Chapitre 4

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Un mois après la venu de Monsieur Pérez , je suis vraiment exténué , j'ai commencé à interviewé quelque de ces employés et à chaque que je le fais visionner l'interview , soit la personne est trop énergétique ou sadique ou même timide , il m'ordonne de tout recommencer , j'en ai marre , aujourd'hui je vais lui dire 4 mots sur son comportement . Je toque sur sa porte et entre quand j'entends le mot " Entré " , je stoppe ma marche et regarde son bureau , il a changé , ce n'est plus le même , est ce que c'est moi qui ... ? Non impossible il ne sait même pas que c'était moi . Je reprends mon visage impassible et m'assois sans demander permission ou sans attendre la permission de Monsieur Pérez sous son visage excédé .

Mr Pérez : Qu'est ce que je peux faire pour vous Mademoiselle Cappello ?

Je fais de mon mieux pour dissimuler mon sourire , il y a cru comme de l'eau à boire que je m'appelle Cappello et en plus ça réaction n'a pas manqué de me surprendre , il souriait et semblait faire un saut en arrière , il était beau quand il souriait mais malheureusement il a vite repris son masque de fer semblant songé que je suis là .

Graziela : J'en ai marre de votre comportement .

Il lève un sourcil et ne semble pas comprendre ce que je veux dire .

Graziela : A chaque fois que je vous laisse visionner les interviews soit il n'est pas ceci ou il n'est pas cela , sérieux je vous rappelle que c'est moi qui est obligé de les refaire pas vous .

Il sourit amusé et penche sa tête sur le côté puis croise ces bras sur son torse bien bâti , je dois avouer .

Mr Pérez : Et qu'est ce que j'en ai à foutre ? Je vous rappelle que je vous paie pour faire ça .

Graziela : Je vous préviens , si ca continue comme ça , je vous obligerai à augmenter mon salaire .

Il s'approche et s'arrête près de mon visage et dit sur un ton défiant

Mr Pérez : Allez y essayé si vous le pouvez .

Mr Pérez : Ça a été un plaisir pour moi de discuter avec vous mais comme vous le voyez je travaille aulieu de me plaindre comme certain .

Je manque de m'étouffer avec ma propre salive , je vais le tuer .

Je me lève et pars de son bureau mais avant je lui lance sûr de le voir énervé .

Graziela : Je fais très bien mon travail de journaliste , la preuve comment se porte votre peluche panda ? Vous avez recousu le bras que vous avez arracher et aussi quel peluche porte le nom de Monsieur juge .

Je pars sans regarder son visage et retourne faire mon travail pour satisfaire monsieur . L'heure de la pause est arrivé arriver dans l'ascenseur , j'y entre sans regarder la personne dedans , je cherche mon téléphone et entre le code , j'appelle Philippe et quand il décroche je m'exclame

Graziela : Salut Tonton ça va ?

... : ...

Graziela : Oh tu me connais voilà j'aimerais te demander quelque chose .

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Graziela :Bon tu pourrais m'envoyer mon perroquet polo .

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Graziela : Ah fais moi confiance un peu .

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Graziela : Oh ici c'est à mourir d'ennui moi qui pensait que ça aller être plus amusant d'interviewer ces employés .

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Graziela : Oh moi aussi tonton je la salue , comment elle va aujourd'hui ? Ça a augmenter , descendu ?

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Graziela : Ouf merci , ne prononce plus jamais le nom de ce connard dans mon téléphone

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Graziela : Quoi ? Ça te choque tellement que j'appelle Monsieur je suis Multimilliardaire Connard .

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Graziela : Bon d'accord , je ferai attention , je ne vais plus l'injurier de tout les noms dans son entreprise mais arrivé à la maison , je ne vais pas me gêner crois moi .

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Graziela : Oui tonton Philippe à bientôt bisous .

Je souris machiavéliquement et me dit à moi

Graziela : S'il pense que je vais arrêter d'injurier ce con , il rêve .

Je prends un baume à lèvres mais il tombe par terre et roule derrière moi , je me retourne et ne retient pas mon cri en voyant Mr Pérez dans l'ascenseur avec moi .

Graziela : HAHAHA ... mais qu'est ce que vous faites ici ? Vous ne déjeuner pas aujourd'hui dans votre bureau .

Il lève un sourcil et me questionne

Mr Pérez : Dis donc vous espionnez les moindres détails sur ma vie où quoi ?

Graziela : Pas tout à fait , j'ai juste des contacts utiles pour suivre vos moindres gestes et fait .

Mr Pérez : Je vais faire semblant de n'avoir rien entendu puis si je n'avais pas eu cet soudain envie de déjeuner dehors je ne vous aurai jamais entendu m'insulter et apprendre que le directeur du journal est votre oncle .

Je constate avec effroi qu'il m'a entendu , si j'avais eu l'idée de prononcer mon nom , il aurait tout compris . 

Graziela : Et alors ça vous dérange que Philippe soit mon oncle Charlie Brown ?

Mr Pérez : Évidemment que non Mademoiselle Cappello au contraire je suis heureux de savoir que vous n'avez pas été élevé par des singes .

Je serre les dents pour ne pas dire un pique provenant d'un de nos moments passés ensemble. Pour tout réponse quand l'ascenseur s'ouvre , je lui fait un droit d'honneur et part manger un peu avant de terminer cet journée merdiques .

DANS TON COEUR ... POUR TOUJOURS Où les histoires vivent. Découvrez maintenant