𝐄́𝐏𝐈𝐋𝐎𝐆𝐔𝐄

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𝐀𝐨𝐮̂𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟑

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𝐀𝐨𝐮̂𝐭 𝟐𝟎𝟐𝟑















Maldives















— Tu te rappelles de ça ?

— C'était la technique que j'avais trouvé pour voler nos ensemble les après-midi à Evry 2, non ?

— Nan, Tarik me refaisais son clin d'œil et je comprenais enfin

— Ah mais oui ! C'était le signe pour se rejoindre à l'hôtel, je souriais en traversant des boucles mouillées du bout des doigts et me rapprochait de lui, on l'a retourné cette chambre 702

— Tu te rappelles de l'adrénaline qu'on avait ? Quand on faisait des tours devant la police juste avant sur ton vieux scooter, qu'on commençait dans l'ascenseur tellement on pouvait pas se retenir



L'eau du bain semblait se réchauffer quand Tarik me faisais repenser à tous ces souvenirs. La façon dont il me regardait, des goutes perlant sur son torse, les bras posés de chaque côtés de la baignoire et les jambes entrouvertes m'incitant à mieux me mettre entre ses cuisses. Ses yeux malicieux me donnaient envie de l'embrasser comme une folle et c'est ce que je faisais sans me retenir plus longtemps.

Mon amour pour lui me consumais autant qu'avant. Ses lèvres me dévorant pendant que ses mains parcouraient ma peau, descendant de mon dos à mes hanches puis s'agrippant à mes fesses. Je décidais de prendre un peu plus de contrôle sur la situation et bougeais contre lui. Tarik mordit très fort ma lèvre inférieure à ce moment et enfonça ses ongles dans ma peau.



— T'es incroyable Bambina, murmura-t-il au bord de mes lèvres



Je prenais la confiance en l'entendant perdre ses moyens et montait sur lui. Il glissa facilement en moi et nos deux bouches s'entrouvrirent en même temps à ce moment. Les yeux de Tarik viraient au blanc une seconde sous la sensation et je retenais un petit cri. J'ondulais mon bassin sur lui pendant qu'il se mit à étouffer ses gémissements dans mon cou.

Il plantait ses crocs dans ma peau comme un animal et je me mettais à enfoncer mes ongles dans les trapèzes de son large dos. L'eau commença à remuer et éclabousser les parois de la baignoire jusqu'à couler sur le sol de la salle de bain quand Tarik reprit en main les choses. C'était fort et je cherchais de l'air à travers la vapeur brûlante tout autour de nous.

Je subissais cet agréable supplice en arrêtant définitivement de retenir mes cris, tout mon corps brûlait sous le plaisir que me donnait mon mari. Ses respirations saccadées me rendaient encore plus faible dans ses bras. Tarik s'arrêta une poignée de seconde dans sa performance intensive pour glisser ses mains sous mes cuisses et me soulever en même temps qu'il se relevait.

ademo | 𝐋𝐀 𝐋𝐔𝐍𝐄 𝐄𝐒𝐓 𝐓𝐎𝐌𝐁𝐄́𝐄Où les histoires vivent. Découvrez maintenant