous supportent à longueur d'année, même quand nous sommes imbuvables

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Après ça,  j'entame la correction dont je vous ai parlé dans un précédent chapitre. En attendant...

Je vous souhaite une bonne lecture mes 🐺 loups 🐺!

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           Novembre 2018...

     Je me réveille en sursaut. Je me tourne vers le réveil : « 01:52 ». Je n'ai dormi que trois heures. Et c'est la deuxième fois qu'il me réveille. En grognant, je sors mes draps et me dirige vers le berceau pour prendre le bébé en pleures dans mes bras. À trois mois, mon fils Kilian est une terreur. Dix semaines que j'enchaîne les nuits quasi-blanches. Résultat, je suis devenue la championne des micros siestes. Je suis capable de dormir n'importe où, n'importe quand, n'importe comment.

« -Shhh, trésor. Tout va bien. Je suis là. », je murmure pour le bercer.

Je marche de long en large dans ma chambre en frottant son dos. C'est à ce moment-là qu'entre Léo, ses cheveux blonds complètement en pétard.

« -Tu veux que je le prenne ?

-Retourne dormir. Je suis désolée de t'avoir dérangé.

-Hope. Nous étions tous au courant des difficultés et des désagréments que nous allions rencontrer quand nous avons choisi de prendre une coloc. Alors maintenant, tu me passes le petit monstre et tu vas dormir, m'ordonne-t-il fermement. Tu en as besoin. », il conclue plus doucement en me prenant Kilian des bras.

     Il a raison. Quand j'ai découvert qu j'étais enceinte, ça a fait un choc. C'était le branle-bas de combat pour mes amis. Ce bébé venait de me redonner une raison de vivre, pas question de le perdre ! L'obstétricienne m'a bien fait comprendre que ma dépression m'avait fait perdre du poids et que cela avait mis le fœtus en danger. Interdiction de me laisser seule. Java, Léo, Eulalie et moi avons donc pris une colocation à quatre proche de chacune de nos facs. Personnellement, j'ai fini mon année pour trouver un travail et m'occuper de mon trésor. Et je leur ai interdit de lâcher ce que eux avaient déjà entrepris.

     De son côté, la police s'en est mêlée, prête à rajouter « viol » au dossier de Peter. Les médias se sont jetés dessus, certains de faire le scoop, déjà que mon affaire avait suscité beaucoup d'attention. J'ai pété un plomb et ai envoyé tout le monde bouler. Mais j'aurais dû me douter que ces vautours ne lâcheraient pas aussi facilement. J'ai fini par accepter de faire une conférence de presse, à laquelle j'ai bien fait comprendre que l'homme de mon cœur s'était occupé de moi avec plus de considération que la plupart des membres du sexe fort, et que de fait « violeur » ne peut pas faire parti de ses qualificatifs puisque j'étais consentante.

Animalis dementiaOù les histoires vivent. Découvrez maintenant