chapitre 1

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Je pris une grosse bouffer d'air, putain sa m'avait manqué mais après deux ans enfermé c'est tout a fait normal d'avoir cette sensation. Aujourd'hui je venais enfin de finir mes deux ans de prison, j'étais enfin libre, j'avais enfin ma liberté. Deux ans plutôt je me suis fait coincé par les flics en pleine transaction d'armes a feu et d'héroïne donc je me suis ramasser a faire du temps pour trafic d'armes à feu et de drogue. Personne étais devant la prison pour me ramener à la maison, j'avais refuser chaque visite de ma famille donc ils ne sont pas au courant de ma sortie de prison.
Le gardien des grilles me regardais d'un air hautain.
- allé casse toi d'ici et fait en sorte de pas revenir, m'avait t'il dit en crachant par terre.
La classe.
- ouais ouais je m'en vais.

Je remis mon sac sur mon épaule et me dirigea vers le trottoir pour attendre un autobus, je n'avais que peu de monnaie sur moi donc je devais oublié le taxi. Je portais le même linge du soir ou je me suis fait arrêter, un jeans troué noir avec un chandail blanc qui n'est plus très blanc avec une odeur immonde, mais bon passons c'est juste sa que j'ai et bien-sûr mes bon vieux converse un peu troué.

Quand l'autobus se stoppa devant moi, c'est là que je me posais la question, où vais-je aller? Je n'ai plus d'appartement, je pourrais me rendre chez ma mère mais c'est clair qu'elle fait une syncope, elle était tellement déçu de moi. Le jour de mon procès où j'ai eu ma sentence, elle avait crié au meutre et c'étais mis a pleuré, sa m'avait briser le cœur et pendant c'est deux années la j'avais refuser chacune de c'est visite, il n'était pas question qu'elle me vois ainsi. Je me faisais souvent battre par d'autres filles donc j'avais souvent des bleus un peu partout et si ma mère aurait vue sa elle aurait péter les plombs.

Alors je me décida que c'était chez ma mère je devais aller, elle avait besoin d'explications de ma part après deux ans sans nouvelles. Le trajet étais long et silencieux, je somnolait souvent, j'étais épuisé trois jours avant m'a sorti des filles m'avait battue, elles m'avaient dit " cadeau de sorti connasse" les gardiens m'avaient rie en pleine face avant de me reporté a ma cellule. J'avais des bleus un peu partout sur les bras mais le pire est sur mes côtes, c'est pas très beau a voir.

C'est en arrivant à la gare que je commençais a stressée, deux ans sans voir ma famille, ils ont du changer tout comme moi, j'étais une fille quand même joyeuse et pleine d'énergie prête a tout faire mais aujourd'hui je le senti en moi, j'étais briser, la prison m'avait briser en morceaux.
On étais mis septembre et le froid commençais a arriver sur Montréal. Je marchais d'un pas lent vers la ruelle de ma maison, en fait je ne sais pas si je peux dire ma maison, j'étais terrifiée.
Planté devant cette belle maison avec les lumières allumées, je n'avais aucun courage de monter les marches et sonner. Putain c'était une mauvaise idée de venir ici, ta pas d'autres choix la grande. Je venais de cogné assez fort contre cette belle porte en bois, mon pied commençais a taper contre le sol, je suis congelé, je t'en supplie ouvre la porte maman. En me disant cette phrase, la porte venais de s'ouvrir pour me présenter ma mère, qu'elle est belle, elle n'a pas changé d'un brin.

- salut maman, tu va bien?

- mais qu'est que tu fais la, dis moi pas tu tes enfuis de la prison car j'te laissera pas rentrer. Son visage étais en panique, je me dépêcha de la rassurer.

- non Maman, j'ai eu ma sortie, je suis libre.

J'avais lâcher ma phrase d'une voix pas très sûre, je baissa les yeux, j'ai honte. Maman n'avais pas dit un mot pendant une coupe de seconde, elle dois assimilé que sa plus jeune fille est sortie de prison. Elle se mis a pleuré en me prenant dans c'est bras, elle m'a tellement manqué. Elle m'invita a rentrer dans la maison car elle avait remarqué que j'avais froid, elle pleurait toujours.

- tu m'a tellement manqué ma fille.
- toi aussi maman.
- que tu est belle, tes cheveux son rendu long, ma fille d'amour je suis tellement contente de te voir.
- Maman je suis désolée.
Un sanglot sortie de ma bouche et je mis ma main devant ma bouche pour pas que le reste sorte, je dois rester forte. Elle me pris une deuxième fois dans c'est bras et je me sentis rassurer.

- écoute ma chérie, j'étais facher au début mais plus maintenant, je sais que c'est toute de sa faute a lui que tu trainais dans des choses illégal, je ne veux pas ressasser le passé, tu est a la maison maintenant c'est tout se qui compte, je t'aime mon chat.
Se putain de surnom m'avait pas manquer. Elle avait commencé a m'appeler comme sa quand elle reçu un appel de mon école, pour lui dire de venir me chercher, confuse elle arriva une vingtaine de minutes plus tard dans le bureau du directeur, j'avais le nez en sang et le garçon a côté de moi saignait de l'arcade plus du nez, j'avais douze ans et je venais de me battre contre un garçon car il m'avait traiter de salope. Rendu dans l'auto ma mère se mis a rire et je vais toujours me souvenir de sa phrase" je suis fière de toi, ta sortie les griffes pour te défendre comme un chat" et depuis se jour j'étais son petit chat.

- merci maman je t'aime.

Je ne pensais pas que ma mère m'accueillerai comme sa après deux ans sans nouvelle, surtout que je pensais qu'elle avait honte de moi. Ma mère m'escorta jusqu'à mon ancienne chambre, les murs ont pas changé toujours de se vert pomme.

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Voici le premier chapitre :)
Bonne lecture
Bisous xx

l'homme au yeux verts(Terminée)(Stephen James)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant