Rennes

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En fin juillet 1998, il y a eu une violente dispute entre ma mère et moi, pour une histoire d'argent, car ma mère me demandait des services plusieurs fois en juin 1998 de lui avancer de l'argent pour qu'on puisse ensemble jouer aux casinos (si j'ai bien compris pour rembourser des factures trop élevées)

Mon chéquier s'en est souvenu à l'époque en 1998 : 20000 francs au total (le dossier de surendettement à la banque de France peut en témoigner). Car ma mère ne me l'a pas demandé qu'une seule fois mais au moins une dizaine de fois, limite avec supplice, sur plusieurs jours différents et à la suite !! En allant à plusieurs casinos différents, jusqu'aux Côtes d'Armor et même jusqu'à Granville en Normandie (si mes souvenirs sont bons)

L'objet de cette dispute est simple. J'ai été maltraité entre juin et juillet 1998 psychiquement (et non physiquement) dans cette maison de Médréac chez ma mère, juste après lui avoir rendu service pour les casinos, et parce que j'ai décidé de ne plus lui rendre service.

Pour faire plus clair ma mère me fait comprendre que je ne suis pas chez moi, et m'emprisonne psychiquement et durablement au 2eme étage au grenier sans passer du temps en famille. Ce grand grenier qui pour les 3/4 de la surface est consacrée aux matériels de musique de mon beau père, et moi j'avais le reste avec très peu de places et avec très peu d'affaires qui m'appartiennent. Un peu en mode "Princesse Sarah" si vous préférez quand elle vivait dans sa mansarde.

J'ai même en mémoire que ma mère refusait que je mange avec les autres membres de la famille. J'avais ma part comme les autres, mais jamais aux côtés des autres.

Lorsqu'un jour je me rebiffe contre ma mère sur ma situation, je lui ai menacé tout simplement de tout raconter à mon beau père au sujet de ces histoires de casinos, tout simplement car il n'est pas au courant du tout que ma mère traverse toute la Bretagne pour aller aux casinos en utilisant ma faiblesse et ma générosité avec mon chéquier.

Je me suis rebellé sur le fait que c'est dégueulasse qu'elle prenne tout l'argent des petits gains que nous récoltons, et que moi je n'obtienne pas un seul sou. Alors que pour rappel j'ai dépensé 20000 francs pour sa pomme

Résultat des courses et sans appel : Pour éviter que son mari soit au courant (je n'ai pas pu le croiser), ma mère s'est empressée au final à la seconde suivante de me mettre à la porte avec toutes mes affaires. J'ai en mémoire que j'avais seulement quelques minutes à peine pour réunir mes affaires dans des sacs avant de me jeter comme un malpropre.

Je ne me souviens plus des détails exacts de l'acheminement du comment j'ai été mis techniquement à la porte, ni comment j'ai atterri auprès d'une assistante sociale au final. Mais heureusement merci nous ne sommes qu'au mois d'aout. En revanche, j'étais encore lycéen à cette époque. Je me demande ce que j'allais devenir.

Donc en août 1998, une assistante sociale m'accueille et me permet de m'abriter dans un petit local à côté des pompiers

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Donc en août 1998, une assistante sociale m'accueille et me permet de m'abriter dans un petit local à côté des pompiers. Je n'avais que ma chaine Hi-Fi et mes cd pour me consoler, en plus de mes vêtements, pour survivre.

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