Chapitre 77

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Hello. Voici un nouveau chapitre, j'espère que vous allez vous régaler, car je vous préviens ce chapitre ASSEZ LONG oui je préfère prévenir 😅 est riche en rebondissements. J'espère que vous comprendrez l'enjeu des rebonds écrit ci-dessous. Merci de me dire svp en commentaire si vous avez bien tout assimilé, car ici repose l'enjeu de toute l'histoire. En espérant ne pas avoir gâché tout le suspense, Bon Appétit mi gente. 🤗🤗😊😊😊

Bisouuuuuus 😘 💋





— Chérie, je suis désolé.

Anusha accourra jusqu'à moi dès que Dylan eut refermé la porte derrière lui. Mon cœur était en lambeau. Les jambes en coton, je ne pouvais parvenir à me relever aussitôt. Dylan avait tué toute énergie en moi en me refusant toute pénitence pour Michael.

— Aah ! Je voulu éclater en sanglots de nouveau, mais aucune larme ne voulait sortir.

J'avais trop pleuré, tellement que mes yeux refusaient de libérer une seule goutte de plus d'eau salée.

— Relève-toi maintenant
— Je... je suis à bout. J'en peux plus
— Maya

En disant cela, Anusha s'assit par terre à mes côtés.

— J'en peux plus de cette histoire. J'en peux plus. Je suis fatiguée. Pourquoi.... pourquoi Dieu me fait ça ?
— Dis pas ça chérie, derrière chaque combat, se trouve une victoire
— Mais Dieu n'ait pas dans le malheur. Alors c'est quoi ça ? C'est quoi ça ? Me lamentais-je malheureuse.
— Maya, place juste ta confiance en Dieu. Il résoudra cette histoire. Dieu est fidèle, il secourt toujours ses enfants.

Mon amie essayait de me consoler mais à cet instant, la plaie était trop douloureuse en plus d'être fraîche, et semblait sans espoir de guérison.

Je savais que ces paroles étaient justes mais en ce moment, dans mon état actuel, il m'était peu difficile de m'y appuyer. Dieu était un être suprême invisible, un esprit qu'on ne voyait que par foi dans la règle générale. Mais devant les problèmes, il était difficile à l'Homme de s'appuyer sur lui et espérer une guérison. Les choses qu'on ne voyait pas était toujours compliquées et délicates.

Mais hélas en ce moment, et avec cette situation, je ne comptais que sur une intervention divine pour m'en sortir. Je voulais tellement qu'un miracle se produise et ôte miraculeusement ce problème. Je voulais tant revenir à l'époque d'avant Dylan.

— Tu te souviens des disciples pries dans une tempête dans la barque ? Que dit la parole ? Ils ont appelé jésus et ils ont compté sur lui pour se sortir de là. Et le Seigneur les a sauvés.
— Oh Anusha. Exténuée, je ne pu rien dire d'autres.

Mon amie compris ma fatigue, et elle vint m'enlacer. Sans le programmer, une larme roula sur ma joue. Demain au bureau, j'allais avoir les yeux gros comme des boules de beignets à force de pleurer.

— Si Michael va en prison, j'en mourrais. Je ne le supporterai pas. Je ne pourrai pas supporter d'être à nouveau séparer d'un amour. D'abord ma mère, puis Dylan et si là c'est autour de Michael, je ne vais pas le supporter, non.

Ces mots tristes chagrinèrent Anusha et elle ne put répliquer. Tant mieux. On demeura donc dans le silence jusqu'à ce que je puisse me calmer un peu. Anusha rentra chez elle à 20 h moins le quart cette nuit-là, elle ne voulait pas me quitter, mais elle avait un mari, des enfants, des obligations, et il fallait donc qu'elle parte. Elle, elle avait une vie remplie, pleine, stable. Il y avait des fois où comme aujourd'hui, je l'enviais beaucoup. Moi qui croyais que mon mariage était le début d'une belle période, une percée de bonheur, mais non hélas. J'étais bien loin du compte.

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