l'homme au yeux verts(Terminée)(Stephen James)

chapitre 3

Il est 6:45 et j'étais déjà devant le garage mais personne étais la. Oui j'ai une quinzaine de minutes d'avance mais je préfère sa qu'être en retard. Je vis une vielle Mustang Shelby bleu s'approcher et je vis Vincent. Cette voiture était juste trop belle. Je m'avança vers Vincent et il m'accueillia avec un sourire.

- si je me trompe pas c'est une gt500 1970?

- woah quand tu m'a dit que t'y connaissais en voiture je pensais pas que c'était vrai, mais oui tu a bien raison, elle est belle hen.

Je me mis a rire a son commentaire, beaucoup de gens ne me crois pas, pourtant mon père m'a tout appris, il disait souvent " pourquoi aller au garage quand je peux m'amuser a le faire moi même" il adorait la mécanique, aujourd'hui il a en sa possession une vielle transam firebird noir avec l'aigle en or dessus le capot. Sa voiture c'est un petit bijoux de collection et il en est fière, il l'a acheté toute briser et la refais de A a Z lui même.

La journée passait assez vite, il était déjà midi et j'étais dans la cuisine avec Vincent. On mangeait ensemble et il posais beaucoup de questions sur moi et ma vie, je ne répondait pas tout le temps et il vis assez vite que je voulais pas trop parler de moi donc il fini par changer sujet. De retour a l'accueil avec Vincent, ont faisait pas grand chose, il avait aucun client pour l'après midi donc il décida de fermer le garage et me dit de retourner chez moi, demain la journée était chargé.

Deux semaines au garage, donc trois semaines depuis ma sortie de prison, j'allais plutôt bien, je faisais tout pour aller bien, je me devais de rester forte pour ma famille. Hier j'ai eu ma première paye et j'étais toute contente.

- maman combien je te dois pour le loyer?

- non va te magasiner des vêtements, je suis tannée de te voir dans c'est vieux chandail et jeans noir, je suis a deux doigts de les brûler.

- mais maman.. elle me coupa la parole assez vite et commençais a levé le ton de sa voix, Quand elle veut elle peut être vraiment têtu, je suis pareille. Donc sous son regard noir je sorti de la maison pour aller magasiner comme elle me l'a dit de faire. Après deux heures de magasinage, je revenais a la maison avec les mains pleines, j'ai vraiment besoin d'une auto je vais pas toujours marché comme sa partout. Ma mère ne pris pas de temps à me rejoindre dans ma chambre et me demandais mes vieux vêtements, je me changea et lui donnais et comme elle l'avait dit elle allait les brûler, maman tu es folle.

~

- mais putain tu comprends pas j'ai besoin de faire réparer ma voiture maintenant.

- toi tu comprends rien, que faut tu appelle pour prendre un rendez vous.

- mais tes conne ou quoi tu bouge ton jolie petit cul et tu me fais une place pour ma voiture.

Ok je vais le tuer. Cet homme aux yeux verts est devant moi depuis une vingtaine de minutes a me faire une crise car il veut que sa voiture sois réparer maintenant. Mais il a été pourrie gâtez étant jeune ou quoi.

- ok de un tu ne m'insulte pas car sa risque de mal finir, de deux je vais répéter ouvre bien grand tes oreilles de pourri gâtez, tu dois prendre un rendez vous pour ta voiture point final.

Il était en colère, il avait les sourcils froncé et de c'est yeux verts il me regardais en silence. Il est très grand et beaucoup tatouer, il arborait une posture dominante mais il ne me faisait pas peur, pas après mes deux ans de prison, plus aucun homme allais me faire peur. Il respirait fort et il me fit un sourire forcé, il va péter un plomb.

- d'où tu te permets de me traiter de pourri gâtez, tu connais rien a ma vie mais je vais te dire une chose je suis pas ici pour rigoler j'hesiterai pas a te foutre une balle entre les deux yeux si tu continues à me parler sur se ton, je vais me répéter ouvre bien grand tes oreilles tu trouves une place maintenant pour ma voiture.

Je me mis a rire de sa petite menace, j'ai vue pire mon grand, si tu savais. Ont étais dans une bataille de regard, j'avais les bras croisés contre ma poitrine, appuyé contre le comptoir je ne le lâchais pas du regard, putain qu'il est beau, sa devrait être illégale d'être beau comme sa.

- tu bouge ou t'attend un miracle.

- j'attends définitivement un miracle et tu veux savoir c'est quoi se miracle, toi qui fou son camp d'ici et qui appelle pour que je lui donne un rendez vous dans la semaine a venir, bon c'est pas que tes ennuyant mais j'ai du travail a faire, bye.

Je le laissait planté là comme un imbécile et me dirigea en arrière pour avertir Vincent du gars qui fait une putain de crise et me dit qu'il va s'arranger avec. J'ai besoin d'une putain de pause et d'une cigarette. J'ai hâte que la journée sois fini, il m'a pompé se petit con avoir été deux ans en arrière, je lui aurais foutu une raclée juste avec la façon qu'il m'a regardé, mais aujourd'hui je dois me tenir tranquille, je ne veux pas retourner en prison, non merci. Le regard de cet homme étais troublant, je n'ai jamais vue des yeux verts aussi beau avec sa mèche brune qui lui tombe sur le front, il est a croquer. Putain reprend toi la vielle.

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Chapitre trois, désolé c'est un petit chapitre
Bonne lecture :)
Bisous xx