Dans un monde ou la vie n'a jamais souris a Jeon Jungkook.
Ou aucun souhait ne lui fut accordé.
Dans un monde ou le seul souhait de Taehyung était de rendre Jungkook heureux.
Ce souhait fut réalisé, de la plus belle des manières.
Sauf que parfois...
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Vous savez ces moments, ou vous savez que quelque chose cloche. Qu'un truc ne tourne pas rond, que la Terre tourne mais vous tournez dans l'autre sens. C'est exactement ce que je ressentais en cet instant. Au moment ou mon monde c'est écroulé.
Quelque minutes plus tôt...
En arrivant devant les locaux des Lions, les battements de mon coeur avait redoublé d'intensité. Là, en plein milieu de ce qui était censé être une zone désafecté, siègeait un immeuble haut de 100m. En parfait état, comme si il était destiné à être là. Dominant tout Séoul dans l'ombre. Dans d'autres circonstance, je l'aurais trouvé magnifique.
Mais actuellement non, actuellement j'avais peur.
Cet immeuble était la preuve que nous avions sous estimé la puissance des Lions, nos ennemis. Et cela me creuvait de le dire, mais ressortir vivant d'ici reviendrais à prédire les numéros gagnant du lotto.
Un miracle, tout simplement.
Nous étions 2000 hommes à arrivés, sous formes de vagues. Tel des soldats, nous étions prêt sur le champs de bataille que représentait cette route goudronnée. Cette immeuble devait contenir un nombre incalculable d'ennemi.
Une ruche se présentais à nous, une ruche rempli d'abeille face à de simple fourmis.
Et une des phrase que me disait Jungkook me revient en tête:
"Ne laisse jamais personne te convaincre que tes rêves sont trop grands"
Et mon rêve à toujours été de te rendre Heureux Jeon Jungkook.
Alors pour lui je me battrais, jusqu'à mon dernier souffle.
La bande, Eric, Lindra et moi-même étions en première ligne. D'un pas assuré, nous nous dirigions vers l'entrée du batiment. Chaque pas était maitrisé, calculé. Nous étions couvert de toutes les attaques, sauf celle en hauteur.
Mais à mon plus grand étonnement, personne ne nous attaqua. Et Hyungshik nous attendait, devant l'immeuble, un grand sourire collé sur son horrible visage.
"Je vous attendais Messieurs Dames, bienvenue au Pandémonium."
"Cesse tes manière Hyungshik, où est Mon Jungkook." l'agressai-je. En insistant volontairment sur le mon, sachant à quel point il détestait cela.
" Ton petit Jungkook t'attend en Haut, veuillez me suivre."
Ce n'était peut etre pas grand chose, l'adrénaline coulant dans mes veines était suremment la raison de mon hallucination. Mais Hyungshik avait pas fait de remarque sur le "mon", et il à même dit "Ton".
Les hommes à l'entrée du batiment nous fouillèrent, veillant à retirer toutes nos armes de nos corps.
"Veuillez m'excuser messieurs, mais toute négociation se doit d'être pacifique" chantonna t'il. Je me fit plaisir à m'imaginer lui défigurer le faciès, une fois toutes ces affaires terminées.
Une fois vidée de toute menace, Hyungshik nous conduisit vers un ascenceur. De loin, on aurait pu penser que le président débarquait tellement il y avait de garde du corps autour de nous. L'ascenceur s'ouvrit et Hungshik cliqua sur le 23 èmes étages. Puis il annonça :
"Une fois arrivé, seul vous sept pourrez rentrer, les autres vous resterez ici." en nous montrant du doigts moi et la bande.
"Je peux savoir pourquoi ?" demanda Eric.
"Seule les personnes qui compte pour Jungkook on le droit de rentrer".
Sur ces mots, l'ascenceur s'ouvrit et nous sortions tous un a un. Une fois fini, Hyungshik s'avança à travers le couloir et seulement 2 gardes nous suivirent. Et c'est là que cet affreux sentiment commença. A travers ce couloir, différend autoportrait était exposé, tous au nom de Lee. Le nom des héritier de la Légende. Des portrait de familles, comme on n'en voit dans les chateaux des Aristochrates au moyen âge.
Seulement, certains visages m'étaient familier. Et ce sentiment ce confirma en voyant le portrait de Madame Jeon, la mère de Jungkook, répondant au nom de Lee Hyuna.
Présent
Hyungshik se décala sur le côté de la porte, et ouvrit cette dernière. Nous entrons un à un dans cette pièce particulièment sombre. Aucune lumière n'était allumé, aucune fenêtre ne l'illuminait. Et la porte se referma.
Au même instant, un rire que je reconnaitrait entre mille parvint à mes oreilles. Le rire mélodieux de jungkook. Puis la salle s'illumina et je le vis enfin.
Aucune égratinure
Aucune attache
Aucune peur
Juste Jeon Jungkook, sur son trône de Roi, et un sourire.
Un sourire que j'espérais ne jamais apercevoir sur son si beau visage.
