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Daleehya.

Mercredi, 23 septembre

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Mercredi, 23 septembre.
Nice, France.
09:00

J'entre en classe et me dirige vers ma place, j'ai eue un peu de retard mais par chance notre prof est absent,

— Salut Charles, dis je en m'avançant vers mon banc.

Il me sourit simplement tandis que Daria me regarde très mal,

— Quoi ? T'as un problème ? Lui demande je en m'asseyant à côté de Sacha qui dormait.

Elle ne dit rien et replonge sa tête dans son téléphone.
La tentative une a été un succès, la deux aussi et la trois aussi mais pourquoi il ne se passe toujours rien ?

Ce gars est vraiment différent des autres, c'est fou.
Il aurai normalement dû succomber à mes appels de phares : où peut-être je m'en suis mal prise ?

Je soupire et lève ma tête vers lui pour ensuite croiser son regard, je lui sourie tandis qu'il reste neutre — il me demande alors de venir vers lui.

Ce que je fais limite en courant.

— Oui ? Lui demande je.

— Tu peux me donner l'adresse du restaurant ? J'aimerais y aller avec ma soeur, me dit il.

Je saisie un post it qui se trouvait dans sa trousse et note l'adresse plus mon numéro,

— Voilà ! Je t'ai aussi mis leurs numéros, mens je.

Il me remercie,

— C'était chouette hier ! J'aimerais te remercier d'avoir été normale avec moi hier - dit il alors je sourie.

— T'inquiète ! Je ferais tout pour toi.

Il sourit timidement,

— C'est à refaire en tout cas, lui dis je.

— Comme tu veux.

Je retourne à ma place et finis par moi aussi m'endormir.
Hier on s'est un peu raconté notre vie, fin c'est plus moi qui a ouvert ma bouche.
J'ai appris qu'il avait été adopté fin "adopté" de force, et je pense même que c'est pour ça qu'il est comme ça.

Calme, froid, peu ouvert, c'est du à sa séparation avec sa vrai famille mais je compte lui redonner la joie de vivre : il le mérite.

~~

La pause de midi arrive rapidement et rapidement Roméo me rejoint, je soupire intérieurement et nous nous isolons dans un coin à l'abri des regards, il s'approche de moi et tente de m'embrasser sauf que je le repousse,

— On doit arrêter Roméo, lui dis je.

Il fronce les sourcils et rigole nerveusement,

— Comment ça on arrête ?

DISTRACTIONOù les histoires vivent. Découvrez maintenant