𝑴𝒂𝒖𝒅𝒊𝒕 𝒄𝒍𝒐𝒘𝒏 (Hisokaxoc - Tome 1)

Chapitre VI

Je décidais d'aller faire un petit tour dans la salle de bain, plus précisément dans la douche, voilà un petit moment que je n'avais pas pris une douche bien chaude et relaxante comme celle-ci, une douche qui mettait de la buée sur les fenêtres, les miroirs et les parois, qui remplissait la douche de la fumée de l'eau brûlante qui coulait et nettoyait mon corps.

J'entendais la porte de la chambre s'ouvrir, Hisoka avait été rapide, ou alors j'avais mis un petit moment à découvrir la chambre et ça faisait un bon moment que j'étais dans la douche, les deux solutions étaient probables mais je ne savais pas laquelle était la bonne, je n'avais pas eu le temps de réfléchir que la porte de la salle de bain s'ouvrit sur Hisoka.

Je sursauta et pris rapidement une serviette pour cacher mon corps totalement dénudé, et lui il ne se faisait pas prier pour rester me regarder paniquer, un large sourire au visage.

-QU'EST-CE QUE TU FAIS ENCORE LA ? vociferais-je. SORS D'ICI !

Son sourire s'allongea un peu plus, comme si me voir paniquer et m'énerver lui plaisait et l'amusait, je m'imaginais me débattre de son emprise, comme une proie le ferait avant de se faire capturer par le prédateur qu'il était.

Et comme si la malchance en personne s'était collée a moi j'entendis une deuxième série de pas, avant que la tête d'Irumi apparaisse, il fût surpris et entraîna Hisoka hors du cadre de la porte puis ferma cette dernière, pour une fois je remerciais le ciel qu'il soit ici, sinon je ne sais pas vraiment ce que j'aurais pu faire contre le clown.

Je finis par me sécher et m'habiller puis m'occuper de mes cheveux, en une fois depuis de longs mois j'étais enfin potable et je ressemblais à quelque chose, mais je n'en avais pas fini il fallait encore que j'aille a l'esthéticienne et au coiffeur pour parfaire tout ça.

J'ouvris la porte de la salle de bain et prenait ma licence de hunter.

-Merci Irumi d'avoir été là, je sais pas ce que j'aurais fait sinon.

Il me répondit d'un bref sourire et mouvement de la tête, puis je lança un regard tueur à Hisoka qui me répondit lui aussi par un sourire, mais bien plus grand que celui d'Irumi, avec un regard qui voulait tout dire, du moins ce qu'il aurait fais si le brun n'avait pas été la.