DANS TON COEUR ... POUR TOUJOURS

Chapitre 5

À la maison , j'avertie que je suis rentrée , Anastasia ma tata vient me prendre dans ces bras , je ne comprends pas ce geste attentif mais lui répond quand même . Je me sépare d'elle pour voir son visage remplie de l'arme , je demande ce qu'il a mais elle ne me répond pas au contraire ces larmes redoublent . Philippe arrive avec des yeux gros et rouge , j'en déduis qu'il a lui aussi pleuré . Je me sens dans l'incompréhension totale et commence à pleurer , hurler .

Graziela : QU'EST CE QU'IL Y A ? RÉPONDEZ MOI À LA FIN . TONTON RÉPOND MOI , TATA S'IL TE PLAIT DIS MOI

Mon oncle vient me maintenir parce que je saccage tout ce que je touche . Malgré ça je me débat , je ne me sens pas rassuré au contraire je sens que la nouvelle que je vais savoir va me détruire , dévasté . Et j'avais raison quand ma Tatie me regarde et prononce ces mots je sens mon corp partir loin .

Anastasia : Tes ... tes parents ... ont ... un accident ... de voiture , ils sont morts hier soir , un chauffard ... les ...

Je pleure , c'est que je peux faire pour évacuer ma peine , ma colère , je pleure . Je ne réfléchi pas et cours de la maison , j'entends mon oncle appelé mais je ne l'écoute pas , je vagabond entre les rues jusqu'à me retrouvé au parc , je m'y engouffre et part à l'endroit où mon rêve à commencer , où mes parents m'ont encouragé à suivre mon rêve . Je m'assis prêt du lac qui est reculé et rétire brusquement la perruque flamboyante que je porte , je retire mes lentilles , je redeviens moi pour cette fois , je ne veux plus être une imposture qui est aveuglé par la vengeance , je veux redevenir Graziela Fernandez . J'envoie la perruque et les lentilles loin de moi , je ne réfléchi pas , je veux juste extérioriser ma souffrance de mon corps , être seule pour ne pas extérioriser ma colère sur une personne , oui c'est ça je veux être seule , je ne veux pas entendre ces personnes me dirent " Toute mes condoléances " , j'aurais aimé que tout ça soit un rêve mais non je suis bien devenu orpheline . Je n'entends pas le bruit des pas de la personne ou plutôt je ne m'en préoccupe pas , mes cheveux recouvre mon visage plein de larmes et c'est bien mieux comme ça , je ne veux pas de pitié , je vois des chaussures venir remplacé l'eau claire du lac , je ne réfléchi pas., je ne veux que crié au monde ma douleur , c'est pourquoi je me lève et pousse cet personne au lac sans me demander ou regarder qui sait , ce n'est quand j'entends mon nom provenant de la bouche de cette personne que je ne connais et relève la tête pour voir qui s'est , oh non pas ça , je ne lui prête pas attention et pars m'asseoir sur le tronc d'arbre là bas , je ne prends pas une seconde pour dévaler plus de larmes , c'est horrible de savoir que tes parents , tes modèles ont perdu la vie à cause d'un chauffard , d'un abruti de chauffard . Je sens des bras m'encerclé , je pose ma tête dans son cou et profite de ce moment , dire que c'était la dernière personne à qui je pensais .

Jaden : Parle moi , mon canne en sucre je suis là si je peux t'aider à évacuer ta tristesse ...

Je le mord dans le cou pour le faire arrêter ce discours pathétique , il ne peux rien faire , c'est déjà fait et c'est irréversible .

Graziela : Tu ne peux rien faire alors ferme là .

Il ne dit rien sûrement choqué de mon action où que il n'a rien pour dire . Je reste quelque minutes , heure dans son cou retardant notre discussion parce que je sais bien que Monsieur ne me laissera pas partir sans savoir où j'habite , etc .

Je me détache de lui et le fusille du regard , même s'il m'a aidé , ce n'est pas pour autant que je ne le déteste plus . Je recule loin de lui sous son regard triste et désemparé mais je n'en ai rien à faire de ces remords . Il est possible qu'il se souvient de moi parce que il faut dire que sans ma perruque et mes lentilles je ne ressemble pas à Monica Cappello .

Jaden : Graziela , ma canne en sucre laisse moi t'expliquer ce que j'avais avant ...

Je le regarde attentivement , il est au courant que c'était moi maintenant , la blague .