Chapitre XX

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-Nan mais serieux, continuais-je, ton t-shirt couvre seulement la moitié de ton torse et moi tout mon buste, j'ai même pas eu besoin de mettre l'autre en dessous, et ton pantalon n'en parlons pas il y a bien 10 centimètres que j'ai du cacher.

La fenêtre s'ouvrit, je crois que de toute ma vie on aurait pas pu faire pire timing, Irumi et Kirua entraient dans la chambre et virent la pire chose qu'ils pouvait voir, Hisoka quasiment a poil et moi déguisé en lui d'une manière très peu flatteuse. Kirua s'avança, en enlevant son t-shirt blanc au dessus de son pull bleu nuit, pour me le jeter à la figure.

-Hisoka, dit le cadet Zoldyck de sa voix froide, rhabille toi, on est pas chez les sauvages.

C'était certain, me voir devant Hisoka presque en tenue d'Adam devait déplaire a Kirua, je tâtais a l'aveuglette dans mon armoire pour prendre un pyjama autre que celui d'hier.

-Je vais arranger ma figure, ma voix était intimidée, et me changer par la même occasion.

Je partais dans la salle de bain et reprenait mon allure normale, j'étais en pyjama, mes cheveux étaient de nouveau roux, mais avant de me démaquiller j'entrebaillais legerement la tête, de façon à d'abord voir ce qu'il y avait dans la chambre, puis une fois que je vis Hisoka face à moi et Irumi de dos qui lui parlait, je m'assurais qu'il me remarquer, avant de lui tirer la langue, toujours avec son maquillage, je le voyais sourire gentillement, un sourire sans sous entendus, je refermais la porte pour me démaquiller, puis je retournais dans la cuisine comme si de rien était pour y retrouver Kirua, qui avait l'air franchement contrarié, je pris une chaise pour m'asseoir devant lui.

-Tout va bien ? Demandais-je gentillement

-Tout va bien ? Répondit-il d'une voix ironique, ouais ouais tout va bien a part que je viens de te trouver devant Hisoka presque la bite a l'air devant toi

-Kirua ... soit pas aussi vulgaire ...

-Mais bon dieu, Hisoka c'est pas quelqu'un de normal, quand Irumi m'a annoncé que tu étais avec lui depuis hier matin j'étais super inquiet, il haussait de plus en plus le ton, je sais pas jusque vas ta chance pour que tu ai réussi a tenir jusqu'à maintenant sans qu'il te saute dessus !

Plus il parlait fort, plus j'étais inquiète, j'avais peur mais ma colère montait aussi.

𝑴𝒂𝒖𝒅𝒊𝒕 𝒄𝒍𝒐𝒘𝒏 (Hisokaxoc - Tome 1)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant