║ 𝐖𝐢𝐭𝐡 𝐚 𝐜𝐫𝐢𝐦𝐢𝐧𝐚𝐥 • Jeon Jungkook ║ Terminé

❤ n°18 _

PDV T/P

Encore deux semaines étaient passées. M.Kim va mieux et a repris la direction de l'entreprise, je reste donc chez moi, du matin au soir. Interdiction de sortir sous la demande de Jungkook.. qui d'ailleurs passe ses journées dehors lui..

Aujourd'hui c'est Hoseok qui me surveille, alors comme d'habitude quand c'est lui on a jouer au jeu de société, on a écouter de la musique et il m'a forcé à danser même si j'ai vraiment pas la tête à ça en se moment.

Tout le stresse de ses dernière semaines s'accumulent et plus le temps passe plus je me dit que la bombe va exploser au moment où l'on si attends le moins, et va exploser bien plus fort que les autres fois.

A cause de tout ça j'étais tomber dans une sorte de depression.. Tout les souvenirs de ce qu'il m'était arrivé il y a trois ans m'empêchaient de dormir la nuit, et quand j'y arrivait je faisais d'horribles cauchemars.

Pourtant tout était affreusement calme depuis la mort de ma secrétaire. Enfin sauf le bruit que tout ça avait fait dans les médias. Plus personnes ne voulait travailler avec "l'entreprise maudite" on a donc perdu la plupart des salariés et des collaborateurs internationaux. Et pour le reste des salariés qui étaient resté, ils sont au chômage technique ou alors on été licencier par manque de moyens.. Je m'en veux.

J'ai enlevé l'emplois de personne qui en avait besoin. J'ai crée des troubles mentaux et du stresse à la plupart de mes collègues, à mes collègues qui sont devenu mes amis aussi.. Je sais que tout ça c'est de ma faute, j'aurais peut être du suivre les conseils de Jungkook et démissionner avant que tout ça arrive.

Ca m'aurait fait du mal mais au moins je n'aurais pas fait du mal aux personnes autour de moi.

Je commençais à pleurer alors que j'étais enfermé dans la salle de bain. Pourquoi ma vie ne peux pas être simple et comme celle de tout le monde ?

La seule personne qui pourrait me donner du réconfort maintenant c'est Jungkook. Et il n'est pas là. Je comprends pas pourquoi il a autant de travail en ce moment.. 

Il me manque..

PDV Jungkook

On était partis à la recherche de ses fils de pute du gang adverse, ce matin, comme tout les jours -quasiment- depuis deux semaines. Pour aujourd'hui, Nam avait eu l'idée qu'on retourne sur le lieu du carnage, là où ils ont sequester ma femme il y a maintenant 3 ans.

On y est donc aller, équipés d'armes et de munitions de la tête au pied, même si plus personne ne vivait surement dans cet immeuble. On était devant la porte, je pose la main sur la poignée pour l'ouvrir. La porte grinçait, et on reste vif de n'importe quel chose qui pourrait se produire à partir de maintenant.

On avançait à travers les pièces, tout semblait abandonner. La poussière avait tout envahis, des meuble au reste de cadavres qui jonchait le sol. A vrai dire ce n'était plus que des os secs. La pièce n'avait ni d'odeur nauséabonde, ni de mouches ou d'asticots dévorant les restes. 

Toute la scène n'était qu'un moment mis sur pause depuis des années, mais tracé par les marques du temps. Il y avait encore les armes, dont certaine étaient encore chargées, au sol. Les debris de tout ce qui avait été cassé était encore là aussi. Rien n'avait bouger depuis 3 ans.

On avança au travers des pièces, certain d'entre nous baissait un peu la garde, l'immeuble était désert et vide de bruit. Seul les claquements de nos chaussures se faisaient entendre. Ce silence me foutu presque un frisson, même si il était quelque peu rassurant. 

Namjoon était aller près d'un bureau, fouillait les feuilles qui y traînaient alors que je partais avec Jimin et Tae vers la pièce où j'avais tuer Alexa. On passa une première porte, celle de la pièce adjacente à la pièce qui m'intéressait.  

On entendis un drôle de bruit d'un seul coup. Une sorte de spray, puis un nuage se fit dans la pièce. Mes amis et moi commençons à tousser et voulions sortir prévenir les autres. En vain. On était déjà au sol, les yeux pleurant et qui piquaient comme pas possible, comme nos voies respiratoires qui n'étaient que douleur. 

J'avais du mal à respirer, a garder les yeux ouverts. Chaque mouvements que je voulais faire était un supplice 

Puis plus rien.