Chapitre XXXIX

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Nous discutions depuis maintenant environ une bonne heure après avoir fini notre dessert, il était environ 22h30, et plus j'écoutais, plus les musiques me semblaient intéressantes

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Nous discutions depuis maintenant environ une bonne heure après avoir fini notre dessert, il était environ 22h30, et plus j'écoutais, plus les musiques me semblaient intéressantes.

-Kirua ? On va danser à la prochaine ?

-Pourquoi pas, répondit-il

-Hisoka on dansera celle juste après si tu veux bien, l'histoire que je ne perde pas ma motivation

-Ton choix sera le mien princesse~

Encore ce surnom idiot, heureusement que les lumières étaient tamisées, elle cachaient le début du rougissement de mes pommettes. La nouvelle chanson arrivait assez rapidement, et je me levais rapidement, suivie de Kirua. La musique était assez entraînante et je me dehanchait, et regardait le blanc danser a sa manière. Il se moquait de la façon dont je me dehanchais, gênée par ma robe et moi je me moquais de comment il dansait, parce qu'il semblait assez crispé, a mon avis il s'était juste proposé pour pas que je ne danse qu'avec Hisoka. La chanson atteignait sa fin et je regardais Kirua aller se rasseoir.

Le magicien se levait pour me rejoindre, avec toute la prestance et le charisme qu'il était possible de posséder, tandis que la nouvelle chanson commençait. Ses mouvements m'hypnotisaient, j'étais tout simplement dans l'incapacité de me mouvoir pendant qu'il se dirigeait tout droit sur ma personne. La musique, qui se trouvait être assez douce et langoureuse, se mélangeait parfaitement, avec un Hisoka qui s'avançait vers moi, d'un pas sensuel. À cet instant présent, je ne faisais plus attention à rien, à personne, sauf à lui, qui s'approchait dans une démarche féline, sous cette mélodie enivrante.

Je frissonnais doucement de plaisir, tandis qu'il arrivait a moi, me tendant la main pour m'emmener au centre de la piste de danse. Je n'arrivais pas a le quitter du regard, mes yeux étaient attirée par cette personne, que je cotoyais depuis très peu et qui pourtant m'attirait comme jamais personne n'avait pu le faire.

Une fois au milieu des danseurs, avec un sourire, Hisoka posa sa douce main sur mon dos dénudé. Ma peau frémit a ce contact sans même que je ne puisse contrôler quelque réaction que ce soit. Je déposai une main sur son épaule, pendant qu'il attrapait ma seconde main, la serrant dans la sienne qui me paraissait infiniment grande.

Il passa une de ses jambes entre les miennes, me forçant a les écarter.

𝑴𝒂𝒖𝒅𝒊𝒕 𝒄𝒍𝒐𝒘𝒏 (Hisokaxoc - Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant