20 | 𝐏𝐀𝐑𝐋𝐄 𝐌𝐎𝐈 !

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|  𝐅 𝐋 𝐀 𝐒 𝐇 𝐁 𝐀 𝐂 𝐊 : 𝐗𝐗  |
— partie II —

— 1 semaine plus tard — 𝐒𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟎𝟖 ☾ AYEM BENSAOUD ☽

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— 1 semaine plus tard —
𝐒𝐞𝐩𝐭𝐞𝐦𝐛𝐫𝐞 𝟐𝟎𝟎𝟖
AYEM BENSAOUD






Une semaine maintenant que je m'étais avouée que j'étais amoureuse de Tarik. Et ça datait pas d'hier, c'est juste que je me voilais juste la face jusqu'ici. Mais j'avais lu assez de livres et regardé suffisamment de films, pour savoir que le mauvais scénario était toujours lorsque les personnages décidaient d'ignorer leurs sentiments. Peut être que Tarik n'en avait pas pour moi, mais tant pis. Moi j'allais assumer. De toute façon, j'assume tout.

Mais fallait quand même que je trouve le bon moment. Que je me prépare. Parce que je sentais qu'après, j'allais souffrir probablement pour le restant de mon existence, si ça cassait notre amitié. J'avais rencontré Tarik, j'étais encore une gamine, et pareil pour lui. On avait grandit ensemble, on avait tout fait ensemble. Si on venait à ne plus se calculer à cause de ça, je ne pensais pas être capable de continuer toute seule. J'avais besoin de lui. Mais comme d'habitude, fallait que je gâche tout. Le poids sur mes épaules était lourd. Quel gros  bordel ...

En train de cogiter sur tout ça, yeux dans le vide, j'avais oublié que l'heure tournait et que j'allais être en retard. Je finissais vite mon bol de céréales Lions, le lavais, puis allait direct sous la douche. En ressortant je retouchais mon lissage, me maquillais, mettais du gloss et du parfum puis tirais brusquement sur la poignée pour foncer m'habiller dans ma chambre. Je me prenais un torse en plein front.



— Wesh il souriait pendant que j'essayais de rester impassible malgré son odeur enivrante quand il était autant collé à moi

— Ah salut je souriais légèrement puis me reculais tu fais quoi ici ?

— Jour de repos, j'pensais déposer la blondasse au collège puis toi sur Paname il me regarda longuement de bas en haut j'ai ramené des croissants

— C'est gentil, merci j'abaissais les yeux et réajustais ma serviette, je faisais un pas de côté pour sortir mais il me bloqua, sourcils froncés

— Ça va ? T'es bizarre wesh

— Bah oui ça va, je dois m'habiller je vais être en retard, tu peux aller réveiller Manon si tu veux



Il pouffa et s'approcha de moi, posant ses deux mains sur mes épaules, je frissonnais. Il les descendit légèrement le long de mes bras dans de légères caresses, tout en appuyant ses yeux marron-verts dans les miens. Mon cœur s'accélérait. Il le sentit évidement et sourit de coin, faisant glisser doucement ses doigts sur le bas de mon dos, jusqu'à mes fesses. Son souffle chaud descendit dans mon cou, j'échappais un soupir. À contre cœur, je le repoussais et il noirci à nouveau son regard.



ademo | 𝐋𝐀 𝐋𝐔𝐍𝐄 𝐄𝐒𝐓 𝐓𝐎𝐌𝐁𝐄́𝐄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant