just me n him [TOME 1] H.S

C H A P I T R E : 15

« Moi - Eh bien, je suis du même point de vu que ta mère, dis-je avant de saisir la poignée de la portière, bonne soirée Harry, fais attention en rentrant, puis je sortis de la voiture et claqua la portière. »

|Point de vu Carter |

Plusieurs semaines étaient passé depuis ma première fois chez Harry avec les Garçons, et j'y suis retourné, une fois, deux fois, trois fois, puis finalement tous les lundis. Les garçons se retrouvent tous les lundis soirs et de temps en temps les weekends pour répéter. Les weekends c'est plus complexe car Harry va enfaite chez sa mère tous les weekends et pendant toutes les vacances scolaires. J'avais appris à̀ connaitre chacun d'entre eux. Zayn était comme le mystérieux de la bandeau premier abord mais enfaite il y avait tellement de chose à savoir sur lui, il est le plus calme, celui qui parlait peu, mais sa présence était tellement importante au sein du groupe. Vous le savez, mon coup de cœur pour sa voix est présent depuis le départ et ne s'est pas envolé surtout suite aux nombreux concert privé auxquels j'ai pu assister. Liam lui, était finalement le bon vieil ami, à qui on pouvait confier beaucoup de choses sans avoir peur que ce soit répèté ou même jugé. Louis était le clown du groupe, peu importe la situation Louis trouvait toujours un moyen de la rendre fun. Quant à̀ Niall, il était je pense le plus enfantin du groupe, celui qui rigolait à tout et n'importe quoi, surtout quand il s'agissait de Louis. Je ne pense pas qu'il soit nécessaire de vous partager ma pensée sur la personne qu'est Harry. Je ne sais pas réellement si je me considérais « potes » avec eux, mais, j'aimais ce qu'ils faisaient et je voulais les encourager. Au lycée rien avait changé entre nous, ne pensez pas que nous passions tout notre temps ensemble, je continuais à manger seule, Pourtant c'était pas faute de m'avoir demandé́ à plusieurs reprises de déjeuner avec eux, j'ai accepté́ deux ou trois fois, mais je refusais la plupart du temps. Evidemment, ces derniers n'étaient pas au courant au sujet de ma foutue maladie, et ne le sauront jamais, sauf le jour de ma mort et encore. Je ne vous raconte pas les nombreux regards persistants, et les sous-entendus de mes pères chaque lundi. Je savais que ça leur faisait plaisir, et j'étais heureuse de les rendre heureux. C'est vrai que, depuis quelques semaines avoir cette nouvelle occupation me faisait du bien.

Par ailleurs, nous sommes Vendredi soir, dans quelques minutes Cameron et Matthew vont arriver. Ils viennent passer le weekend avec nous. Cette fois ci ils sont venus en voiture, Matthew a enfin eu son permis. Je venais de rentrer avec mon père Jack des courses, pour le diner de ce soir. Je m'empressai de rentrer à l'intérieur de la maison en baissant la tête à cause des grosses gouttes qui tombaient du ciel. J'aime le mauvais temps et la pluie, mais, seulement quand je suis enfoncé́ dans ma couverture devant un bon film. Je déposai les gros sacs en plastiques sur le buffet de l'entrée. Je retirai ma veste bleue que je pendis sur le porte manteau de l'entrée, puis me déchaussa. Je sentis deux pressions qui provenaient de ma poche arrière de mon jean, m'indiquant que j'avais reçu un message. J'attrapa ce dernier et le déverrouilla.

« Coucou Carter, demain petite soirée dans ma superbe demeure avec les garçons et une vingtaine de personnes du Lycée. J'espérais t'y voir. Dis-moi à quelle heure je passe te prendre si on ne peut pas t'y emmener, Bonne soirée, H. »

C'est un Harry très autoritaire que nous retrouvons, ce dernier ne me laissa même pas le temps de donner une réponse positive à sa demande qu'il avait déjà̀ choisi qu'elle le serait.

Dad J – Carter! Eh oh! Grogna Mon père.
Je relevai aussitôt la tête.
Moi – Pardon ! dis-je en prenant les 2 sacs en plastiques.

Je montai les escaliers accompagnes de mon père, nous arrivions dans la salle à manger. Je déposai mes deux sacs sur le plan de travail puis reparti en haut dans ma chambre.

Je ne vais pas à̀ des soirées et encore moins avec des gens que je connais à peine. Puis quoi ? Il y aura toutes ces petites connes du lycée, les Kim et j'en passe. De plus, Matt' et Cameron seront présents et je veux profiter d'eux. C'est ainsi après cette légère réflexion que je répondis à Harry :

« Bonsoir Harry, je te remercie c'est très gentil de ta part de proposer, mais j'ai déjà̀ quelques choses de prévus ce weekend. Bon weekend à̀ toi. »

Je n'eus à peine le temps de me relever de mon lit sur lequel j'étais affalé, que mon téléphone vibra m'indiquant encore une fois qu'un message venait de m'entre envoyé́.

« Tu peux peut-être les ramener ? »

Harry avait ce don de toujours anticiper, en l'occurrence il avait imaginé́ le faites que ce weekend je voyais d'autres gens. Se doutait-il que ce serait mon frère et son pote ? Je ne pense pas, plutôt des copines devait-il s'imaginer. Cela lui plairait-il que ce soit des garçons plutôt que des filles qui s'incrusteraient à sa soirée ? Je ne pense pas non plus. Je balançai mon téléphone sur mon lit sans répondre lorsque j'entendis « ON EST LÀ ». A ces mots je m'empressai de sortir de ma chambre, traversant la mezzanine a tout vitesse pour descendre encore plus vite les escaliers.

Moi – Ahhhhhhh coucouuuuuu, dis-je en les prenant dans mes bras.

Ils étaient chargés jusqu'au cou et au lieu de les aider, je les avais littéralement étranglés. Matthew n'en pouvait plus, j'ai cru l'avoir tué́ en le serrant tellement fort avec ses bras chargés. Ils dirent bonjour à̀ mes deux pères, puis nous montions à l'étage tous les trois, pour que je puisse les installés dans la pièce dans laquelle ils allaient passer ces deux jours.

Matthew – Bon et depuis, ça va au lycée ? Plus personne t'embête.
Nous étions tous les trois affalés sur mon lit à discuter des derniers évènements qui avaient eu lieu depuis leur dernière venue à la maison.

Moi – hm, ça a continué́ un moment, puis ça s'est calmé et ça va beaucoup mieux ! expliquais-je.
Cameron – Qui donc ? Que j'aille le frapper. Dit-il plus sérieux que jamais.
Matthew – Un bouclé de sa classe la, Harry, c'est ça ? me demanda-t-il. Ce à quoi je répondis d'un simple hochement de la tête, c'est alors que le visage de Cameron s'illumina, il ferma a moitié ses yeux et fit mine de chercher dans sa tête une lointaine information.

Cameron – Mais ! Harry ! Le Harry du parc ???
- Oui c'est bien ca le Harry du parc, je me retourna mes deux pères se tenaient devant ma porte de chambre avec leurs bagages en mains, ou aussi le Harry des devoirs, le Harry taxi et le Harry des lundis soirs, mais attention hein ils ne sont même pas "potes", mima-t-il avec ses mains, on y va les enfants, soyez sage pendant le weekend, pas de bêtises.

Mes deux pères partaient pour un petit weekend à̀ Paris, rien que tous les deux. Ils quittèrent alors la pièce et Cameron avaient les yeux écarquillés quand je me retournai pour leur faire face à̀ nouveau.

Cameron – Comment ça le Harry taxi ? le Harry des lundis soirs ???? s'exclama-t-il.
Matthew – Ah ! apparemment, le Harry du téléphone aussi, dit-il en penchant sa tête sur mon téléphone qui venait de s'allumer laissant apparaitre une notification de messages. Mes joues devenaient rouges de gêne, je le sentais. Je ne savais plus quoi faire ni quoi dire, malgré́ que je n'avais rien de particulier à̀ dire ou à̀ faire. Mon frère était de plus en plus furieux, cela se remarquait sur son visage. Matthew et moi se moquions de lui. Je saisissais mon téléphone entre mes doigts, puis souffla.

Cameron – Quoi ? il ne te harcèle pas au moins, demanda-t-il pour entre rassuré.
Moi – Non ! t'es bête, il veut juste m'inviter à̀ une soirée demain, j'ai refusé́ mais il persiste.
Matthew – Bah, y'aurait moyen de s'y incruster à cette fête ? dit-il après réflection,J'hocha la tête en guise de réponse positive, il pivota son visage face à̀ celui de mon frère, bon bah ! on a notre programme pour demain soir, dit-il tout en souriant.

Croyez-moi ou non, mais j'avais mariné pendant au moins une vingtaine de minutes, et sans succès. Les deux guignols voulaient absolument faire la fête demain soir. J'avais donc répondu à Harry que je viendrais aux alentours de 21 heures avec mes deux amis et que nous n'avions pas besoin qu'il vienne nous chercher.

Nous avions passé la soirée à manger comme des gros et à jouer à des jeux débiles. Puis vers les 4 heures du matin nous sommes partis nous coucher.